Publié le 29 Mars 2015

L'année dernière, pour Pâques, j'avais piqué à Mary son idée de poussins sur nid de carottes râpées.

Cette année, c'est en voyant son article et son tuto sur la réalisation de serviettes "carottes" que j'ai soudain eu une grosse envie de poules en origami.

Je ne savais absolument pas comment m'y prendre. Mais, ce n'est pas à vous que je vais l'apprendre : on trouve tout sur le net !

Quelques clics et quelques pliages plus tard, je vous livre ci-dessous le résultat de mes expérimentations.

1er essai - Avec du brouillon, je trouve que ce n'est pas si mal pour une première.

1er essai - Avec du brouillon, je trouve que ce n'est pas si mal pour une première.

2ème essai - J'ai voulu tester un papier un peu cartonné : trop épais ! J'ai abandonné avant la fin.

2ème essai - J'ai voulu tester un papier un peu cartonné : trop épais ! J'ai abandonné avant la fin.

3ème essai - Avec un grammage 80, les pliages sont bien plus faciles à réaliser.

3ème essai - Avec un grammage 80, les pliages sont bien plus faciles à réaliser.

4ème essai - Et en orange, ça vous plaît ? A moi, pas trop.

4ème essai - Et en orange, ça vous plaît ? A moi, pas trop.

5ème essai - Le vert rend bien, mais ma poule ressemble vraiment trop une girafe.

5ème essai - Le vert rend bien, mais ma poule ressemble vraiment trop une girafe.

6ème essai - Laborieux ! Mais j'aime bien l'allure générale de l'animal !

6ème essai - Laborieux ! Mais j'aime bien l'allure générale de l'animal !

Même si le tuto trouvé sur le net est très bien fait, je me suis rendu compte que les tout premiers pliages sont essentiels pour la suite. Rigueur et précision indispensables ! Par ailleurs, les angles selon lesquels le papier est plié sont super importants. Quelques degrés de plus ou de moins à certains endroits et le rendu final n'est plus le même.

Demain, je recommence l'entraînement. D'ici Pâques, je finirai bien par être au point.

Si vous aussi vous voulez vous amuser, le tuto que j'ai utilisé est .

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Rédigé par vivi

Publié dans #poules, #travaux d'aiguilles et bricoles

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Publié le 28 Mars 2015

LE CREATEUR

Hum, je sens que ça va être compliqué de parler de ce livre... parce qu'on ne peut pas juste dire de lui : il était génial, ou il était nul.

Pour commencer par le commencement, c'est le cadeau de Noël de Fiston 2 parce qu'il sait que j'aime beaucoup les romans policiers, et plus particulièrement les auteurs venus du froid. Sauf que ce livre n'est pas un polar, mais un roman. Par contre, Gudrun Eva Minervudottir (comme son nom le laisse un tout petit peu présager), est bien née à Reykjavik.

Je n'ose pas vous citer la quatrième de couverture, c'est très effrayant, même si ce n'est pas ce qu'on croit, et les premières pages du livre ne valent pas mieux, même si ce n'est toujours pas ce qu'on croit. Un petit extrait quand même pour vous mettre dans l'ambiance ?

Des cheveux d’un noir de jais, des lèvres rosées légèrement entrouvertes, de longs cils recourbés, un corps parfait. Elle est sublime, tout simplement. Et elle a disparu. Pour Sveinn, son créateur, aucun doute possible : la coupable est Lóa, cette étrange bonne femme surgie de nulle part qui a échoué chez lui après une panne de voiture, complètement déboussolée. Mais pourquoi diable une mère de famille au bord de la crise de nerf voudrait-elle s’encombrer d’un tel fardeau ? Furieux et désemparé, Sveinn part à la recherche de sa belle brune en silicone… et peut-être aussi de lui-même.

Les faits se déroulent chronologiquement sur une petite semaine. Ils mettent en scène la rencontre improbable entre Sveinn, un artiste solitaire (il fabrique des poupées non non pas gonflables mais en silicone qui sont néanmoins des répliques pour adultes en manque d'affection...) et Loa, une femme souffrant d'un problème d'alcool, mère de deux filles dont l'une est anorexique (un peu plus et je me croyais au boulot)...

Et après ? Comment dire ? L'ambiance est assez sombre, troublante et déstabilisante. On fait plus ample connaissance avec ces deux êtres que la vie n'a pas épargnés, très différents mais qui partagent cependant un mal-être, une grande solitude, des névroses, voire une certaine misère.

L'histoire avance très doucement, comme j'imagine peut-être la vie dans ce pays isolé qu'est l'Islande, parfois semble-t-il presque en temps réel, Il y a aussi de l'humour, mais noir, qui ne peut sûrement pas plaire à tout le monde.

Au total, un livre original et déroutant pour lequel j'ai éprouvé des sentiments assez ambivalents : envie de connaître très vite la suite et en même temps envie d'en finir rapidement.

Gudrun Eva n'en est pas à son premier roman, alors pourquoi pas un autre un de ces jours pour me faire une meilleure idée de ce que l'auteur a produit ?

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

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Publié le 23 Mars 2015

CIEL DU LUNDI 23 MARS

Pas facile aujourd'hui de trouver un petit coin de ciel bleu à partager avec vous et plus spécialement avec Arlette et Chat Bleu qui les répertorient chaque semaine.

Le temps est resté maussade et gris, quoiqu'aient prédit les météorologues qui avaient annoncé du soleil et des températures tout à fait printanières.

Bah, on va dire qu'il y a eu maldonne et qu'ils se sont mépris, voilà et puis c'est tout.

Et sinon ? Vous voulez quelques blablas et des nouvelles de la petite famille ?

En voilà, en voilà !

Fiston 1 va bien. Figurez-vous qu'il a déménagé ses affaires d'Angers à Bordeaux ce week-end. Eh oui, son année scolaire là-bas est déjà terminée et il est à présent en stage pour 3 mois... Indispensable en effet de passer de la théorie à la pratique ! Sa chérie est contente de le retrouver à plein temps et de réinstaller son ordi tout près du sien... Et vice-versa.

Fiston 2 va bien aussi. On a eu le plaisir de le voir débouler en covoit' dans la nuit de jeudi à vendredi, arrivée à 3 heures du matin sur le parking du Buffalo Grill ! C'est Jules qui s'est dévoué pour aller le chercher dans la métropole girondine car à cette heure-ci, évidemment et pour cause, plus de transports en commun vers notre campagne... Il est courageux mon Jules hein ? Et Fiston 2 en a de la chance d'avoir un gentil papa comme ça dit celle qui est lâchement restée au chaud sous la couette à continuer à roupiller comme si de rien n'était.

Fiston 3 va bien aussi. De ses cours, on ne sait pas grand-chose même quand on l'interroge sous la torture mais il revient tous les vendredis soir avec le sourire et la frite, c'est plutôt rassurant pour les parents ! Encore 4 petites semaines de cours, 2 semaines de vacances... Et hop ! En stage pour 2 mois lui aussi.

Fifille va bien également. Actuellement en plein choix d'orientation, elle se triture le cerveau dans tous les sens pour savoir quelle section elle suivra l'année prochaine. L ? S ? ES ? Pas facile quand on veut à la fois être architecte, docteur en sociologie, écrivaine, faire de la physique et vivre dans le Sahara.

Et Jules ? En plus de bricoler, faire la vaisselle, chasser les taupes dans le jardin et enterrer les poules que le goupil a dévorées (oui, oui, mes belles poupoules toutes neuves -et même une vieille-, toutes occises, transformées en petits bouts de poules disséminés par-ci, par-là), Jules pédale, court, nage pour se préparer au 70.3 auquel il est inscrit au mois de mai prochain. Dit comme ça, pour vous comme pour moi il y a encore quelques jours, c'est du chinois et mérite quelques explications que je vous donne illico : l'appellation 70.3 vient de la distance totale de la course en miles (allez savoir pourquoi ?), soit 113,1 km qui correspondent à la moitié de la distance d'un Ironmnan soit 1,9 kilomètre de natation, 90 kilomètres de vélo et 21,1 kilomètres de course à pied. Vous avez tout bien compris ? Attention, je peux à tout moment vous demander de sortir une feuille, un stylo et faire une interrogation écrite.

Last but not least, j'ajouterai pour terminer que tout va bien pour moi aussi. J'ai passé une chouette journée et un bon moment de blablas et de complicité avec ma Juju à midi. A refaire ! Et pour les petits kifs du jour : j'ai adoré la visite-surprise de Fiston 1 qui n'était pas du tout prévue (d'où son nom), le sms de Fiston 2 avant le repas "Bon app' la mamma", la bonne humeur (quasi) constante de Fiston 3 et le fou-rire avec Fifille quand je lui ai proposé un gros câlin dans les brabrounets de maman comme quand elle était petite.

Et ce soir, Jules m'a offert des fleurs ! What else ?

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

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Publié le 21 Mars 2015

20 BONNES RAISONS D'ARRETER DE LIRE

Plutôt original, drôle et instructif ce petit bouquin offert par ma maman lors de mon dernier anniversaire. Et dédicacé en plus, parce qu'elle a rencontré son auteur en personne à la Foire du Livre de St Louis.

Pierre Ménard, âgé d'à peine 23 ans (22 à l'époque), étudiant à HEC, en est déjà à son 3ème bouquin. 20 bonnes raisons d'arrêter de lire est le 2ème (juste après Pour vivre heureux, vivons couchés et juste avant Comment paraître intelligent.

S'appuyant sur les auteurs les plus classiques de la littérature, il essaie de démontrer que, loin d'être une vertu, la lecture est un danger pour l'humanité.

"Lire c’est comme prendre de l’alcool ou de l’opium.  Au même titre que ces substances, la lecture devrait être reconnue comme une addiction, et faire l’objet d’une nouvelle loi Evin. On se grise au début, dans une insouciance agréable. Tout le monde le fait, pourquoi pas nous ? On en reveut. On s’isole. On en redemande. On s’enferme peu à peu dans un monde parallèle…"

Oui, "lire coupe du monde, et pas seulement les footballeurs".

Oui, lire rend fou. Pas un seul auteur qui ne soit normal : les uns sont alcooliques (Hemingway, Musset, Rimbaud...) ou épileptiques (Lord Byron, Flaubert, Molière...), les autres cocaïnomanes (Conan Doyle, Stevenson), consommateurs de haschisch (Baudelaire, Verlaine, Balzac...), de LSD (Aldous Huxley), de morphine (Nabokov) ou d'opium (Oscar Wilde). Nombreux sont ceux qui ont fini leur vie dans un asile, Gérard de Nerval se promenait dans Paris avec un homard tenu au bout d'une laisse et Gottlob Burmann, poète allemand, refusait d'utiliser la lettre r.

Oui, lire détruit la planète : il faut couper un arbre pour publier 100 Harry Potter.

Oui, lire rend fainéant : "A y regarder de plus près, la vie d'un grand lecteur n'est pas si différente de celle d'un malade en phase terminale : se lever, s'allonger (pour lire), déjeuner, s'étendre (pour lire), dîner, lire, se coucher. [...] D'ailleurs, ce n'est pas un hasard si la conjugaison au présent du verbe "lire" aux trois personnes du singulier et le meuble qui nous invite à la paresse sont homophones (je lis, tu lis, il lit)."

Oui, lire tue, est mauvais pour les femmes, est dangereux pour la société, est inutile...

Au final, Pierre Ménard nous livre un pamphlet corrosif et plein d’humour, extrêmement bien documenté (j'en ai appris des choses sur la littérature et ses auteurs) et truffé de cas bien réels pour étayer ses thèses avancées. Il passe en revue tous les défauts des livres, afin de nous débarrasser à jamais de ce fléau, pour en fin de compte en faire l'éloge le plus abouti.

A lire !

20 BONNES RAISONS D'ARRETER DE LIRE

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Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

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Publié le 18 Mars 2015

Rédigé par vivi

Publié dans #musique

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Publié le 15 Mars 2015

Connaissez-vous Mélissa ?

Elle écrit, elle lit, elle soigne, elle cuisine, elle organise des rencontres entre blogueuses, elle crochète, elle pousse (parfois mais pas souvent) des coups de gueule, elle photographie, elle va au ciné, elle écoute de la musique, elle publie ses petits journaux et ses ciels du lundi et... et... et... elle tricote.

Elle tricote pour Nina, pour ses proches, ses neveux et nièces mais surtout pour ses collègues et ses copines qui viennent d'avoir des bébés : des brassières, des chaussons, des gilets, des robes, des bérets, des couvertures, et plein d'autres choses encore (voir ), le tout avec passion, amour, élégance et talent.

Et comme en ce moment à l'hôpital où je travaille ça accouche à tout va, et que j'avais encore envie de tricoter après les écharpes de Noël (ici et ), je me suis comme elle mise à un peu de layette. C'est tout doux, les couleurs sont fraîches et tendres, ça va vite, je me fais avant tout plaisir !

Attention, le/la premier/première qui dit que je m'entraîne pour le jour où j'aurai des petits-enfants sort !!

JE FAIS MA MELISSA !

Ce paletot était pour le fils d'une de mes collègues du personnel soignant, né en octobre. Elle vient tout juste de reprendre son travail. C'est un modèle Phildar taille 6 mois tricoté en Phil Douce au point mousse. C'était la première fois que j'utilisais cette laine et elle porte bien son nom avec son toucher "peau de pêche", sa texture pelucheuse et son aspect effiloché et gonflant.

J'avais lu sur plusieurs blogs que ce fil était difficile à tricoter. Ce n'est pas mon avis : avec des aiguilles n°6 l'ouvrage "monte" très vite et comme la laine est toute bouclée on ne voit pas du tout les imperfections, les fils rentrés, les coutures, etc.

JE FAIS MA MELISSA !

La vendeuse m'avait conseillé de mettre des petits boutons sur le devant pour cacher les pressions que j'ai utilisées. Elle a rudement bien fait.

J'ai tant aimé tricoter ce modèle que je pense le refaire pour une autre de mes collègues secrétaire. Enfin, pour son bébé...

JE FAIS MA MELISSA !

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Rédigé par vivi

Publié dans #travaux d'aiguilles et bricoles

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Publié le 9 Mars 2015

CIEL DU LUNDI 9 MARS

Y'a comme un petit air de printemps qui flotte sur la Gironde ces jours-ci. Le ciel est tout beau tout bleu, l'air est doux, les températures avoisinent les 20°, les jonquilles sont en fleur et, croyez-moi sur parole parce ce que ce n'est pas évident à voir sur cette photo, le bout des branches commence à s'éclaircir d'un peu de vert tout frais et tout tendre, j'en étais la première ébaubie cet après-midi...

Inutile de vous dire que tout cela fait un bien fou... C'est comme qui dirait une vérité évidente et banale, quasi une lapalissade.

En écrivant cela, je me souviens tout d'un coup qu'il y a une dizaine d'années, avec Jules, on avait visité dans l'Allier le Château de Jacques II de Chabannes, seigneur de La Palice, maréchal de France.

Vous voulez en savoir plus sur ce fameux monsieur si souvent cité qui contrairement à ce que l'on pourrait croire n'a jamais été l'auteur d'aucune lapalissade ?

Je vous mets dans l'ambiance : en 1524, il accompagne son roi François 1er en Italie pour livrer bataille du côté de Pavie. Durant le siège de cette ville, petit problème : il meurt ! Le laisser en terre ennemie ? No way ! Il fallut donc organiser le voyage de retour avec le corps du défunt et, pour se donner du courage pendant le trajet, ses soldats entonnèrent quelques vers à sa mémoire dont ceux-ci : "Hélas, La Palice est mort, est mort devant Pavie, hélas s’il n’était pas mort, il ferait encore envie".

De retour en France, sa veuve s'inspirant de cette chanson fit graver comme épitaphe sur son somptueux monument funéraire : "Ci-gît le Seigneur de La Palice, s’il n’était pas mort il ferait encore envie".

Or, la graphie du s minuscule de l'époque pouvait être confondue avec celle d'un f.... Et il n'en fallut pas plus pour qu'une erreur de lecture fasse lire : "Hélas, s’il n’était pas mort, il ferait (serait) encore en vie". Aujourd’hui on retrouve aussi cette phrase déformée en : "Un quart d’heure avant sa mort, il était encore en vie".

Au XVIIIe siècle, Bernard de La Monnoye écrit alors sur ce modèle la fameuse "Ode à La Palice" qui comporte 51 couplets dont le fameux : "Il mourut le vendredi, le dernier jour de son âge, s'il fut mort le samedi, il eût vécu davantage".

Et voilà ! Vous savez tout !

Vous ne voyez pas très bien le rapport entre cette page d'histoire et le ciel du lundi que j'ai l'habitude de partager avec vous et plus spécialement avec Arlette et Chat Bleu qui les récapitulent chaque semaine ?

Ben... Euh... Cherchez pas, je crois qu'il n'y en a pas vraiment...

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Rédigé par vivi

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Publié le 5 Mars 2015

LA FAMILLE BELIER

Avec tout ce qui s'est passé en début d'année, j'ai complètement oublié de vous dire que, juste avant Imitation Game, j'ai aussi été voir La Famille Bélier au ciné (c'était la veille du 7 janvier).

J'ai passé un bon moment. J'ai bien aimé l'histoire de cette famille atypique et particulièrement apprécié le jeu des acteurs qui ont appris pendant plusieurs mois la LSF. Quelle prouesse à mon avis que de signer cette langue qui passe par tout le corps et tout le visage dont tous les muscles sont sollicités.

Et puis, je suis assez fan de Karin Viard déjà vue dans pas mal de films dont par exemple Potiche, de François Damiens vu récemment dans L'Arnacoeur et La Délicatesse, et aussi d'Eric Elmosnino (le Gainsbourg de Gainsbourg, vie Héroïque). J'ai découvert également deux jeunes actrices pleines de promesses Louane Emera  (Paula) et sa copine Roxane Duran (Mathilde).

Deux bémols, toutefois.

Premièrement, dans ce film, il ne se passe pas grand-chose... j'irais même jusqu'à dire qu'il n'y a pas d'histoire, des longueurs et que la fin est archi-prévisible et sans surprise. On dirait plus un téléfilm en fait. Malgré tout, ces gens donnent la pêche et le film est DROLE.

Deuxièmement, si vous n'aimez pas Michel Sardou ben... faut pas y aller. Le prof de musique des enfants au collège était fan de Balavoine et pendant les 12 ans qu'a duré leur scolarité dans cet établissement on a eu droit à tout le répertoire. Là, c'est pareil... avec Michel Sardou... Par contre, si vous n'avez rien contre vous faire du bien avec un feel good movie et fredonner une vieille rengaine de Michou... faut y aller.

Pour la petite histoire, j'ai lu dans un article, ici, que la coscénariste de la Famille Bélier, Victoria Bedos (fille et sœur de…) s’est inspirée de l'histoire de Véronique Poulain (Les Mots qu’on ne me dit pas), enfant parlante et entendante de parents sourds et muets. Ancienne assistante de Guy Bedos, Véronique Poulain fait d’ailleurs une apparition dans le film (c'est la cliente au marché dans la bande-annonce). Certaines répliques de la Famille Bélier, telle «Salut les enfoirés !» quand la jeune fille salue ses parents qui ne l’entendent pas, sont directement inspirées du livre.

Son témoignage très émouvant lorsqu'elle présente son ouvrage dans l'émission On n'est pas couché est .

Et la bande-annonce du film, pour ceux qui ne l'auraient pas encore vue, est .

La prochaine toile dont je vous parle, dans un tout tout autre style, c'est Réalité de Quentin Dupieux avec Alain Chabat.

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Rédigé par vivi

Publié dans #films-TV-acteurs

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Publié le 2 Mars 2015

CIEL DU LUNDI 2 MARS

Voilà mon ciel lundinical (?) que je partage volontiers aujourd'hui avec vous et plus spécialement avec Arlette et Chat Bleu qui les récapitulent chaque semaine.

Bleu, avec quand même pas mal de gris tout au long de la journée. J'ai réussi à l'éradiquer de ma photo mais vous avez vu, il revient sournoisement par le coin en bas à droite. Toutefois, personne ne s'est plaint... car samedi et dimanche ont été deux journées particulièrement arrosées. Quasiment pas moyen de mettre le nez dehors... encore moins de faire une balade ou un tour de vélo... même un tour dans les magasins c'était risqué... alors, au bout d'un moment, ça plombe l'ambiance !

Jules a bricolé, rangé de la paperasse, re-bricolé, regardé des films et le match de rugby.

Fiston 1 et sa chérie sont passés nous faire un petit coucou et manger avec nous.

Fiston 3 a passé un paquet d'heures sur son ordi et a aussi fait du ménage dans sa chambre : alléluia ! Et puis il est parti faire un futsal avec ses potes, je crois que c'est le seul qui a finalement eu une activité physique digne de ce nom dans la famille.

Fifille a fait une overdose d'épisodes de sa série américaine préférée, de la cuisine, la grasse matinée, ah oui et puis son devoir de maths samedi soir entre 22h45 et 23h35 (il paraît que c'est pile poil la bonne heure pour faire un devoir de maths... il paraît, dixit Fifille)

Quant à moi j'ai fait des courses -mais sur Internet-, des repas, du ménage, du linge, mais attention ! Je n'ai pas été QUE taillable et corvéable à merci, j'en ai aussi profité pour bouquiner et tricoter (respectivement sous la couette et au coin de la cheminée)

En fait, nous étions tous nostalgiques de notre ciel de la semaine dernière.

Tiens d'ailleurs, à propos de Fiston 2 et de la semaine dernière ! Je vous livre avec plaisir ici une grande nouvelle toute fraîche qui date d'il y a à peine quelques heures. Devinez quoi ? Son ciel à lui sera californien à partir du mois de septembre : il nous a annoncé en début d'après-midi qu'il venait d'obtenir l'année d'études qu'il avait demandée aux Etats-Unis et serait détaché pour 12 mois dans la prestigieuse Université de Californie à Berkeley, San Francisco #mamantropcontentepoursonfiston #arfmaiscesttrèsloinçadisdonc?

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

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