Publié le 23 Avril 2011

 

caddie-copie-1

 

Après avoir lu l'article de Valérie sur sa corvée de courses (ici) et notre échange de coms, voilà le fruit des réflexions que je me faisais hier soir, avant de m'endormir...  

 

Est-ce que vous pensez, comme Valérie, que les caddies que l'on trouve dans les grandes surfaces sont trop petits ? On ne peut y mettre tout ce que l'on a prévu d'acheter et, ainsi, on est obligé de revenir, au risque de se laisser à nouveau tenter par des courses dont on n'aurait pas besoin.

 

Ou est-ce qu'au contraire, comme je le pensais jusqu'à présent, ils sont trop grands parce que tant qu'il y a de la place on continue de le remplir ? S'ils étaient plus petits on n'y mettrait que l'essentiel et surtout pas des trucs qui ne sont pas sur la liste...

 

Alors, à votre avis, trop petits ou trop grands ?

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #divers

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Publié le 20 Avril 2011

Quelques jours de beau temps, des températures qui avoisinent les 25°, une journée de vacances... et il n'en faut pas plus à nous autres, Girondins, pour que nous ayons des désirs de plage mais surtout l'envie de les concrétiser.

Quand j'ai proposé à ma marmaille un petit pique-nique improvisé au bord de l'océan, je m'attendais à des pfff... pas envie... on est obligé d'y aller ?... j'ai du travail... car, c'est bien connu, quand on a tout sous la main on devient vite blasé, surtout quand on a 15 ou 17 ans.

Sur ce coup-là, j'ai été sacrément mauvaise langue car tout le monde était partant. Même Fiston Number 1, qui disparaît régulièrement depuis qu'il a une chérie, était là pour se joindre à la fratrie. L'unanimité parmi les ados, c'est quand même assez rare pour que je m'empresse de le souligner.

Dès l'aube (euh, 11h15 environ), nous sommes sur le pied de guerre. Les belles températures d'hier se sont envolées et il ne fait pas très chaud, le fond de l'air est plutôt frais à cause d'un petit vent qui souffle et nous avons nos polaires sur le dos. Mais puisque c'était organisé comme ça, nous voilà partis vers l'océan, Fiston 2 au volant (je vous rappelle que nous avons commencé avec lui, depuis quelques semaines, la conduite accompagnée -voir ).

Un calage, une manoeuvre litigieuse, une mini-sortie de route (hé, c'est qu'elle est étroite la route qui monte à la dune ! Les bas côtés sont loin d'être stabilisés et quand on croise un camping-car il vaut mieux se pousser) et un sens interdit plus tard (sur un parking... pas trop grave !), nous arrivons sur "notre" plage.

Pour une fois, il n'y a pas foule sur le parking !

Quand on sort de la voiture, il y a toujours une odeur particulière, celle de la végétation qui "tient" la dune : l'herbe à curry. Je ne peux pas m'empêcher d'en arracher un petit bout sur le bord du chemin et de le presser entre mes doigts pour me shooter à l'odeur qui s'en dégage. Cette senteur est synonyme de bien-être. Dès que je mets un pied sur le caillebotis, j'oublie tout. Au loin, on entend déjà le grondement de l'océan, bien qu'on ne le voie pas encore car il reste la dune à franchir. Mais déjà mes soucis s'envolent, mon coeur est plus léger, tout stress disparaît, je sens que je me détends. Hé ! Mais.... la vie est belle.

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La marée est basse et l'eau est loooiiin. Le coefficient aujourd'hui est de 110, un des plus élevés de l'année.

Ici, plus de vent, nous sommes à l'abri de la dune et il fait même chaud.

Les enfants sont en pleine forme. Ils n'arrêtent pas de plaisanter. Contre toute attente, ils ne se vautrent pas immédiatement sur leurs rabannes telles les crêpes moyennes juste après avoir dit "on mange quand ?", mais ils filent faire... un foot. Oui, oui, vous avez bien lu. Je crois bien que c'est la première fois depuis pfff ! longtemps ! qu'ils passent plus de temps debout sur la plage que couchés !!

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De mon oeil de mère comblée, je les regarde au loin. Ils sont beaux, ils ne se disputent même pas et en cet instant, je suis super fière. Nous avons passé tellement d'heures sur cette plage depuis qu'ils sont tout petits. Que de baignades vécues, châteaux construits, tunnels creusés, goûters avalés, marées observées, grosses vagues encaissées, repas engloutis, couchers de soleil admirés, marches effectuées, grattages de sable pratiqués, seaux plein d'eau transportés, coquillages ramassés, jouets perdus, tasses bues, tubes de crème tartinés, parties de foot, de badminton, de raquettes, de frisbee disputées, Et maintenant, ils sont déjà si grands, comme le temps a passé vite.

Je regarde à droite, et je vois ça....

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Je regarde à gauche, et je vois ça...

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Fiston 2 n'y tient plus. Malgré l'absence de baignade surveillée, il se jette dans les vagues. Ils ne sont pas nombreux à oser s'y plonger. L'eau doit avoir 12° à tout casser.... Mais, lui, rien ne l'arrête. C'est un peu comme s'il était seul au monde.

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Et voilà la vue sur la dune, en remontant sur la plage.

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Honnêtement, on a rarement fait une sortie aussi tôt dans l'année à l'océan, en maillot de bain je veux dire. Au bout d'un moment, on décide de partir car il fait TROP chaud. Eh oui, comme une nouille, je n'ai même pas pensé à prendre de la crème solaire.

Franchement, c'était tout comme en été, le monde en moins.

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Rédigé par vivi

Publié dans #alsace-gironde

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Publié le 20 Avril 2011

 
Un mercredi de plus et cette fois c'est La Vilaine la Présidente de la Communauté Musique à Coeur Ouvert. Elle aime la musique, la danse ET le cinéma, nous fait un petit mix de tout ça, et nous demande de lui parler de films musicaux.
 
Et puisqu'on en est à parler de cinéma, l'occasion est trop belle pour omettre de vous causer de FILMS EN VRAC, cette nouvelle communauté que j'ai créée il y a quelques semaines et que vous aimerez peut-être rejoindre. Vous pouvez y mettre pêle-mêle tous les articles que vous voulez concernant des films, des séries, des reportages, des émissions que vous aurez vus, aimés ou pas, et que vous aurez envie de partager. Un paquet d'articles sérieux, bouleversants, marrants, instructifs ou critiques sont déjà parus. Pour les voir ou vous inscrire, il suffit d'un petit clic ici.
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Bon, ça y est, j'ai fini ma petite pub ! Revenons-en à nos films musicaux (à part bien sûr Good Morning England dont je vous ai parlé il y a quelques jours dans l'article qui est ici).
 
Celui-ci date de 2006 et m'avait scotchée à l'époque où il était sorti. Je ne suis  pourtant pas une fan des danses de salon mais quand Antonio Banderas danse le tango, il y a de quoi craquer et fondre....
 
Voilà le résumé du film Dance with me, mais jetez-vous sur la bande-annonce, c'est encore mieux.
 
A priori, Pierre Dulaine n'avait aucune chance. Pourtant, son histoire est aussi incroyable que vraie.
Lorsque ce spécialiste des danses de salon de Manhattan décide d'enseigner son art aux élèves difficiles d'un lycée des quartiers populaires, personne ne donne cher de son projet. La principale n'y croit pas, et les élèves eux-mêmes restent sceptiques face à cette éducation d'un autre temps...
A force de sincérité, et usant de son incroyable talent, Dulaine parvient peu à peu à gagner l'estime de ces jeunes et leur fait faire leurs premiers pas, dans la danse et dans la vie.
Face aux préjugés, à tout ce qu'il leur faudra surmonter, Dulaine et ses drôles d'élèves vont offrir une magnifique leçon de vie et d'amitié...
   
 
Oh et puis bien sûr, beaucoup moins gai, il y a On achève bien les chevaux (1969). Quand j'ai vu ce film, j'étais jeune, il m'a marquée pour le restant de mes jours et je ne suis pas prête d'oublier la fin tragique.
 
L'action se situe au début des années 1930 en Californie. Au coeur de la Grande Dépression, on se presse pour participer à l'un des nombreux marathons de danse organisés à travers le pays pour gagner les primes importantes qui y sont mises en jeu. Robert et Gloria font partie de ces candidats mais à la fin, seul un couple restera.
 
Avec Michael Sarrazin et Jane Fonda.
 
 
Et je finirai par La Fièvre du Samedi Soir (1978) parce que ce film fera éternellement partie de mes années d'ado. En voilà le résumé succinct.
 
Tony Manero, un jeune New-Yorkais d'origine italienne de 19 ans, tente d'agrémenter sa morne existence à Brooklyn grâce à ses talents de danseur en se rendant chaque samedi soir dans une boîte disco où il est le roi de la fête.
 
Vous avouerez que, John Travolta qui se trémousse sur la piste de danse en pantalon pattes d'éph et chemise col pelle à tarte grande ouverte, c'était quelque chose et en tout cas ça ne s'oublie pas !
 

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Rédigé par vivi

Publié dans #musique

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Publié le 19 Avril 2011

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Voilà une recette fameuse que tout le monde a apprécié. Cela ressemble beaucoup au gratin dauphinois (pour les ingrédients) mais au goût, c'est bien meilleur, plus moelleux, plus fondant et plus goûteux (le fait que les oignons soient pré-cuits avant d'être incorporés à la préparation et que les pdt soient râpées sans doute).

 

Ingrédients (pour 6 personnes) : 2 oignons assez gros (ou plus selon les goûts), 1,2 kg de pdt à chair tendre type Bintje, 40 g de beurre fondu, 100 g de gruyère, 2 oeufs, 1 verre de lait, sel, poivre, muscade.

 

Préchauffez le four à 180°. Coupez les oignons en petits morceaux ou hachez-les et faites-les revenir 10 minutes à la poële dans un peu de matière grasse. .

 

Pendant ce temps, épluchez les pdt et râpez-les avec une râpe à gros trous (au robot, c'est mieux quand même).

 

Ajoutez-y le beurre fondu, le gruyère râpé, les oeufs, le lait et les oignons. Salez, poivrez, ajoutez la muscade.

 

Mélangez bien le tout. Vérifiez l'assaisonnement et mettez dans un moule en silicone (ou en Pyrex mais pensez à le beurrer avant). Tassez bien et faites cuire pendant environ 50 minutes à une heure.

 

Et voilà, c'est déjà prêt.

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Rédigé par vivi

Publié dans #nourriture

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Publié le 18 Avril 2011

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J'avais lu il y a bien longtemps La maladie de Sachs de Martin Winckler, récit du quotidien d'un médecin généraliste. Je l'avais même acheté en cadeau plusieurs fois, c'est dire si je l'avais aimé. Le personnage principal me faisait vraiment trop penser au doc de la famille dont je vous ai déjà parlé et .

 

Plutôt un bon pressentiment donc pour ce bouquin-là que je ne connaissais absolument pas ; je ne savais pas du tout de quoi il parlait et je n'avais lu aucune critique à son sujet.

 

C'est un vrai pavé (756 pages) mais que l'opération des dents de sagesse de Fiston 2 m'a permis de lire quasiment d'une traite. Quand on passe la journée à l'hôpital, de 9 heures à 18 heures, ça aide.

 

En plus, j'étais dans l'ambiance, car l'histoire commence lorsque Jean Atwood, jeune et remarquable interne en médecine plusieurs fois major de promotion, arrive dans la minuscule unité 77, petite structure du CHU (fictif) de Tourmens où a lieu une consultation gynécologique.

 

Le moins qu'on puisse dire est que cette arrivée se fait à reculons car ce stage obligatoire de six mois lui est imposé alors que Jean vise un poste de chef de clinique dans le meilleur service de France et ne rêve que de mettre ses capacités et son savoir-faire au service de la chirurgie gynécologique de pointe. L'interne n'a guère envie de perdre son temps à s'apitoyer sur le sort des bonnes femmes qui arrivent avec leurs jérémiades en consultation et qui ne pensent qu'à épancher leur coeur et raconter leur vie. .

 

Mais l'unité 77 n'est pas un service comme les autres. Dès le premier jour, les choses se passent mal avec Franz Karma, le barbu mal dégrossi qui dirige la petite structure et qui n'est même pas gynécologue mais généraliste ! Les méthodes "humaines" de Franz déstabilisent Atwood : il écoute plutôt qu'il n'examine, il prend le temps plutôt que de couper la parole et de regarder sa montre, il respecte plutôt que d'imposer sa vision, il étudie l'âme plutôt que le corps.

 

Tout le livre va tourner autour de ça. C'est un roman polyphonique où chacun, mais surtout chacune, a droit à la parole.

 

Le livre est émaillé de petites citations qui font réfléchir comme.... "Ne néglige jamais ce qu'elles disent en entrant", "Les médecins qui veulent le pouvoir font tout pour l'obtenir, ceux qui veulent soigner font tout pour s'en éloigner", "Elles se sentent coupables parce qu'elles ont des scrupules. Si tu les accuses, c'est que tu n'en as pas", "Les patientes ne sont pas tes faire-valoir, elles t'apprennent ton métier", pour n'en citer que quelques-unes parmi tant d'autres.

 

Pour peu qu'on se donne la peine de lire ce livre, et on y parvient sans mal, on y apprend énormément de choses sur la contraception, la maternité, la grossesse, des ados, des jeunes, des moins jeunes, voire des carrément vieilles, sur leurs angoisses, leurs craintes, leurs envies, leurs cycles, leurs règles, leurs douleurs, leurs souffrances, mais aussi sur la relation patient-soignant, le monde hospitalier et celui des étudiants en médecine, des laboratoires, sur la tolérance, l'écoute, la formation des soignants, le corps des femmes, leurs états d'âme mais aussi, sujet assez surprenant, sur le cas des personnes intersexuées.

 

Bon, difficile d'en écrire plus sans dévoiler ce qui fait le livre et la double intrigue que l'on cherche à résoudre jusqu'à la dernière page. Car il se lit aussi comme un roman policier.

 

Hier, en commençant mon article, j'avais noté : "Assurément un livre de femmes, où la parole est aux femmes, pour les femmes et rien que pour les femmes, écrit par.... un homme".

 

Mais Fiston 2 vient de me piquer le bouquin...

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Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

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Publié le 18 Avril 2011

 

Finalement, la semaine dernière, il n'y a eu que lundi où le ciel était gris (voir ici). Depuis, le soleil brille, même s'il y a du vent, que le fond de l'air est frais et que les températures sont parfois bien frisquettes le matin (voir ici).

 

Aujourd'hui, vers 8h00, il fait une dizaine de degrés et le ciel est tout mignon. Bien bleu, avec quelques petits nuages blancs pour faire joli. Les feuilles des chênes commencent à pousser et ce vert tendre sur fond de ciel bleu est du plus bel effet.

 

Nous entamons déjà notre deuxième semaine de vacances scolaires ; le temps et les températures doivent se maintenir ainsi au moins jusqu'à vendredi, avant l'arrivée des nuages... Un peu de pluie fera assurément le plus grand bien à la nature qui peine déjà par manque d'eau.

 

J'espère que chez vous aussi il fait beau (j'ai l'impression que c'est le cas partout si je regarde la carte de Météo-France , et je vous souhaite une très bonne journée.

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

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Publié le 17 Avril 2011

 

Après la chute vertigineuse de la semaine dernière (voir ici), les températures remontent petit à petit.

 

Aujourd'hui, c'était denouveau l'été.

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

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Publié le 16 Avril 2011

 

Une des nombreuses chansons entendues dans le film Goodbye England dont je vous parlais ici.

 

So long Marianne par Leonard Cohen.

 

Assurément une trop belle chanson pour que je la garde pour moi toute seule.

 

Alors disons que je la partage avec vous tous, et plus particulièrement avec Mélissa.

 

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Come over to the window, my little darling, I’d like to try to read you palm
I used to think I was some kind of gypsy boy, Before I let you take me home.
Chorus : So long Marianne, it’s time that we began
To laugh and cry and cry and laugh about it all again
Well, you know that I love to live with you, But you make me forget so very much
I forget to pray for the angel, And then the angels forget to pray for us.
Chorus
We met when we were almost young, Deep in the green lilac park
You held on to me like I was a crucifix, As we went kneeling through the dark.
Chorus
Your letters say that you are beside me now, Then why do I feel alone?
I’m standing on a ledge and your fine spider web, Is fastening my ankle to a stone.
Chorus
For now I need your hidden love, I’m cold as a new razor blade
You left when I told you I was curious, I never said that I was brave.
Chorus
O you are really such a pretty one, I see you’ve gone and changed your name again
And just when I climbed this whole mountainside, To wash my eyelids in the rain.
Chorus

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Rédigé par vivi

Publié dans #musique

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Publié le 16 Avril 2011

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Un autre article pour la communauté FILMS EN VRAC. Si vous avez envie de nous rejoindre, n'hésitez pas, un petit clic là et c'est partiiiiiiii !

 

Dimanche dernier, soirée DVD avec les 2/3 de la famille : les parents + Fistons 2 et 3 pour voir Good Morning England, un film de Richard Curtis sorti sur les écrans en mai 2009, donc on n'était pas en avance pour le voir mais pas-vraiment-en-retard-non-plus-car-vaut-mieux-tard-que-jamais-dit-le-proverbe.

 

En 1966, le rock explooooose dans le monde, et notamment au Royaume-Uni. Malgré cela, la BBC consacre moins de 45 minutes par jour à cette nouvelle tendance car le gouvernement refuse l'avènement de cette musique qu'il estime décadente et dissidente.

 

Mais Radio Rock, une radio pirate, diffuse ses programmes depuis un bateau basé en Mer du Nord, dans les eaux internationales au large de la côte anglaise. A son bord, une équipe de disc-jockeys complètement déjantés et éclectiques qui compte bien ne pas se laisser intimider par les menaces du Premier Ministre réac et rétrograde ; en effet, ce dernier n'a qu'une obsession : les anéantir purement et simplement parce qu'un Anglais sur deux est branché sur cette fréquence qui diffuse 24h/24 du sexe, de la drogue et du rock'n'roll. Et ça, ça la fout mal.

 

C'est le moment que choisit le jeune Carl (Tom Sturridge) pour se faire renvoyer du lycée. Sa mère (Emma Thompson) décide donc qu'il ira réfléchir à son avenir auprès de son parrain Quentin (Bill Nighy) qui n'est autre que le patron de Radio Rock.

 

Il va ainsi tomber amoureux, ce qui déjà en soit n'est pas rien, et vivre les plus beaux jours de sa vie auprès d'une tripotée de DJ's totalement azimutés :

 

• le Comte (Philip Seymour Hoffman), le Dieu des Ondes, un Américain loufoque et exubérant,

• Gavin Kavanagh (Rhys Ifans), un DJ au sommet de l'excentricité,

• le Docteur Dave (Nick Frost) cynique et sarcastique mais très populaire auprès des auditrices malgré sa surcharge pondérale avérée,

• Simon le Simple, le présentateur du hit-parade qui cherche désespérément l'Amour (avec un grand A)

• Angus Gugusse (Rhys Darby), très agaçant et tête de turc de ses comparses,

• Bob le Calme (Ralf Brown), mystérieux DJ hippie de la nuit qui tient (visiblement sous substance et on pourrait mettre un "s" à substance) l'antenne de 3h à 6h du matin. Il est fou amoureux des vinyles et préférerait mourir noyé plutôt que de les abandonner,

• Mark le Noctambule (Tom Wisdom), l'homme le plus sexy et le plus séduisant du monde,

• John, présentateur des infos et de la météo et

• Kevin le Cerveau (Tom Brooke), l'homme le plus stupide de la planète qui se déguise en Lapin pour Noël.

 

Bien sûr, aucune femme n'est admise à bord (sauf exceptions -qui sont nombreuses-) mais Felicity (Katherine Parkinson), cuistot homosexuelle aux petits soins pour toute la troupe, bénéficie d'un passe-droit.

 

Ce film est complètement ouf et la bande-son y est pour beaucoup. Parmi les nombreux groupes ou chanteurs que vous aurez le plaisir d'entendre, je cite, en vrac : les Beach Boys, The Who, The Kinks, The Hollies, Paul Jones, Jimi Hendrix, Otis Redding, The Supremes, Cat Stevens, The Moody Blues, David Bowie, Leonard Cohen, The Rolling Stones, Donovan, etc. etc. etc. bon j'arrête là, il y en a un paquet.

 

Autant vous prévenir tout de suite. Dans ce film les blagues potaches, souvent au-dessous de la ceinture, vont bon train et l'ambiance est totalement amorale (ça fume, ça picole, ça s'envoie en l'air, ça déconne, et tout ça même et surtout pendant le boulot...) mais j'ai adoré les fringues kitschs des années 60 (trop chou les mini-jupes et les petits tops crochetés de Felicity, les pattes d'éph, les imprimés psychédéliques des chemises et les foulards dandy autour du cou), les coupes de cheveux mortelles, les personnages charismatiques et la musique bien sûûûûûr !!

 

Et les ados ont kiffé la bonne vieille zic de papa et maman (ce qui n'est pas rien) !! 

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #films-TV-acteurs

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Publié le 15 Avril 2011

 

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Vous avez déjà remarqué comme c'est difficile de faire des photos de nourriture ?

 

J'sais pas vous, mais moi, je trouve que le rendu n'est en général pas terrible. Des fois même, il me semble que si quelqu'un avait vomi dans l'assiette, ce ne serait pas pire.

 

Rien à voir avec les photos appétissantes que l'on voit dans les magazines ou les livres de cuisine.

 

Il paraît que, pour faire ce genre de photos professionnelles, tout est faux. Déjà pour résister à la chaleur régnant dans les studios et à celle des projecteurs. Ensuite pour que ça ait vraiment l'air parfait. Les boules de glace sont en plastique, la crème anglaise est en fait de la peinture jaune paille et le coulis est bourré de colorants alimentaires.

 

Il paraît hein.... mais ça expliquerait beaucoup de choses.

 

Bon, c'est pas tout ça, revenons à nos moutons.

 

Lors du même repas que , j'ai fait en entrée une salade très fraîche et pas trop calorique, à condition de ne pas y mettre 3 tonnes de mayonnaise.

 

Compter par personne :

 

• 1 pamplemousse rose ou jaune

• environ 1/2 boîte de petites crevettes

• environ 1/3 de boîte de miettes de crabe (qui peuvent être remplacées par du surimi râpé)

 

Couper les pamplemousses en deux. A l'aide d'une petite cuillère, retirer la chair, puis l'égoutter au maximum de façon à ce que la salade ne soit pas trop liquide.

 

Ajouter le crabe (ou le surimi), les crevettes et une mayonnaise maison bien relevée. Mélanger délicatement et conserver au frais jusqu'au moment de servir.

 

On peut, si on a du courage, servir cette salade dans les moitiés de pamplemousse débarassées des résidus de peaux intérieures.

 

Ou alors, si on n'a pas de courage, y'a plus qu'à la disposer dans une coupelle ou une assiette garnie d'un peu de salade verte (pour la couleur) !

 

Sauf allergie aux crustacés ou aux fruits de mer, succès garanti.

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Rédigé par vivi

Publié dans #nourriture

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