vacances-week-ends

Publié le 1 Novembre 2014

LE jour pour publier ces photos prises fin août lors de notre virée andalouse.

N'allez pas croire que nous sommes adeptes de nécrotourisme (oui, oui, ça existe)... C'est tout à fait par hasard à Torremolinos, au détour d'un escalier, que nous avons découvert ce cimetière.

L'ETERNITE C'EST LONG, SURTOUT VERS LA FIN

Je n'avais jamais vu un tel endroit.

La curiosité l'emportant, nous avons fait quelques pas au milieu de ces étranges tombes murales à étages.

L'ETERNITE C'EST LONG, SURTOUT VERS LA FIN
L'ETERNITE C'EST LONG, SURTOUT VERS LA FIN

On nous a expliqué que cette configuration étagée était similaire à toutes celles des villes de la région, à cause du peu de place et du relief pentu, accidenté et pierreux, comme ici à Torremolinos, sur les contreforts de la Sierre de Mijas.

Lieu pour le moins bizarre, un peu kitch avec toutes ces fleurs en plastique, qui m'a laissé une drôle d'impression. Je me suis retrouvée à me demander si les morts étaient vraiment heureux ici... s'ils n'auraient pas préféré une petite vue sur la mer (elle était belle pourtant juste de l'autre côté du mur)...

L'ETERNITE C'EST LONG, SURTOUT VERS LA FIN

...ou une petite brise venue du large, s'ils ne se sentaient pas un peu à l'étroit dans ces espèces d'immeubles collectifs à usage post-mortem, s'ils n'avaient pas un peu chaud comme ça en plein soleil et s'il leur arrivait parfois de souffrir de la promiscuité avec leurs voisins...

Peut-être que j'exagère, que je me fais des idées... Mais peut-être que non.

A vous de juger.

L'ETERNITE C'EST LONG, SURTOUT VERS LA FIN

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends, #actualité...

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Publié le 22 Octobre 2014

Rédigé par vivi

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Publié le 12 Juillet 2014

C'était mardi dernier et je vous en avais parlé .

On s'était déjà vues en septembre à Paris, mais cette fois c'était tout près de chez moi.

Arlette était en vacances sur le Bassin d'Arcachon avec sa fille Nathalie et son petit-fils Soren.

Alors l'occasion était trop belle de faire plus ample connaissance avec les deux premières et rencontrer le petit prince "en vrai".

On a pris l'apéro, Nathalie a cuisiné, l'heure de se quitter est arrivée trop vite et la soirée a filé comme une flèche.

Une fois encore, la magie des blogs a opéré. C'était comme si on se connaissait depuis longtemps.

On a passé une vraie belle soirée (avec des blablas à gogo bien évidemment).

On remet ça quand Arlette ?

vivi-et-arlette.jpg

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Rédigé par vivi

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Publié le 19 Février 2014

Rédigé par vivi

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Publié le 29 Décembre 2013

home sweet home

 

Les vacances en Alsace avec tous les enfants, c'était bien. C'était même très bien.

 

J'ai apprécié revoir mes parents, belle-maman, un de mes frères, son amoureuse et deux de ses garçons, mes nièces, mon neveu et leurs chéri(e)s respectifs, mon ex-belle-sœur, l'amie de mon père, mon filleul, le cousin de Jules et sa famille, nos amis et leurs enfants.

 

J'ai adoré avoir mon mari et mes quatre enfants auprès de moi pendant TOUTE une semaine, les écouter plaisanter en permanence et voir combien ils sont complices et proches. Fifille a beaucoup profité des épaules de ses frères, et ça c'était vraiment chouette.

 

J'ai raffolé être gâtée et recevoir plein de cadeaux bien choisis qui ont touché mon cœur.

 

J'ai aimé gâter tout le monde à mon tour et voir enfin ouverts tous ces petits paquets pensés, achetés, préparés et emballés avec amour et affection.

 

Mais rentrer chez soi au bout d'une semaine, c'est bien aussi.

 

Parce qu'entre les menus de fête avec calories +++ chez les amis, dans la famille ou au restaurant, les apéros midi et soir ou presque (on est carrément très loin des recommandations de l'OMS !), les 2 500 kms avalés en 8 jours et à côté de ça une activité physique nulle (heureusement qu'il y a eu la journée passée à arpenter Europa-Park en long en large et en travers, bien que sous la pluie), la promiscuité et la chaleur des appartements, de la voiture ou des chambres d'hôtel, la nuit qui tombe dès 3 heures de l'après-midi, les instants de grande solitude en fin de repas où l'on sent bien que l'on vient d'aborder un sujet qui fâche et les discussions tendues auxquelles il faut rapidement mettre fin si l'on ne veut pas risquer l'incident diplomatique (naan, ne me dites pas que ça n'arrive pas chez vous !), il était temps que l'on réintègre notre home sweet home.

 

Car il y a un moment où chacun a envie de retrouver son espace, son intimité, son chez-soi, ses repères.

 

Les ados étaient vraiment contents de récupérer leur autonomie afin de pouvoir aussi profiter de la semaine de vacances qu'il leur reste... 7 jours avec papa/maman c'est grave cool mais il n'est si bonne compagnie qui ne se quitte... qu'ils z'ont dit. A bon entendeur, salut !

 

Sitôt arrivés, Fiston 1 a filé retrouver sa chérie, Fiston 2 est parti faire un tour de skate dehors, Fiston 3 et Jules ont couru au stade juste à temps pour le coup d'envoi du match de rugby UBB-Brive et Fifille a squatté la salle de bain et la douche, retrouvant le plaisir de pouvoir y rester à sa guise et de n'avoir à les partager avec personne.

 

Quant à moi, après avoir rangé le plus gros et mis une première machine à laver en route, je me suis offert une petite promenade au soleil...

 

Puisqu'il paraît que charité bien ordonnée commence par soi-même, autant en profiter...

 

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Rédigé par vivi

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Publié le 3 Novembre 2013

 

Ou quand le Petit coin de ciel du lundi paraît avec six jours de retard pour cause de vacances et de grosse flemme aussi.

 

Ce lundi 28 octobre, nous venons d'arriver dans le Pays Basque (eh oui, encore ! la dernière fois c'était et c'était il n'y a pas si longtemps que ça).

 

Mais aujourd'hui, le ciel est gris/noir, bas, tourmenté. Les nuages s'accumulent les uns contre les autres, se pressent, se poussent, s'amoncellent. On dirait qu'ils ne savent plus où se mettre tant ils sont nombreux et la place dans le ciel restreinte. Le vent souffle en rafales sur la route de la corniche entre Socoa et Hendaye, la pluie éclabousse le pare-brise de la voiture, se déverse sans discontinuer et les essuie-glaces ont bien du mal à suivre le rythme.

 

Jamais vu à cet endroit-là l'océan autant en furie. La mer glaciale (je suppose) est déchaînée et blanche d'écume, les vagues en colère sont énormes et chargées de sable. Elles viennent s'écraser furieusement sur la plage et les rochers. Elle est bien loin n'est-ce pas la belle eau bleue et calme de la Baie de Loya photographiée cet été...

 

ciel 28 octobre

 

Et pourtant, comme au beau milieu du mois d'août, difficile de s'arrêter et de stationner le long de la route ce lundi matin. De nombreux badauds ? touristes ? locaux ? armés de parapluies ont fait fi des conditions atmosphériques déplorables et se sont postés aux endroits les plus dégagés. Tournés vers le large, ils scrutent...

 

Seuls les plus prévoyants, munis de jumelles ou de super téléobjectifs, auront le plaisir de voir les courbes et la danse de Belharra...

 

Qu'est-ce ? Une femme ? Une sirène ? Un bateau ? Un monstre marin ? Une tempête ?

 

Rien de tout cela car Belharra est une vague.

 

Elle porte son nom en référence à l'éperon rocheux lui permettant de se former, le Belharra Perdun, un haut-fond situé sur la côte basque.

 

Géante, XXL, mythique, de 8 à 12 mètres de haut (un immeuble de 4 étages), elle considérée comme l'une des plus grosse d'Europe. Sa particularité est de ne déferler que très rarement (moins d'une fois par an) et seulement lorsque certaines conditions météorologiques sont réunies : une grosse dépression qui se forme au large de l'Angleterre et qui amène progressivement une houle très conséquente en direction du Pays Basque, des vents favorables qui soufflent de la terre vers la mer et des coefficients de marée pas trop importants.

   

Elle a été surfée pour la première fois il y a onze ans et, lundi, un certain nombre de professionnels étaient au rendez-vous pour s'y frotter.

 

Pour l'atteindre, ça paraît tout simple (par écrit seulement) : il suffit de se faire tracter par un jet ski jusqu'à environ 3km de la plage. Ensuite, c'est une bulle d'extase. Entre la taille des vagues qui donne un sentiment de petitesse au milieu de tout ça, la vitesse, le bruit, le vent, c'est vraiment un immense kif" dixit le surfeur Stéphane Iralour.

 

Il ajoute quand même que le risque principal, c'est la noyade, parce qu'une fois sous des tonnes d'eau comme ça (le mur d'eau peut arriver à plus de 60km/h) on ne sait jamais ni comment ni où on ressort.

 

Ci-dessous les exploits de Peyo Lizarazu (le frère de Bixente), Stéphane Iralour et surtout ceux de la Girondine Justine Dupont, première surfeuse en Europe de la vague Belharra.

 

Attention, spectacle éblouissant (et... euh.. c'est chez nous au Pays Basque, cocorico).  

 

 

 

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Rédigé par vivi

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Publié le 15 Octobre 2013

Depuis le temps qu'elle me faisait de l'œil la belle montagne de la Rhune chaque fois qu'on allait au Pays Basque, dominant l'océan et la côte du haut de ses 905 mètres...

la-rhune.jpg

Il a suffi d'un beau samedi d'automne bien ensoleillé et doux, d'un couple d'amis, d'un Jules et d'une Vivi hyper motivés à l'idée d'aller digérer aussi vite l'apéro, le chorizo, le plat de chipirons farcis, l'Ossau-Iraty, le gâteau au chocolat et je ne vous parle même pas de la petite bouteille d'Irouléguy que l'on venait de se mettre derrière la cravate pour que ni une ni deux nous voilà tous en route.

Au Pays Basque, il n'y a pas cinquante façons de monter la Rhune : c'est à pied, comme le veut la coutume.

La promenade ne fait que 9,5 km aller/retour mais il faut compter avec le dénivelé de 780 m.... Eh oui !

Le départ se fait d'une altitude de 114 m, traditionnellement au parking des carrières de la commune d'Ascain et, là, le point de vue vaut déjà la peine qu'on s'y attarde quelques minutes.

Le ciel est d'un très beau bleu, l'air est doux, le soleil d'octobre nous réchauffe encore un peu, le paysage est imposant, et ce n'est que le début.

la rhune 1 Mais dès les premiers mètres, la grimpette est sévère et, un instant, j'ai eu un peu peur : se pourrait-il vraiment qu'on ait eu tort de manger tous ces morceaux de gâteau basque ?

Cependant, chaque fois que l'on se retourne le paysage est si grandiose et si coupesoufflant (au loin l'océan) que l'on oublie carrément de penser à quoique ce soit pour uniquement profiter de l'instant. Tout cela est euphorisant et nous donne des ailes (non non, l'Irouléguy n'y est plus pour rien).

la rhune 2

Dans la montagne, nous ne sommes pas seuls. Il y a pas mal de promeneurs français et espagnols qui marchent en famille (même si la plupart d'entre eux n'ont pas traîné à table comme nous et sont déjà sur le retour), certains même nous doublent car ils montent la Rhune en courant (si ! si !).

Et puis il y a des vaches, des brebis, des vautours (pas pour nous j'espère), des chevaux avec des cloches au cou (si ! si !) et même des pottoks, ces robustes petits poneys sauvages qui vivent librement dans les massifs du Pays Basque.

la rhune 3

Normalement, pour le moral, il ne faudrait pas regarder en haut tout le chemin qu'il reste encore à parcourir... Mais, évidemment, on ne peut pas s'empêcher...

Pfff... C'est encore loin ?

la rhune 4

Lentement mais sûrement, on prend de l'altitude. Dans notre dos, l'horizon s'élargit et, quand on se retourne, notre regard se porte de plus en plus loin.

La montagne résonne de bruits, de cris d'oiseaux, d'aboiements, d'eau qui coule, de nos blablas et même de chants que l'on devine au loin...

la rhune 5

Pas après pas, montée après montée, virage après virage, on se rapproche de notre but. Pas question de mollir sur la fin car, tout doucement, le soleil décline et plus on s'approche du sommet, plus la pente est raide. Les tout derniers mètres se font même le long de la voie de chemin de fer de la Rhune, un des rares chemins de fer à crémaillère encore en activité.

En effet, sur une voie métrique (dont l'écartement des rails est de 1 000 mm), inaugurée en 1924, roulent encore des rames de collection d'époque, bondées l'été. 

la rhune 10

Enfin arrivés au sommet !

De là, un panorama à 360° s'offre à nos petits yeux émerveillés. On domine à perte de vue les côtes françaises et espagnoles, ainsi que la chaîne des Pyrénées. La vue et la luminosité sont exceptionnelles (même si c'est un peu brumeux) et on distingue très nettement les plages et les pinèdes landaises (plus visibles sur la deuxième photo, zoomée).

la rhune 6

la rhune 8

Ma copine avait mal au genou et craignait la descente, alors toutes les deux, après une pause et une bière, on a pris le petit train pour le retour... Nos maris sont repartis à pied. Ben oui, forcément, il fallait bien quelqu'un pour récupérer la voiture !

En attendant le départ, et dans le train, nous étions accompagnées par un chœur basque composé d'hommes très imbibés gais et avons eu droit gratos à tout leur répertoire y compris Airetun chikitun airetun lairé et Les fêtes de Mauléon. Merci les cousines, grâce à vous j'ai pu suivre et assurer (mais un petit détail me chiffonne, on dit dans les bras de leurs chers galants ou amants parce que moi j'ai toujours dit amants) ?

la rhune 9

train-de-la-rhune.jpg

 photo du web 

On est arrivées à la gare de St-Ignace 35 mn plus tard (pas vu le temps passer entre des paysages fabuleux dans le soleil couchant et l'ambiance à bord) et il n'a pas fallu longtemps à nos hommes pour venir nous rejoindre. Heureusement, car il faisait presque nuit.

Ils avaient mal aux cuisses les pauvres, alors que nous pas du tout ! Soit disant que c'était parce qu'on n'avait pas fait la descente avec eux. N'im-por-te quoi !

En tout cas, quelle journée !

Vous avez pu suivre jusqu'au bout ?

Allez, une dernière petite photo pour la route !

Aaaaaahhhh !!!!!

la rhune 7

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Rédigé par vivi

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Publié le 30 Septembre 2013

cuvée 2013

 photos prises par Mélissa

J'avais déjà commencé à l'évoquer , la journée du 28 septembre promettait d'être tout à fait exceptionnelle.

Et elle le fut ! Tout autant qu'elle fut folle, pleine d'émotion, surprenante et à présent riche en souvenirs.

En effet, les rencontres bloguesques se suivent et... se ressemblent, tout du moins sur le plan des sentiments, des échanges, du plaisir, de la satisfaction et du bien-être proche de la béatitude que l'on peut ressentir à la fin de la journée.

Non, je ne mâche pas mes mots mais je le dis au contraire haut et fort, d'autant que j'étais plutôt sceptique au départ sur la sincérité et la solidité que pouvaient avoir des relations bloguesques que j'imaginais il y a quelques temps maintenant révolus exclusivement virtuels. Je me suis vraiment gourée et pas qu'un peu sur toute la ligne.

, il y avait eu une rencontre avec Valérie il y a presque 3 ans, un petit café avec Alba avant son départ au Maroc et  un merveilleux week-end inoubliable avec Carole, Cécé, Mélissa et Sam dans le Nord.

Cette fois, c'est à Paris que j'ai fait la connaissance de 4 nouvelles blogueuses (Arlette et ses deux Nathalie, Coco/blog privé, Fred et Val1603) et que j'ai revu avec le plus grand des plaisirs 5 blogueuses déjà vues par le passé (Carole, Cécé, Mélissa, Sam et Valérie).

cuvée 2013 3

photos prises par Mélissa et Carole

Au programme des retrouvailles à la gare Montparnasse, puis devant l'Hôtel de Ville, un repas orchestré par Mélissa et Val1603, un passage obligé par la Tour Eiffel, une pause dans l'herbe du Champ de Mars et... bien sûr... on est à Paris ou on ne l'est pas... un peu de métro !

Au final, une journée complètement folle avec un réveil à 4h45 et un retour à la maison vers 23h30 sous les orages et la pluie, beaucoup de blablas, des échanges de cadeaux (et je dois dire que sur ce coup-là j'ai été si gâtée que je me demande encore si j'ai vraiment mérité tout ça).

cuvée 2013 1cuvée 2013 2 

Merci de tout cœur Mélissa pour l'organisation de cette belle journée et pour avoir permis que nous nous retrouvions toutes.

Mais à quand la prochaine rencontre ? Ça y est, j'ai récupéré, je suis re-partante !

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Rédigé par vivi

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Publié le 23 Septembre 2013

 

Mais pourquoi donc ?

 

billet 2 

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Publié le 15 Août 2013

Rédigé par vivi

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