vacances-week-ends

Publié le 30 Juillet 2017

Le principe de cette rubrique, c'est !

SILENT SUNDAY # 55

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Rédigé par vivi

Publié dans #silent sunday, #vacances-week-ends

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Publié le 5 Avril 2017

DICTEE POUR LES NULS 2017 : LA GENT AILEE...

La photo de mon Silent Sunday # 44 était un peu énigmatique, c'est vrai. Mais en cherchant, on pouvait facilement deviner de quoi il retournait : la fameuse Dictée pour les Nuls (en hommage à celle de Bernard Pivot) qui a eu lieu au Salon Livre Paris le 25 mars dernier, animée par Jean-Joseph Julaud. Pour la 8ème édition, le célèbre auteur de la collection "Pour les Nuls" a proposé une nouvelle fois à tous les amoureux de l'orthographe de tester leurs connaissances et rédiger sous la dictée un texte "redoutable et charmant".

Trois catégories étaient mises en place : juniors (jusqu'à 15 ans), amateurs et experts.

Un jeune collégien de 14 ans, Eden, a remporté la palme en ne faisant que 4 fautes en "juniors". Philippe, un professeur d'allemand a été sacré roi des experts avec seulement 5 fautes. Et c'est Riana qui a été la plus forte en amateurs, avec 12 fautes.

Je n'ai pas participé à cette dictée. Je ne faisais que passer par là... Dommage, j'aurais bien voulu m'essayer à cet exercice... et découvrir ma note. Même à un seul point la faute, je me demande si j'aurais pu éviter le zéro...

Et vous ?

Pour le savoir, à vos stylos ! (et pour aller plus loin, la correction avec toutes les explications du pourquoi du comment, c'est )

La gent ailée

Une légende berbère prétend que, pour voyager, l’être humain se déguise en cigogne. Alors qui sait… Peut-être que vous tous ici aujourd’hui, quels que soient votre apparence et votre air bien sage, et quoi que vous puissiez arguer, vous êtes à peine remis d’une folle migration où vous vous êtes laissés glisser, parmi quelque quatre-vingt mille de vos semblables, vers les Colonnes d’Hercule, avant d’aborder le pays du couchant lointain : le Maroc.

Inutile de vous dissimuler davantage : vous appartenez sans nulle conteste à la gent ailée puisque vous tenez en main l’ultime indice qui vous trahit : une plume, ou du moins son avatar moderne.

[Fin de la dictée pour les juniors]

Alors, quelque concentrés que vous paraissiez tous, rêvons ensemble qu’entre deux cumulonimbus gris-blanc, nous glottorons de nouveau vers l’éther où depuis toujours se sont plu nos migrations de haut vol sans que quiconque les contrariât.

Passé Gibraltar et son détroit, voici, selon Henry de Montherlant, la ville « à la gorge bleuâtre, tourterelle sur l’épaule de l’Afrique » : Tanger ! Voici, inscrits dans le souvenir de ce port, Henri Matisse qui y affina ses bleus et oranges favoris, et Eugène Delacroix qui y peignit de brûlantes fantasias.

Quelques coups d’aile vers le sud, et nous arrivons chez les Fassis parmi les familles desquels naquit celui qui nous offrit voilà trente ans La Nuit sacrée, prix Goncourt : Tahar Ben Jelloun. Fès, aux médersas richement décorées de muqarnas, aux zelliges variés où se sont mêlés tesselles colorées et abacules vernis, raconte ses douze siècles d’histoire à travers ses charmants labyrinthes.

Meknès, Rabat, Casablanca, Marrakech, Essaouira, escales de rêve, la route des mille casbahs et ses ksour de pisé…

Vite, sonnons la fin de la récré, sinon, nomades ravis sur nos nuages favoris, nous allons y rester ! Retour au salon, point final avant la correction !

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Publié le 17 Novembre 2016

Pour Rebecca (qui me l'a réclamé) et Écureuil Bleu (qui aime bien les explications)... (mais comme je n'avais pas prévu de faire d'article toutes les photos sont celles du web)

Quand le week-end dernier à Lyon Jules m'a proposé de visiter le musée Lumière, je me suis dit : "Ouais, bof". Il faut dire que Jules et moi on a des goûts très différents en matière de musée (en matière de beaucoup d'autres choses aussi d'ailleurs). Il serait plutôt musée de l'Automobile, du Chemin de Fer ou de la Seconde Guerre Mondiale et moi plutôt musée du Tissu, du Bonbon ou de la Dentelle. Vous voyez ?

Mais les enfants étaient partants alors je me suis dit que, bon, tant qu'à être tous ensemble à Lyon, mieux valait faire des activités tous ensemble, non ?

J'étais alors bien loin de me douter que j'allais BEAUCOUP apprécier cette visite, comme quoi, les a priori, c'est naze.

L'institut Lumière est installé rue du Premier-Film à Lyon (8ème) sur l'ancien site des usines Lumière, là-même où le cinématographe a été inventé en 1895. On y trouve un musée, une cinémathèque, un centre de documentation, un lieu de conservation et un lieu de mémoire. Il rend hommage à la famille Lumière et y présente ses plus belles trouvailles dans le décor élégant de la demeure familiale, la Villa Lumière, que les habitants du quartier appelaient aussi le Château Lumière tant la demeure est imposante. Antoine (père d'Auguste et Louis) l'avait fait édifier en 1902. C'est l'une des plus majestueuses résidences privées (plus de 2 000 m2). De style art nouveau, elle fut réalisée à partir de matériaux nobles et, comble du modernisme de l'époque, était  équipée du téléphone, d'un ascenseur intérieur, de salles de bain ou de cabinets de toilette dans chaque chambre et était l'une des premières à Lyon à posséder le chauffage central.

LE MUSEE LUMIERE

Nous avons essentiellement visité les jardins et la Villa, qui abrite le musée sur 3 niveaux :

Au rez-de-chaussée, on découvre tout d'abord le Jardin d'Hiver (de Madame Lumière), magnifique pièce décorée de marbre, de verre, de carreaux de céramique et équipée de chauffage au sol (!). Dans cette pièce se trouve également une impressionnante maquette de la Villa reproduite au 1/20ème.

LE MUSEE LUMIERE

Dans les pièces suivantes est retracée toute la chronologie de l'histoire du cinématographe, inventé en 1895, grâce auquel Louis Lumière parvient à enregistrer le mouvement et surtout à projeter des images animées sur un écran. On y retrouve la longue histoire des images animées, depuis les lanternes magiques jusqu’au prototype mis au point par Louis pour ses premiers essais de films sur papier en 1894, une collection d'appareils anciens, des chefs-d'oeuvre techniques incontournables tels le kinétoscope d’Edison, le chronophotographe Demenÿ ou le cinématographe Lumière "n°1" qui projeta les 10 premiers films le 28 décembre 1895 au Grand Café à Paris devant les 33 spectateurs de la première séance publique payante.

LE MUSEE LUMIERE

On apprend ensuite que, à l'issue de cette séance, des « opérateurs Lumière » partirent tout autour du monde pour filmer d’autres pays, d’autres vies. Les films projetés sur les écrans du musée racontent leur curiosité, leur sens du cadrage et de l’esthétique.

On découvre également que les Lumière étaient d’inventifs et curieux ingénieurs qui mirent aussi au point des appareils aussi étranges que le Photorama (pour une image à 360°) ou le projecteur en relief (pour des films en 3D, bien avant Avatar). Ils déposèrent plus de 200 brevets dans des domaines très divers. Ces nombreuses inventions ont valu à Auguste d'être correspondant à l'Académie de médecine et à Louis d'être reçu à l'Académie des Sciences. Avec le succès des « plaques sèches » (procédé de photo instantanée) baptisées "Étiquette bleue", ils furent des industriels prospères et riches ! Mais ils furent aussi des artistes grâce à l'autre grande invention des Lumière, les plaques autochromes, ancêtres de la diapositive. L’exposition montre ce qu’il fallut d’ingéniosité à Louis pour créer cette plaque et permet d’admirer l’usage que les Lumière en firent en tant que photographes, avec les images que l’on regarde en transparence et qui rappellent les tableaux impressionnistes. Les photographies que réalisèrent les épouses et les membres du « clan » Lumière apportent également un magnifique témoignage sur la vie quotidienne d’une famille bourgeoise au tournant des 19ème et 20ème siècles.

LE MUSEE LUMIERE

Au-delà de l'image, les deux frères ont également touché à des domaines aussi variés que le son, la mécanique ou la recherche médicale. L’exposition permet ainsi de découvrir l’étonnante  « main-pince » articulée que Louis mit au point pour soulager les amputés de la première guerre mondiale et  le célèbre "tulle gras" qu’Auguste élabora durant ce conflit pour favoriser la cicatrisation et qui fut vendu dans les pharmacies jusqu'en 2007.

Au 1er étage, on retrouve toute l'histoire des Lumière, véritable clan, car derrière Antoine (le père), Auguste et Louis (les fils), il y a toute une famille. Les origines de la famille sont modestes. Antoine, fils d'un vigneron et d'une sage-femme, épouse une blanchisseuse, Jeanne-Joséphine. Ensemble, ils auront 6 enfants, 3 garçons et 3 filles : Auguste, Louis, mais aussi Juliette, Jeanne, France et Édouard. Dans le musée, une immense fresque murale permet de découvrir la grande histoire de la famille et de la société Lumière, agrémentée d'un arbre généalogique et de photos des autres "villas Lumière" à La Ciotat (palais de 40 pièces), à Évian (aujourd'hui l'hôtel de ville) et au Cap d'Ail à côté de Monaco où Antoine a fait bâtir 3 villas monumentales qui dominent la mer.

On voit aussi la chambre à coucher d'Antoine Lumière, présentée dans sa configuration d'époque et une exposition retrace le monde de Gabriel Veyre, un des plus grands "opérateurs Lumière" qui, un cinématographe à l'épaule, partit découvrir le monde et filma le Mexique, le Japon, l'Indochine, le Canada, le Maroc. Il s'agit là de documents historiques exceptionnels qui nous font partager comme si nous étions un quotidien vieux de près de 130 ans. J'ai tout particulièrement aimé ses autoportraits.

LE MUSEE LUMIERE

Enfin, au sous-sol se trouve une salle de cinéma où sont projetés en boucle un documentaire et une centaine des premières "vues" Lumière. Ces films (extraits des 1 408 vues d'archive) sont épatants. On pourrait croire qu'ils sont peu inventifs car ils ont tous la particularité de ne pas durer plus de 50 secondes, d'être bien sûr en noir et blanc, d'être tournés en cadre fixe et en une seule prise (sauf quelques travellings, ou "panoramas" comme on disait à l'époque) mais au final ils présentent l'intérêt de tous raconter une histoire, une tranche de vie, une scène cocasse et apportent autant de témoignages sur le tournant du siècle et l'idéologie du moment. On reste stupéfait devant le potentiel créateur des Lumière et de leurs opérateurs-techniciens qui essaimèrent la planète en quête d'images dès 1896. Et surtout, comment ne pas être saisi d'émerveillement face à La Sortie des Usines Lumière, le premier film du cinématographe ? Les plus célèbres : le premier, la Sortie de l'usine Lumière à Lyon ; l'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat ; l'Arroseur arrosé (voir ci-dessous).

La projection de L'arrivée d'un train en gare de La Ciotat a provoqué la panique dans la salle, les spectateurs croyant que le train allait sortir de l'écran et les écrabouiller.

Et voilà la première comédie cinématographique :

Mais mon coup de coeur a été pour les films mettant en scène les enfants... Je vous laisse regarder ces attendrissants moments issus d'un autre siècle.

Mon intérêt pour la visite de cet institut est allé crescendo. Si j'ai moins apprécié le côté technique et les détails des inventions et des brevets (par manque de connaissance sans doute), j'ai adoré suivre la saga et l'histoire de la famille Lumière. Le documentaire final et la projection des films est la partie de la visite que j'ai préférée. Ces comédies, ces scènes de vie quotidienne, ces vues de villes et de paysages lointains où apparaissent à l'occasion des membres de la famille Lumière sont autant de facettes qui forment un voyage dans le temps très agréable à passer en compagnie des Lumière.

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Rédigé par vivi

Publié dans #films-TV-acteurs, #vacances-week-ends

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Publié le 29 Juillet 2016

MOBILE ADDICT (MEME EN VACANCES)

On circule sur une des plus belles routes de Sicile. A gauche, la montagne, majestueuse et monumentale, inchangée, telle qu'elle était déjà là il y a des siècles. A droite, la vue sur la somptueuse côte, découpée comme de la dentelle, et la mer, d'un bleu à couper le souffle. Mais la dame qui est assise devant nous dans le bus fait une réussite le nez dans son portable. Faut être un peu couillonne quand même...

9 heures du matin, sur les chaises longues au bord de la piscine de l'hôtel club**** : l'homme est venu en vacances avec sa jeune femme sublime et ses deux petits garçons (il n'est pas mal non plus, bronzé, musclé, légèrement bedonnant mais pas trop, le type même du gars sûr de lui qui préfère commander que recevoir des ordres). Les deux petits garçons jouent aux cartes, leur maman les regarde d'un air attendri tout en leur parlant affectueusement de temps en temps. Et lui, il ne lâche pas son mobile. Il dit : "Oui, oui, je sais, mais je l'avais anticipé ça... Je vais leur renvoyer un mail. Mais à mon avis, il suffit d'ajouter une prise et un raccord... Ouais, ouais, bon ben Bernard, tu me tiens au courant. Oui, tu peux me joindre quand tu veux". Et 10 mn plus tard, il est toujours en ligne avec la même personne : "Tu diras bien à Pavel de commander une barre de 63 en HTA, ben oui hein, je vois pas d'autre solution. Je l'ai déjà dit à Christine ce matin...Je l'ai appelée de bonne heure et elle a essayé de lui envoyer un fax mais ça n'a pas fonctionné..." Et encore 10 mn plus tard : "Normalement, ils nous ont fait le virement de 162 $... Oui oui, c'est réglé... On aura le crédit fin du mois... Faudra bien vérifier, vous me tenez au courant sans faute hein, je compte sur vous". Ses petits garçons jouent dans la piscine à présent et sa femme est toujours sur la chaise longue à côté de la sienne, les yeux dans le vague. Je me demande combien de temps encore elle va tenir avant de se lever et se barrer.

Les ados sont assis sur un banc, deux filles et un garçon. Tous les trois ont leur portable à la main et pianotent à qui mieux mieux. Ils ne se parlent pas, ne se regardent pas, chacun est dans sa bulle. Je m'interroge : normalement, Internet et les portables sont censés nous aider à mieux communiquer et favoriser le lien social, non ?

Le soleil est encore bas. L'homme et la femme profitent de la douceur matinale avant la montée en flèche des températures qui vont aujourd'hui encore atteindre les 30-35°. De tous côtés, on peut voir le ciel bleu, limpide. Zéro nuages à l'horizon. Ils prennent leur petit déjeuner sur une table pour deux, l'un en face de l'autre. Quel âge peuvent-ils avoir ? La cinquantaine ? Je me figure qu'ils se sont peut-être offert ce voyage pour leurs 25 ans de mariage. Ils ont laissé leurs grands enfants à la maison, et se retrouvent en tête-à-tête comme deux amoureux. Mais depuis 10 mn que je les observe, ils n'ont pas échangé une seule parole. Ils tapotent tous les deux sur leur mobile en avalant leurs brioches. Cherchez l'erreur.

C'est l'heure de la sieste. Je suis tranquillement en train de lire un polar, à l'ombre d'une tonnelle. Le suspense est à son comble. Tout est calme, chacun respecte la tranquillité de l'autre et on n'entend que les enfants qui sautent dans l'eau et s'éclaboussent. Soudain, l'ado à côté de moi hurle à son pote : "Hé mec, j'hallucine. Y'a un Bulbizarre dans la piscine." Mais dans quel monde vit-il ? A moins que ce ne soit moi qui soit complètement décalée ?

La journée s'achève, on dîne tranquillement en profitant de nos vacances, et d'un repos bien mérité. La soirée est douce, on sait que l'on va pouvoir veiller tard sans même avoir à s'inquiéter de mettre cette petite laine qu'on a d'ailleurs même pas emportée dans nos valises. Le calme fait du bien, on apprécie cette parenthèse dans la vie, cette bulle à deux, sans les enfants.  L'espace d'une semaine le temps s'est arrêté, loin de la frénésie de ces dernières semaines. A côté de nous, un autre couple à peu près de notre âge, à qui je souris. Peut-être qu'eux aussi partagent les mêmes sentiments que nous ? Mais tout à coup, un petit bip, une alerte sur le portable de la dame vient troubler la quiétude de notre soirée. Elle dit tout fort : "Oh la la chéri, c'est pas possible, tu te rends compte, il y a eu un attentat revendiqué par l'EI en Syrie, il y a au moins 44 morts et 140 blessés". Le charme est rompu.

Les vacances sont finies. On vient d'atterrir à l'aéroport de Bordeaux-Mérignac. Visiblement, un contretemps au sol nous empêche de descendre de l'avion mais les gens sont déjà debout dans l'allée et les travées, leurs bagages à la main, prêts à quitter l'appareil dès qu'ils en auront reçu l'autorisation. Dans cette ambiance de promiscuité, les gens murmurent ou parlent tout bas. Tout à coup, une voix s'élève : "Ça y est, je viens d'atterir à Bordeaux !... Excellent vol, en effet !... Alors comme convenu tu viens me récupérer ?... Je serai à l'arrêt-minute... Disons d'ici un quart d'heure... Oui, à tout à l'heure." Les gens se regardent, sourient en douce, amusés par ce manque de discrétion évident. Alors que le silence revient dans l'avion, une petite fille demande : "Dis maman, pourquoi il parlait si fort le monsieur ?" Rire général. Ne dit-on pas que la vérité sort de la bouche des enfants ?

Et si le temps des vacances on se déconnectait un peu pour respirer (et laisser respirer les autres) ?

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 2 Février 2016

Mercredi 21 octobre 2015 : décollage immédiat

Mercredi 21 octobre 2015 : décollage immédiat

Jeudi 22 octobre 2015 : New York brille sous le soleil

Jeudi 22 octobre 2015 : New York brille sous le soleil

La hauteur étourdissante des buildings n'est absolument pas une légende

La hauteur étourdissante des buildings n'est absolument pas une légende

Passage obligé par Ground Zero...

Passage obligé par Ground Zero...

...et One WTC : ses terrasses panoramiques n'ont ouvert au public que depuis quelques mois...

...et One WTC : ses terrasses panoramiques n'ont ouvert au public que depuis quelques mois...

...et la vue est époustouflante...

...et la vue est époustouflante...

...quelque soit l'endroit où se porte le regard

...quelque soit l'endroit où se porte le regard

Le ferry qui traverse vers Staten Island...

Le ferry qui traverse vers Staten Island...

...nous permet d'admirer la skyline...

...nous permet d'admirer la skyline...

...et bien sûr the statue !

...et bien sûr the statue !

Vendredi 23 octobre 2015 : balade dans Central Park...

Vendredi 23 octobre 2015 : balade dans Central Park...

...et son célèbre Reservoir dont la piste est très prisée par les joggeurs et les marathoniens

...et son célèbre Reservoir dont la piste est très prisée par les joggeurs et les marathoniens

Il fait très beau, les écureuils sont au rendez-vous...

Il fait très beau, les écureuils sont au rendez-vous...

Alice et le Lapin Blanc sont là aussi...

Alice et le Lapin Blanc sont là aussi...

...mais les joueurs d'échecs sont absents et les tables/échiquiers désertes...

...mais les joueurs d'échecs sont absents et les tables/échiquiers désertes...

...et il n'y a pas grand monde non plus sur le caroussel

...et il n'y a pas grand monde non plus sur le caroussel

Comme on n'est pas loin, on passe devant le Consulat de France

Comme on n'est pas loin, on passe devant le Consulat de France

Avec tout ça, on fait près de 25 kilomètres à pied dans la journée

Avec tout ça, on fait près de 25 kilomètres à pied dans la journée

Samedi 24 octobre : Fiston 2 ne travaille pas. On brunche ensemble puis on traverse le Brooklyn Bridge à pied

Samedi 24 octobre : Fiston 2 ne travaille pas. On brunche ensemble puis on traverse le Brooklyn Bridge à pied

Belle vue sur le New Jersey

Belle vue sur le New Jersey

De l'autre côté, on flâne dans Brooklyn et Williamsburg, ces nouveaux quartiers très en vogue. Eh oui ! On l'oublie facilement mais NY ne se limite pas à Manhattan

De l'autre côté, on flâne dans Brooklyn et Williamsburg, ces nouveaux quartiers très en vogue. Eh oui ! On l'oublie facilement mais NY ne se limite pas à Manhattan

Dimanche 25 octobre : direction Grand Central pour prendre le train...

Dimanche 25 octobre : direction Grand Central pour prendre le train...

...et aller voir ma copine dans le nord de l'Etat de NY

...et aller voir ma copine dans le nord de l'Etat de NY

On longe l'Hudson River et, à peine 1 h plus tard, on est au fin fond de la campagne

On longe l'Hudson River et, à peine 1 h plus tard, on est au fin fond de la campagne

Balade dans une toute petite ville...

Balade dans une toute petite ville...

...avant un apéritif dehors au coin du feu et un bon repas (à l'intérieur). Blablas +++

...avant un apéritif dehors au coin du feu et un bon repas (à l'intérieur). Blablas +++

Lundi 26 octobre : promenade dans Greenwich Village où l'on découvre la maison la plus étroite de NY (seulement 2,90m de large)...

Lundi 26 octobre : promenade dans Greenwich Village où l'on découvre la maison la plus étroite de NY (seulement 2,90m de large)...

...bâtie à l'emplacement d'un ancien passage et portant le numéro 75 1/2

...bâtie à l'emplacement d'un ancien passage et portant le numéro 75 1/2

Ensuite, balade sur la Highline, cette ancienne voie de chemin de fer transformée en parc urbain linéaire suspendu (oui, oui, on est toujours en plein NY)

Ensuite, balade sur la Highline, cette ancienne voie de chemin de fer transformée en parc urbain linéaire suspendu (oui, oui, on est toujours en plein NY)

De là, belle vue sur le Chrysler Building...

De là, belle vue sur le Chrysler Building...

...sur les avenues new yorkaises...

...sur les avenues new yorkaises...

...et les chantiers qui fleurissent absolument partout

...et les chantiers qui fleurissent absolument partout

Et ça, c'est quoi ? Rien moins que La poste... Colossal, non ?

Et ça, c'est quoi ? Rien moins que La poste... Colossal, non ?

Le ciel est toujours aussi bleu...

Le ciel est toujours aussi bleu...

...et la météo nous gâte : tout le monde en profite !

...et la météo nous gâte : tout le monde en profite !

Le soir, coucher de soleil sur le Flatiron Building, célèbre immeuble de bureaux face à Madison Square

Le soir, coucher de soleil sur le Flatiron Building, célèbre immeuble de bureaux face à Madison Square

De belles lueurs aussi sur l'Empire State Building

De belles lueurs aussi sur l'Empire State Building

Mardi 27 octobre : tandis que Jules et Fifille vont admirer the statue de plus près, je me balade dans SoHo et admire les cast-iron buildings. Je me promène aussi dans China Town (dépaysement garanti) et Little Italy

Mardi 27 octobre : tandis que Jules et Fifille vont admirer the statue de plus près, je me balade dans SoHo et admire les cast-iron buildings. Je me promène aussi dans China Town (dépaysement garanti) et Little Italy

Quand on se retrouve un plus tard dans la journée, on repart direction Uptown. Là, tout est à photographier ! Célèbres immeubles et boutiques de luxe : on ne rate rien !

Quand on se retrouve un plus tard dans la journée, on repart direction Uptown. Là, tout est à photographier ! Célèbres immeubles et boutiques de luxe : on ne rate rien !

En bordure de ce quartier se trouve l'ONU

En bordure de ce quartier se trouve l'ONU

A Time Square dans la soirée, débauche de néons et d’écrans. Il y a tellement de lumière qu'on se demande s’il fait jour ou nuit (et en fait, c'est la nuit !)

A Time Square dans la soirée, débauche de néons et d’écrans. Il y a tellement de lumière qu'on se demande s’il fait jour ou nuit (et en fait, c'est la nuit !)

Cet endroit fait tourner la tête et donne le vertige

Cet endroit fait tourner la tête et donne le vertige

On cherche du réconfort dans le magasin M&M's World : 3 étages de noisettes enrobées de chocolat et de  produits dérivés, nos yeux incrédules s'en sont à peine remis

On cherche du réconfort dans le magasin M&M's World : 3 étages de noisettes enrobées de chocolat et de produits dérivés, nos yeux incrédules s'en sont à peine remis

Mercredi 27 octobre : on passe la journée avec Fiston 2 mais il pleut. Alors, on visite les "intérieurs". Ici St-Patrick Cathedral...

Mercredi 27 octobre : on passe la journée avec Fiston 2 mais il pleut. Alors, on visite les "intérieurs". Ici St-Patrick Cathedral...

... là Trump Tower...

... là Trump Tower...

...avant de se mettre au chaud chez Macy's et Starbucks

...avant de se mettre au chaud chez Macy's et Starbucks

Jeudi 28 octobre : le retour approche mais NY ne serait pas NY si on n'avait pas fait aussi quelques photos de la la skyline au soleil couchant

Jeudi 28 octobre : le retour approche mais NY ne serait pas NY si on n'avait pas fait aussi quelques photos de la la skyline au soleil couchant

The statue dans les lueurs précédant la nuit n'est pas en reste...

The statue dans les lueurs précédant la nuit n'est pas en reste...

Et bien sûr voilà NY by night

Et bien sûr voilà NY by night

Le moment de quitter Fiston 2 est arrivé. L'avion qui nous ramène en France nous attend sur le tarmac. A bientôt NY, on pense déjà à revenir !

Le moment de quitter Fiston 2 est arrivé. L'avion qui nous ramène en France nous attend sur le tarmac. A bientôt NY, on pense déjà à revenir !

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 28 Janvier 2016

Il fait quoi exactement comme métier le monsieur à votre avis ? Je vous laisse cogiter...

VU A NEW YORK...

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 26 Septembre 2015

Après ma nièce il y a 2 ans et demi, c'est le tour de mon neveu de convoler aujourd'hui en justes noces. Ce neveu-là est en fait l'aîné de tous mes neveux et nièces (au nombre de 7). Là, c'est lui et moi quand on avait respectivement 4 mois et 20 ans.

JOUR J POUR LUI

Un premier neveu, c'est toujours un neveu à part, surtout quand on a 20 ans : l'âge de craquer pour les bébés mais où l'on est encore un peu jeune pour en avoir. Alors c'est bien quand on peut profiter de ceux de son grand frérot et de sa belle-soeur.

Evidemment, quand il a décidé d'officialiser son union avec sa chérie (8 ans qu'ils s'aiment !), on a tout de suite dit qu'on serait de la partie... et commencé à prévoir la logistique.

Car ce neveu habite -tout comme une grande partie de ma famille- en Alsace, et aller/retour Bordeaux/Mulhouse sur le week-end, quand ce week-end-là tombe en pleine période scolaire, et qu'on est une famille de 6 (ou 7), ce n'est pas bien évident.

La dernière fois, pour ma nièce, on avait fait le trajet à 5 en voiture (manquait Fiston 2 qui était à l'époque en plein concours et la chérie de Fiston 1 qui était en plein partiels) : partis de Bordeaux le vendredi vers 16h00, on avait fait une bonne partie de la route dans la soirée et dormi à Montceau-les-Mines. On avait repris la voiture le samedi matin de bonne heure pour arriver à destination vers 13h00. Le temps de grignoter un morceau, de se changer chez mon grand frère, et hop ! On était fin prêts dans l'après-midi pour la cérémonie. Fiesta, couchés à pas d'heure, petit brunch et on avait repris la route direction la Gironde vers 15h00 le dimanche pour arriver at home vers minuit... 1 700 km en 48 heures dont 20 dans la voiture... Le lendemain, tout le monde bossait, sauf moi qui était de repos et heureusement car j'étais un peu dans le gaz. Je ne sais pas comment les autres ont fait... Fiston 1 avait même un partiel à la fac (ce qu'il s'était bien gardé de nous dire)...

Cette fois, on a décidé de se la jouer un peu plus cool et de prendre des billets d'avion dès le mois de mai pour bénéficier des tarifs avantageux de la liaison easyJet entre Bordeaux et Mulhouse.

Cette fois, on est 6 puisque la chérie de Fiston 1 nous accompagne.

Cette fois, on n'est même QUE 6, serais-je tentée de dire, puisque cette fois encore Fiston 2 n'est pas là. Comme il va nous manquer ! Mais New York, c'est bien aussi !

Cette fois, on a décidé de dormir sur place, même pas besoin de reprendre la voiture après la soirée de mariage pour aller s'abandonner dans les bras de Morphée (après avoir cédé à ceux de Bacchus).

Cette fois, partis de Bordeaux à midi ce samedi, on arrivera juste à temps pour manger un sandwich, prendre la voiture de loc (merci le CE de Jules !), se changer (va y avoir du spectacle dans les toilettes des filles de l'aéroport) et filer à la mairie. Demain, on aura largement le temps de faire la grasse mat avant de déjeuner chez mon grand frèrot... l'avion du retour n'est que dans la soirée...

Je ne dis pas que ce week-end sera de tout repos, mais on ne devrait pas s'en sortir trop mal ! C'est qu'on embraye sur une dure semaine ! À commencer par mardi...

Et y'a quoi mardi ? Un truc archimégahorrible carrément affreux. Je vous raconte ça plus tard.

(Et convoler, ça s'écrit en un seul mot hein, pas de blague.)

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends, #enfants

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Publié le 29 Août 2015

Les blogs, en plus de tout le plaisir qu'ils nous apportent, permettent aussi de belles rencontres, d'abord virtuelles, puis parfois bien réelles. J'en ai déjà fait l'expérience à plusieurs reprises, au hasard parmi d'autres , et . Et quand ces rencontres se prolongent par l'envoi de cartes postales, de petits colis, de livres, de gentilles attentions, c'est le bonheur qui s'engouffre chez nous (via la boîte aux lettres).

Quand Mary est arrivée à ma porte et que je lui ai ouvert dans une synchronisation parfaite juste une demi-seconde avant qu'elle ne frappe, j'ai eu l'impression de voir une vieille copine de toujours. Quand je dis "vieille", je veux dire ancienne : c'était un peu comme si on s'était vu la veille et le naturel est entré tout à coup dans ma maison au galop.

Il faut dire que Mary et moi suivons nos blogs respectifs pratiquement depuis le début du mien (5 ans le mois prochain) à l'époque où je m'étais inscrite dans sa communauté Petit coin de ciel sur l'ancienne version d'OB, reprise par Alba pendant que Mary mettait au monde sa fille, puis par moi, puis par Arlette et Chat Bleu.

Elle m'avait dit courant juin qu'elle et son mari projetaient de venir en Gironde visiter quelques phares (sa deuxième passion après le ciel à moins que ce ne soit l'inverse) et qu'elle cherchait un petit hôtel dans la région. Je lui ai proposé notre chambre d'amis en toute simplicité, et en toute simplicité elle a dit oui tout de suite.

Jules, Mari de Mary, Mary et moi avons passé une très bonne soirée par un vendredi de juillet. Jules s'était mis aux fourneaux et nous avait préparé un bon repas dont ni Mary ni moi ne nous souvenons complètement des tenants et des aboutissants : il faut croire que nous étions trop occupées à discuter !

En plus d'avoir apporté avec eux leur joie, leur entrain, leur enthousiasme, leur bonne humeur et leur humour, Mary et Mari de Mary étaient aussi venus les bras chargés de cadeaux, un peu comme si le Père Noël s'était trompé de saison et déboulait chez nous en plein mois de juillet.

Voyez vous-mêmes comme nous avons été gâtés de spécialités de leur région. Hum, hum, saurez-vous dire laquelle (si vous ne trouvez pas, c'est que vous êtes vraiment un extra-terrestre, que vous souffrez d'amnésie invalidante ou alors que vous avez moins de 2 ans) ?

De délicieuses kouignettes (bien grassouillettes mais c'est ça qui est bon), version miniature du kouign amann, ici présentées dans plusieurs "parfums" : nature, pépites de chocolat, framboises et caramel beurre salé (mes préférées). J'ai juste eu le temps de prendre en photo les dernières avant qu'elles ne disparaissent dans nos estomacs. Un peu tièdes, elles étaient à tomber. D'ailleurs, moi aussi je suis tombée (sous le charme) !

De délicieuses kouignettes (bien grassouillettes mais c'est ça qui est bon), version miniature du kouign amann, ici présentées dans plusieurs "parfums" : nature, pépites de chocolat, framboises et caramel beurre salé (mes préférées). J'ai juste eu le temps de prendre en photo les dernières avant qu'elles ne disparaissent dans nos estomacs. Un peu tièdes, elles étaient à tomber. D'ailleurs, moi aussi je suis tombée (sous le charme) !

Des salicornes : alors voilà quelque chose que je ne connaissais pas du tout (jamais vu pousser ça en Alsace !). Si j'ai bien tout compris, ces plantes croissent sur des sols riches en sel marin et ses pousses vert tendre sont comestibles. Confites dans du vinaigre, on peut les consommer en omelette, comme hors d'œuvre ou dans une salade. A tester (ce n'est pas encore fait, mais Jules n'arrête pas de me les réclamer) !

Des salicornes : alors voilà quelque chose que je ne connaissais pas du tout (jamais vu pousser ça en Alsace !). Si j'ai bien tout compris, ces plantes croissent sur des sols riches en sel marin et ses pousses vert tendre sont comestibles. Confites dans du vinaigre, on peut les consommer en omelette, comme hors d'œuvre ou dans une salade. A tester (ce n'est pas encore fait, mais Jules n'arrête pas de me les réclamer) !

De la fleur de sel de Guérande si blanche, si précieuse, si fine et délicate (contenant et contenu, Mary pense vraiment à tout) !
De la fleur de sel de Guérande si blanche, si précieuse, si fine et délicate (contenant et contenu, Mary pense vraiment à tout) !

De la fleur de sel de Guérande si blanche, si précieuse, si fine et délicate (contenant et contenu, Mary pense vraiment à tout) !

Du Muscadet du Val de Loire et une bouteille de Nantillais (concentré de fruits avec pulpe à mélanger) qui peut s'accommoder avec du vin ou dans un cocktail sans alcool.

Du Muscadet du Val de Loire et une bouteille de Nantillais (concentré de fruits avec pulpe à mélanger) qui peut s'accommoder avec du vin ou dans un cocktail sans alcool.

Et pour finir, d'authentiques Carabreizh, caramels au beurre salé et à la fleur de sel de Guérande. J'adore, j'adore, j'adore !

Et pour finir, d'authentiques Carabreizh, caramels au beurre salé et à la fleur de sel de Guérande. J'adore, j'adore, j'adore !

Je vous avais dit qu'on avait été gâté (le mot est faible).

Mais ce n'est pas tout. Car Mary m'a aussi apporté des poules pour ma collection. Vous n'en saurez pas plus aujourd'hui, car à elles seules elles méritent tout un article (que vous retrouverez ici).

Je vous laisse sur votre faim... Après un tel billet, c'est assurément un comble.

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 25 Juillet 2015

Rédigé par vivi

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Publié le 23 Février 2015

CIEL DU LUNDI 23 FEVRIER

Mon petit coin de ciel du lundi (je vais donc continuer à dire comme ça puisqu'on n'a pas trouvé la semaine dernière d'adjectif officiel pour dire "du lundi" mais sachez que je suis frustrée !) était lyonnais.

En effet, les vacances de Fiston 2 n'ont duré qu'une semaine cette fois et sont déjà finies. Alors plutôt que de le laisser repartir en covoit' comme on le fait d'habitude, on a décidé de le covoiturer nous-mêmes avec son amie Martine (faut absolument que je vous parle de Martine) et puis aussi Fiston 3 et Fifille bien tentés par un petit tour à Lyon chez leur grand frère.

En traversant le Massif Central, on a rencontré la neige, voire même une tempête de neige au retour, et pour changer on était vraiment contents d'être sur cette autoroute qu'on trouve d'habitude excessivement chère. Cette fois, on s'est acquittés de nos péages avec reconnaissance et même le sourire, trop ravis d'avoir croisé en pleine nuit 4 saleuses sur les voies opposées, d'en avoir dépassé 2 et d'être arrivés à destination sans encombre.

Mais à Lyon, après une matinée un peu pluvieuse et maussade, les nuages ont fini par se dissiper et nous avons finalement trouvé le soleil, ce qui nous a permis de poser la voiture et de faire tous nos trajets à pied en ville, dans le vieux Lyon, et même de monter sur la colline de Fourvière (ah oui, et de faire 3 bars dans la même journée et des parties de baby endiablées, ça devait bien faire 25 ans que ça ne nous était pas arrivé... l'influence de Fiston 2 peut-être sans doute ?).

Je partage donc volontiers avec vous ces beaux ciels, et plus spécialement avec Arlette et Chat Bleu qui les récapitulent chaque semaine.

CIEL DU LUNDI 23 FEVRIER
CIEL DU LUNDI 23 FEVRIER

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur, #vacances-week-ends

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