Publié le 29 Novembre 2012

Rédigé par vivi

Publié dans #bons mots

Repost0

Publié le 28 Novembre 2012

boby-lapointe.png

Pour la communauté Musique à Coeur Ouvert de Véro, présidée cette semaine par Jacques qui a choisi comme thème "l'histoire d'un amour", voilà celle de Toto le Tigre et de Conchita la danseuse.

 

Cette histoire-là, je vous préviens, finit mal... en tout cas pour Zorro à la langue menteuse mais après tout il l'a pas volé non plus hein alors c'est tant pis pour lui fallait pas chercher Toto et toc !

 

 

Toto le tigre aimait Conchita la danseuse. Toto le tigre aimait Conchita malheureuse. Toto le tigre aimait Conchita amoureuse, Du beau dompteur Zorro à la langue menteuse.

Refrain : Olé Conchita, vas-y n'aies pas peur : Mets-y un tigre dans ton moteur

Le beau Zorro disait : "Conchita, que t'es bête". Le beau Zorro disait : "L'amour n'est qu'une fête, Ne dure qu'une nuit qu'à l'aurore on arrête". Le beau Zorro disait : "Vraiment, tu perds la tête".
Refrain

Le tigre entendait tout et songeait in petto : "Attends, chacun son tour, attends mon beau Zorro, Attends attends attends le dernier numéro, Quand tu mettras la tête dans la gueule à Toto."
Refrain

Sur la piste Zorro, le coeur toujours en quête, Pendant qu'il travaillait, d'une nouvelle conquête, Se pencha jusqu'au cou dans la gueule de la bête Qui d'un grand coup de crocs lui fit perdre la tête.
Refrain

Toto le tigre adore Conchita la danseuse, Qui n'aime plus Zorro à la langue menteuse.Toto le tigre attend qu'elle soit amoureuse, D'un autre beau dompteur à tête savoureuse.
Refrain. Refrain. Olé !

Voir les commentaires

Rédigé par vivi

Publié dans #musique

Repost0

Publié le 25 Novembre 2012

le-magasin-des-suicides-copie-1.png

Jules a quasi oublié notre séance-ciné mardi dernier...

 

Si bien qu'il est rentré tard du boulot, si bien que c'est moi qui ai dû aller à l'AMAP pendant que lui se mettait les pieds sous la table et dînait, si bien que quand on est arrivé devant le ciné il n'y avait plus franchement de choix dans les séances, si bien qu'on a été voir un peu contraints et forcés mais a priori pas tant que ça le dernier film programmé de la soirée Le Magasin des suicides.

 

J'étais en fait plutôt contente de ce hasard car j'avais lu le livre il y a deux ans et j'avais vraiment beaucoup aimé ce bouquin à l'humour caustique, décapant, noir et décalé (oui, oui, tout ça), à prendre au 23ème degré (minimum), bien sûr. J'en avais même fait un article aux tout débuts de ce blog dans lequel je faisais son éloge et où, justement, j'annonçais la sortie prochaine et attendue du film de Patrice Leconte.

 

Synopsis :

 

L'intrigue se déroule à l'époque contemporaine, dans une ville où la vie est devenue si déprimante que le taux de suicide y est incroyablement élevé. Dans cet univers macabre et désespéré, une seule famille prospère : les Tuvache, qui tiennent le Magasin des suicides, une boutique où l'on peut trouver tous les accessoires nécessaires pour se tuer de toutes les façons possibles. Tout change à la naissance d'Alan, le fils cadet, dont la joie de vivre dérange fortement les habitudes de la famille.

 

Pour tout vous dire, j'ai tout de suite pas du tout aimé les graphismes de Patrice Leconte (il dessinait dans Pilote dans les années 60). OK, l'histoire se passe dans une ville glauque et grise où tout le monde est si triste que la plupart des habitants a envie de mettre fin à ses jours et où même les pigeons se laissent tomber dans le vide sans résister c'est dire...

 

Mais était-ce vraiment bien nécessaire de leur faire des gueules pareilles (ça dure pendant tout le film) et de les faire se suicider en direct sous nos yeux (et ça aussi ça dure, ça dure) ? Des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs qu'y disaient. Effectivement, c'est rien de le dire car au bout de quelques minutes on a déjà assisté à plusieurs morts violentes et saisissantes par pendaison, par arme à feu ou par empoisonnement...

 

Et ça, même en dessin animé et même pour rire, ça vous plombe une ambiance.

  

le magasin des suicides 2

 

De manière concomitante, on ne peut pas dire que les chansons façon comédie musicale qui émaillent le film m'aient fait retrouver le sourire car je les ai trouvées dans l'ensemble assez niaises et trop présentes... comme si que l'auteur avait besoin de remplir du vide et de faire durer un peu les scènes, vous voyez le genre ? Quelques fois d'ailleurs, j'ai eu le plus grand mal à comprendre les paroles (les rats par exemple, mais que disent donc les rats ?) quand ça ne m'a pas franchement cassé les oreilles.

 

Une exception quand même, cette chanson-ci, très noire et très joyeuse à la fois qui vaut le coup d'être écoutée. Ça, j'aime !

 

 

Par certains côtés, l'histoire est très fidèle au livre. Les membres de la famille Tuvache et leur magasin par exemple sont plus ou moins tels que je les avais imaginés pendant ma lecture et là on voit bien que chez eux ça rigole pas tous les jours.

 

le magasin des suicides 3

 

Par d'autres, le scénario s'éloigne loin, très loin, voire très très loin de la trame du livre. La fin du film d'ailleurs est complètement farfelue, pas crédible, guimauve et cucul, totalement aux antipodes de celle déroutante et inattendue qu'avait imaginée Jean Teulé et qui m'avait laissée perplexe.

 

Autant vous dire que je n'ai que trop peu retrouvé l'ambiance, le plaisir et l'humour grinçant qui m'ont fait sourire dans la version papier malgré quelques scènes géniales, il faut quand même le dire, qui ont réussi à sauver ma soirée du désastre et de la déprime.

 

Ce n'est pas la première fois que je suis déçue par la version cinématographique d'un livre que j'ai adoré.

 

Ce qui m'amène une nouvelle fois à me poser la question suivante :

 

Ce qui fonctionne en littérature fonctionne-t-il vraiment toujours à l'écran ?

 

Voir les commentaires

Rédigé par vivi

Publié dans #films-TV-acteurs

Repost0

Publié le 21 Novembre 2012

 

Une vidéo vaut parfois mieux qu'un long blabla.

 

Prenez juste 4'32" pour regarder celle-ci et me dire ce que vous en pensez.

 

Voir les commentaires

Rédigé par vivi

Publié dans #divers

Repost0

Publié le 19 Novembre 2012

ciel-19-novembre.jpg

 

J'avais plein de trucs à raconter sur ce lundi de ouf repos mais voilà que la journée a passé molto rapidamente, voire plus que ça encore, et qu'il est vraiment trop tard maintenant pour commencer un article digne de ce nom.

 

En effet, demain y'a boulot et si j'ai pas mon compte d'heures de sommeil dès le début de la semaine, ça va pas le faire. Ça va finir comme vendredi dernier à 17h45 où au bout d'environ 75 appels téléphoniques gérés dans la journée j'ai dit "Au revoir Madame" à un monsieur. J'ai entendu ma voix comme dans un rêve tandis que je raccrochais et j'ai pensé "Bah non, c'est quand même pas toi qui a dit ça ?" puis tout de suite après "Bah si, c'est toi". Je me suis alors dit qu'il était urgent que je débauche sur le champ et que je rentre fissa à la kasbah.

 

Ce que j'ai fait.

 

Je vous laisse donc tout simplement avec ce Petit coin de ciel pris en photo sur les bords de la Garonne pour la communauté de Mary.

 

Sans rien de plus. No blabla tonight. Que dalle. Nichts. Nada. Nib.

 

Voir les commentaires

Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

Repost0

Publié le 17 Novembre 2012

Rédigé par vivi

Publié dans #bons mots

Repost0

Publié le 14 Novembre 2012

cigarette.png

Pas souvent ces derniers temps que je participe à la communauté Musique à Coeur Ouvert de Véro qui cette semaine s'est tout bonnement autoproclamée présidente. Je suis moi-même assez adepte du "on n'est jamais mieux servi que par soi-même" alors, après tout, pourquoi pas ?

 

Pas vraiment très surprenant qu'elle ait choisi ce mercredi comme thème

 

LA CIGARETTE

 

car depuis qu'elle a arrêté de fumer, elle n'en a jamais autant parlé ! Elle est fière d'elle, et c'est bien normal ! Bravo Véro, congratulations !

 

Pas vraiment envie de m'étendre sur ce terrain car, fumeuse pendant 20 ans, ex-fumeuse depuis 10 ans, je travaille depuis peu avec une tabacologue et je sens que je pourrais vite devenir chiante intarissable sur le sujet. Je vais donc m'abstenir. Fumeurs, ne me remerciez pas. 

 

Pas non plus envie de faire l'apologie de cette merde ce fléau mais quand j'entends "cigarette" je pense avec une nostalgie non feinte à BBH 75 de Jacques Higelin et, pouf ! me voilà redevenue une ado de 15 ans : clope au bec, pull tricoté main tricoté coeur sur le dos, foulard indien autour du cou, musette sur l'épaule et Kickers aux pieds, j'attendais avec impatience les samedi soir pour sortir en mobylette dans les boums mais je vous ai déjà raconté tout ça il y a quelques temps là. Le paquet de Peter Stuyvesant rouge coûtait en ce temps-là 5,50 F, plus d'une semaine d'argent de poche.

 

BBH 75 était un de mes albums préférés et si je ne l'ai pas écouté trois cent milliards de fois je ne m'appelle plus Vivi, foi de Vivi avec comme chanson préférée sur cet album préféré, je vous le donne en mille, celle que je vous présente aujourd'hui, en tête juste devant Mona Lisa Klaxon, ma deuxième chanson préférée d'entre les préférées...

 

Et tout d'un coup, je doute du postulat qui dit que la mémoire se perd avec l'âge car, cette chanson-là, même sans répétition préméditée, je la connais encore par coeur.

 

Vous voulez que je vous fasse voir ?

 

Hé hé, ho ho
Je suis amoureux d'une cigarette Toute la sainte journée elle me colle au bec
Hey Lucie, si t'reste un peu de ferraille Ravitaille moi d'un paquet d'gris
Que je m'en grille une aussitôt A la place de ce satané vieux mégot, ho ho

Je suis amoureux d'une cigarette Sans elle j'ai l'air d'un poussin Cherchant son omelette
Hey Suzon, si te reste un peu de pognon Ramène-moi donc un paquet d'blond
Que je m'en roule une aussi sec A la place de ce satané vieux mégot, ho ho.

Je l'aime bien épaisse Roulée comme une papesse Dans son fourreau Zigzag a bord gommé
Quand du bout de la langue Je la lèche, elle tangue Fumante elle frémit sous la morsure De mon dentier Hé hé.

Je suis amoureux d'une cigarette Elle a la rondeur d'un sein Qu'on mord ou qu'on tête
Hey Jenny, y'aura une taffe pour toi Si tu penses a mon paquet d'gris

Magne-toi car j'ai bientôt fini De tirer sur ce satané vieux mégot.

Je suis amoureux d'une cigarette Suzy, hey, hey Je suis amoureux d'une cigarette...
Je suis amoureux d'une cigarette...Moureux d'une cigarette...

Kof kof... Kof kof kof.

 

Je le fais bien non ? Surtout le kof kof à la fin, je trouve...

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par vivi

Publié dans #musique

Repost0

Publié le 12 Novembre 2012

 

octobre-2012-6034.JPG

Après les grosses pluies de ces derniers jours, c'est aujourd'hui du grand bleu, du grand beau et du grand glagla dans mon Petit coin de ciel.

 

-1° ce matin dans mon lit. Ou plutôt depuis mon lit, duquel bien au chaud sous la couette j'aperçois le thermomètre qui indique la température extérieure. Le linge risque encore de faire des siennes.

 

Après 15 jours de congés, c'était la reprise pour les ados.

 

Pour les trois "petits" du moins, car Fiston 1, après notre escapade espagnole, était déjà à pied d'oeuvre depuis une semaine et a repris ses recherches en histoire. Il est en pleine époque moderne, ça me fait toujours marrer quand il dit ça parce que cette période commence avec la fin du Moyen-Âge, en plein XVème siècle. C'est pas franchement l'idée que je me fais d'une époque moderne... Mais tout est relatif, comme disait l'autre.

 

Fiston 2 a repris du poil de la bête depuis son gros coup de mou d'avant les vacances : pendant ce break, il a dormi, mangé, dormi, mangé, dormi même que des fois il n'a pas pu se déshabiller ni se laver ni se brosser les dents ni enlever ses chaussettes ni enlever ses lunettes ni éteindre la lumière avant de s'endormir le pauvre tellement il était fatiguéfatiguéfatigué et... ben, c'est à peu près tout. Ah oui, il aussi passé quelques heures sur Facebook (des tas en fait). Et travaillé aussi. Et fait des heures de conduite accompagnée, des créneaux, des manoeuvres, des rangements en bataille ou/et en épi car il repasse bientôt son permis. Affaire à suivre donc...

 

Fiston 3 a préparé un concours qui aura lieu samedi prochain pour une école dans laquelle il aimerait bien entrer en septembre 2013. Il a englouti -entre autres- des tonnes de JT, de quotidiens et de magazines pour l'épreuve/quizz de culture générale. J'ai confiance, je crois qu'il est prêt ! En tout cas, si on lui pose des questions dont les réponses se trouvent dans l'Équipe ou dans France-Foot, il sera à coup sûr imbattable. Je ne connais personne qui comme lui lit ces journaux de la première à la dernière ligne... mais pendant ce temps, il ne fait rien d'autre eh oui...

 

Fifille a traîné ses bouquins du canapé au lit, du lit au fauteuil et du fauteuil au canapé pour des heures de lecture sous la couette ou dans ma couverture à bras une bouillotte sur le ventre, entrecoupées de papotages entre copines, d'après-midis DVD et de jeux vidéos. Ce matin, elle n'était pas très heureuse de retourner au collège et elle a répété environ dix fois entre 7h30 et 8h10 : "J'veux pas y aller !", "Pourquoi c'est déjà fini les vacances ?", "Pourquoi le 11 novembre cette année tombe un dimanche et pas un lundi ?" et "C'est quand les prochaines vacances ?" comme quoi, bien que les congés de la Toussaint soient passés d'une semaine et demi à deux semaines, ils ne sont jamais contents ces ados.

 

Qu'est-ce qu'on va en faire, mais qu'est-ce qu'on va en faire je vous le demande ?

 

Voir les commentaires

Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

Repost0

Publié le 11 Novembre 2012

Rédigé par vivi

Publié dans #actualité...

Repost0

Publié le 10 Novembre 2012

 le tailleur de pierrecamilla-lackberg-copie-1.png

 

Mais qui donc est cette Camilla Läckberg si mignonne, si angélique et si sexy qui écrit des romans policiers si noirs, imagine des assassinats si macabres et échafaude des mises en scène si machiavéliques et pourtant si captivantes ?

 

Jean Edith Camilla Läckberg Eriksson, née le 30 août 1974 dans la petite ville côtière de Fjällbacka (le lieu où se situent toutes ses histoires), est une écrivaine suédoise auteur de romans policiers. Elle est une des plus jeunes auteurs à succès dans son genre : en janvier 2010, le classement de plusieurs magazines dédiés à l'édition la place à la sixième place des écrivains de fiction les plus vendus en Europe. Elle a deux enfants, Wille et Meja, d'un précédent mariage, et un troisième, Charlie, avec son second mari Martin Melin (dont les noms ne sont pas sans rappeler certains personnages de ses romans)...

 

Après l'hiver nordique de La Princesse des Glaces et l'été torride que l'on traverse dans Le Prédicateur, c'est l'automne... Dans Le Tailleur de pierre se déroulent deux histoires : la première se passe de nos jours lorsque l'on découvre le cadavre de Sara, une petite fille de 7 ans que l'on croit accidentellement noyée, et la deuxième dont l'action débute en 1924 et qui vient s'intercaler de temps en temps entre les chapitres. Au début, on ne sait où ces deux histoires vont nous mener mais, à la fin, elles n'en feront plus qu'une...

 

Difficile d'en dire plus et de ne pas en dire trop mais, si vous voulez tout savoir, j'ai beaucoup aimé ce troisième opus de la série, peut-être même mon préféré jusqu'à présent. Malgré un thème sordide, des passages violents, des actes ignobles et des paroles redoutables, la lecture est envoûtante et l'enquête rondemement bien menée. Allez y comprendre quelque chose.

 

J'ai par ailleurs le plaisir de vous annoncer que, cette fois, j'ai entr'aperçu le bout du nez du coupable avant la dernière page. Je fais sans aucun doute des progrès remarquables.

 

Camilla Läckberg évoque aussi dans ce livre des faits de société aussi divers que : la violence conjugale, les conflits entre voisins, les femmes battues et soumises, le problème de l'hyperactivité chez certains petits, les violences faites aux enfants, le syndrome d'Asperger (passionnant), les extrémistes religieux, les pédophiles, les victimes de pédophiles, le baby-blues, le syndrome de Guillain-Barré, les secrets de couple et le deuil d'un enfant. Et j'en oublie.

 

Pour finir, je vous laisse avec la question existentielle que je me pose depuis la fin de ce roman, vous priant de bien vouloir me rendre vos copies dès que possible en cliquant ci-dessous sur le lien "Écrire un commentaire" :

 

Un flic qui résoud une enquête grâce à une émission de télé, c'est la classe ou pas ?

 

Voir les commentaires

Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

Repost0