Publié le 30 Août 2013

 

Une surprise dans le tas de bois...

 

surprise-dans-le-bois.jpg

 

...qui m'en rappelle une autre déjà publiée il y a deux ans.

 

dame nature

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Rédigé par vivi

Publié dans #divers

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Publié le 26 Août 2013

  ciel-26-aout-copie-1.jpg

 

Hier, ça sentait trop la rentrée. Pluie, vent, chute vertigineuse des températures. On a barbecueté dehors sur la terrasse couverte mais il a fallu rentrer à l'intérieur pour le café, on avait les pieds gelés dans nos tongs.

 

Aujourd'hui, le beau temps et le soleil sont revenus. Alors on se plaît à penser que les vacances sont encore un peu là. D'ailleurs, pour les enfants -donc pour nous-, elles sont encore un peu là.

 

Mais Fiston 1 vient de rentrer d'un voyage à Paris et a rendez-vous à la fac pour son inscription en 2ème année de master dans 3 jours...

 

Mais Fiston 2 termine son contrat au centre de loisirs dans une semaine exactement et dans une semaine et un jour exactement il sera à nouveau sur les bancs de la Khâgne...

 

Mais Fiston 3 a déjà fait sa rentrée sportive virtuelle à défaut de sa rentrée scolaire : grands prix, championnats divers, il est dans les starting blocks depuis longtemps afin de ne rater aucun des événements que le net pourra diffuser...

 

Mais Fifille est en stage de hand-ball avec ses copines en préparation de la nouvelle saison qui s'annonce. La reprise est dure. Ce soir, elle est en compote (je cite)...

 

Mais Jules a repris le travail depuis une semaine et moi depuis deux semaines... Demain, je retrouverai ma collègue qui elle aussi est rentrée de vacances.

 

Mais ma mère qui est venue passer une quinzaine de jours chez nous repart déjà après-demain. Elle non plus ne veut pas rater le début de ses activités : bibliothèque, yoga, tai-chi, informatique... C'est ça les mamies modernes, elles ont des emplois du temps de ministre et ne laissent aucune place à l'improvisation...

 

Alors, malgré le beau temps et la chaleur qui persistent, si ça sent pas la rentrée tout ça...

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

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Publié le 25 Août 2013

cyanure

Voilà un petit roman policier qui se lit à toute vitesse et dont le format idéal permet aisément d'être glissé ni vu ni connu dans un sac à main ou même dans une poche.

Encoooore un Camilla Läckberg ??? me direz-vous.

Oui. Et je les aurai bientôt tous lus. Celui-ci ne fait cependant pas partie de la série de ceux mettant en scène Erika Falck et son mari, mais a pour héros Martin Molin, le jeune collègue de Patrick Hedström.

L'histoire n'a pas été sans me rappeler celle de Dix petits nègres d'Agatha Christie, en moins terrifiant toutefois. Il faut dire que j'avais lu ce livre un été quand j'avais 12 ou 13 ans et que je me souviens en avoir rêvé pendant pas mal de temps après. Naïvement, je me suis à l'époque longtemps demandé comment le juge avait pu ainsi trahir et leurrer tout le monde (à commencer par le lecteur lui-même c'est-à-dire moi), mine de rien, comme ça sans avoir l'air de, sans scrupules ni remords et sans que je soupçonne une seule seconde son petit jeu sournois. J'en étais restée baba... et aussi effrayée par tant de tromperie. 

Dans Cyanure, c'est un peu la même chose mais pas que.

Alors avant d'en dire trop, je vous laisse avec la 4ème de couverture qui vous donnera peut-être envie de découvrir ce polar que même Fifille a dévoré.

Quelques jours avant Noël, Martin Molin, le collègue de Patrick Hedström, accompagne sa petite amie Lisette à une réunion de famille sur une île au large de Fjällbacka.

Mais au cours du premier repas, le grand-père, un richissime magnat de l'industrie, leur annonce une terrible nouvelle avant de s'effondrer, terrassé. Dans son verre, Martin décèle une odeur faible mais distincte d'amande amère. Une odeur de meurtre.

Une tempête de neige fait rage, l'île est isolée du monde et Martin décide de mener l'enquête. Commence alors un patient interrogatoire que va soudain troubler un nouveau coup de théâtre.

Offrant une pause à son héroïne Erica Falck, Camilla Läckberg nous livre un polar familial délicieusement empoisonné.

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Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

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Publié le 21 Août 2013

journal d'un corps

 

Il y a quelques années, j'avais tenté de lire la saga des Malaussène dont tout le monde me disait le plus grand bien mais j'avais eu le plus grand mal à accrocher et avais dû abandonner en cours de route (je n'ai pas dit en cours de livre, quelle horreur) juste après la Fée Carabine.

 

Un peu plus tard, je me suis réconciliée avec Daniel Pennac en lisant Chagrin d'École dont certains passages m'ont tellement fait rire que je me souviens les avoir lus à table aux enfants, persuadée qu'ils ne pourraient pas être insensibles à l'humour de cet auteur. Quelle ingéniosité, quels stratagèmes, quels trésors de psychologie ce prof de français, ancien cancre lui-même, a déployés pour intéresser ses élèves à l'étude des belles-lettres. Pour autant que je m'en souvienne, ce livre est une vraie réflexion sur le système éducatif, la pédagogie, le rôle des parents et de la famille, celui de la télévision et des moyens de communication modernes, sur la soif d'apprendre qui, dixit l'auteur et contrairement à ce qu'on pourrait penser, anime les jeunes d'aujourd'hui comme ceux d'hier.

 

C'est pourquoi sans doute je me suis laissée tenter par l'achat de Journal d'un corps.

 

De 13 à 87 ans, âge de sa mort, le narrateur, né en 1923 et mort en 2010, a tenu scrupuleusement, minutieusement et plus ou moins régulièrement le journal de son corps et de tous ses "ressentis". Pas un journal intime où l'on coucherait ses sentiments. Non. Le récit, parfois un peu cru, anatomique et sans artifice (mais pas tant que celui de Bix Sabaniego) de toute une existence examinée et décrite depuis le corps et sa scrutation sous tous les angles, même les plus triviaux.

 

Fluides, matières, chairs, tripes et orifices compris.

 

Nous qui nous sentons parfois si seuls dans notre carcasse, nous découvrons peu à peu que ce jardin secret est un territoire commun. Tout ce que nous taisons est là, noir sur blanc, et ce qui nous fait si honte ou peur devient souvent matière à rire.

 

D'un point de vue exclusivement féminin, ce livre pourrait être ainsi résumé, mais pas que  :

 

50 ans, 3 mois - jeudi 10 janvier 1974

Si je devais rendre ce journal public, je le destinerais d'abord aux femmes. En retour, j'aimerais lire le journal qu'une femme aurait tenu de son corps. Histoire de lever un coin du mystère. En quoi consiste le mystère ? En ceci par exemple qu'un homme ignore tout de ce que ressent une femme quant à la forme et au poids de ses seins et que les femmes ne savent rien de ce que ressentent les hommes quant à l'encombrement de leur sexe.

 

Voilà quelques autres extraits, en vrac, qui m'ont plu ou "parlé" (impossible de tous les citer) :

 

29 ans, 7 mois, 28 jours - dimanche 7 juin 1953

Cette différence entre le câlin de pure tendresse et celui que l'on consent pour en finir avec les pleurs. Dans le premier cas le bébé se sent au centre de l'amour, dans le second il sent l'envie de le jeter par la fenêtre.

44 ans, 10 mois, 5 jours - jeudi 15 août 1968

Toujours la plage. Je lis, allongé sur ma serviette. J'y vais dit Mona. Je la regarde marcher vers la mer. Quelle merveille, cette continuité du corps féminin que rien ne vient interrompre ! Il faut dire que Mona ne porte jamais ces maillots de bain deux pièces qui tranchent les femmes en cinq.

46 ans, 2 mois, 29 jours - jeudi 8 janvier 1970

A la façon très particulière dont Chevrier s'est mis à me regarder à midi, alors que nous commentions Genève devant nos tranches de foie de veau, j'ai su qu'un bout de persil était resté collé quelque part du côté de ma lèvre inférieure. Ce qui m'a fait repenser à un certain Valentin qui m'épatait fort à l'époque où je préparais le concours. Un puits de science, des digressions enchanteresses sur l'amour courtois, les poètes de la Renaissance ou la Carte de Tendre. Mais lui ne comprenait pas ce genre de regard et il mangeait comme un cochon. A la fin du repas, nous lisions le menu sur sa barbe. C'était absolument répugnant. Et un signe avant-coureur de la clochardisation qui devait le conduire des années plus tard en hôpital psychiatrique, lui, le major de sa promotion.

 

Au final, un livre tout à fait unique en son genre, assez agréable à lire et que l'on a du mal à quitter tout de suite une fois la dernière page tournée...

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

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Publié le 15 Août 2013

Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 13 Août 2013

 

Les vacances se sont terminées comme elles avaient commencé, c'est-à-dire par de belles journées passées chez nous à la maison.

 

Nous avons même pu nous retrouver tous les six non sans difficulté pour quelques repas partagés à l'ombre de la terrasse.

 

Nous avons aussi profté du soleil et de la chaleur lors de sorties dans notre région d'adoption.

 

Baignade au bord du Lac de Lacanau (qui s'est achevée au milieu d'une course poursuite gendarmes/chauffards sur les routes du Médoc. Nous on avait rien demandé hein, on voulait juste rentrer chez belle-maman)...

 

lac lacanau

 

Tour en bateau sur le Bassin d'Arcachon...

 

bassin d'arcachon

 

Et bien sûr, nous n'avons pas résisté à la tentation d'aller bandarguiner avec Robert et sa petite famille (les ados ont skié, joué au foot et vu des barracudas en faisant du snorkeling), puis de gravir la Dune du Pyla et d'en redescendre en courant et en hurlant comme des malades (oui, oui, je sais, on est restés de grands enfants).

 

banc d'arguin

 

banc d'arguin 1

 

Comme vous pouvez le constater, notre activité a été dé-bor-dante. Si vous en doutez, demandez donc à Fiston 3 ce qu'il en pense...

 

trop dure la vie

 

Mais aujourd'hui, elle est finie et bien finie la rigolade.

 

Les congés sont terminés (au moins jusqu'à la Toussaint) et je suis retournée au boulot avec entrain et bonne humeur.

 

Si, si.

 

Penser le contraire serait mal me connaître (mais j'ai quand même gardé aux pieds une petite touche de folie en souvenir de ces vacances, histoire de croire encore un peu que la reprise n'a pas vraiment eu lieu).

 

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 11 Août 2013

Rédigé par vivi

Publié dans #enfants

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Publié le 9 Août 2013

 

Après les deux jours passés au Pays Basque avec Fifille, nous sommes rentrés à la maison récupérer Fiston 3 à l'aéroport, accessoirement faire quelques tournées de linge, remplir le frigo qui-se-vide-même-quand-on-n'est-pas-là (cherchez l'erreur) et voir le spectacle préparé par Fiston 2, les autres anims et les bout'choux du centre aéré où il travaille pendant l'été. Trop bien ! On est carrément retombés en enfance. Heureusement, la tribu des Pâlichons a fini par retrouver le soleil et Cartouche, le cow-boy sans peur et sans reproche, a neutralisé l'ignoble shérif qui terrorisait la région sans scrupules depuis des lustres. Tout est bien qui finit bien.

 

Ensuite, on a proposé à nos ados de partir quelques jours avec nous en Provence mais, curieusement, personne n'a voulu nous suivre : Fiston 1 a préféré rester avec sa chérie (le contraire eut été alarmant), Fiston 2 a pris le train pour rejoindre des jumeaux à Rochefort, tandis que Fifille et Fiston 3 ont promis d'être sages, chaperonnés en partie par belle-maman, de donner à manger aux poules et au chat, de tenir compagnie à l'ordinateur pour pas qu'il soit triste tout seul et d'arroser le jardin en notre absence si besoin.

 

Et c'est ainsi que nous avons, Jules et moi, baigné dans l'huile d'olive, la lavande, les cigales et le rosé pendant quelques délicieuses journées passées à Orange.

 

Nous avons (re)visité quelques incontournables de la région, dont l'abbaye de Sénanque. On ne se lasse pas et c'était la première fois que je la voyais avec la lavande en fleurs.

 

abbaye-de-senanque.jpg

 

lavande.jpg

 

Évidemment, je ne suis pas repartie avant d'avoir fait quelques achats absolument in-dis-pen-sables (ouf, les Chinoises n'avaient pas tout pris). On est fan de lavande ou on ne l'est pas ! Moi... ben je vous laisse deviner tiens !

 

achats.jpg

 

Un autre jour, on a découvert le village de Roussillon, le sentier des ocres et des paysages assez improbables pour la région.

roussillon1.jpg 

roussillon.jpg

 

Un matin, on s'est même mis en route à 8h00 pour aller jusqu'aux Baux de Provence, son château et ses carrières de lumière. C'était ça ou on était obligés de se garer à 3 kilomètres du village... En effet, comment vous dire que... on n'était pas vraiment les seuls à avoir eu cette merveilleuse idée...

 

les-baux.jpg

 

Le reste du temps, on a bu l'apéro et mangé à l'ombre des platanes.

 

Allez, je vous dispense de toutes les autres ruines monuments historiques que nous avons visité ou failli visiter, la région en regorge et si on écoutait Jules on ne ferait que ça...

 

tarascon.jpg

 

Ça et.... quelques dégustations de vin ! De ça aussi la région regorge.

 

vin1.jpg

 

Mais pour finir, Jules n'a pas pu s'empêcher de gravir le Ventoux en vélo, et même d'en redescendre.

 

ventoux1 

La photo n'est pas très nette, c'est parce qu'il faisait chaud, quasiment 36° tous les jours...

 

À notre retour en Gironde, les températures avaient chuté de moitié...

 

Si on s'était écoutés, on aurait fait la bise aux ados, fêté l'anniversaire de Fiston 1 et on serait repartis dare-dare d'où on venait...

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 7 Août 2013

Rédigé par vivi

Publié dans #enfants

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Publié le 6 Août 2013

Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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