Publié le 15 Juin 2014

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Lundi 9 juin 

 

Tous réunis autour de la piscine, à bouquiner, à se rafraîchir dans l'eau, à discuter, à profiter du soleil, du ciel bleu et de la chaleur, bref à prendre le temps de prendre du bon temps, c'était bien.

 

Mardi 10 juin 

 

Première de quatre journées de boulot qui promettent d'être intenses et bien remplies, une de nos collègues étant en vacances et non-remplacée. Mais travailler dans une équipe aussi chouette que celle dont je fais partie, c'est finalement beaucoup de plaisir.

 

Mercredi 11 juin 

 

Quand je rentre du travail, je trouve Fifille et sa meilleure amie les pieds dans l'herbe... en train de réviser pour le brevet des collèges. Je n'en crois pas mes yeux... comme quoi tout finit par arriver.

 

Jeudi 12 juin 

 

C'est l'ouverture de la 20ème coupe du monde de football au Brésil. Perso, ce n'est pas trop mon truc mais Fiston 3 est tellement content ! Depuis le temps qu'il attendait ça !

 

Vendredi 13 juin

 

Aller faire un tour de vélo pendant que Jules dépiaute le poisson et range la vaisselle. Hihi, c'est le monde à l'envers et j'aime ça.

 

Samedi 14 juin

 

C'était chouette d'aller faire les boutiques avec Fiston 2. Car pour passer des oraux (6 au programme), il faut être bien habillé : des chemises à la place des t-shirts de Bob Marley, des pantalons qui ne soient pas des jeans, des chaussures qui aient moins de six mois et ne soient pas complètement détripées. C'était pas gagné, mais on s'en est plutôt bien sorti !

 

Dimanche 15 juin

 

Ce n'est pas très original, mais le repas de fête des pères avec tous les enfants, c'était un très bon moment. Leur préparer des tas de bons petits plats qu'ils ont dévorés aussi. Et la sieste qui a suivi sur le transat aussi. J'ai besoin de prendre des forces, pas comme d'habitude demain sera exceptionnellement un lundi travaillé.

 

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Rédigé par vivi

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Publié le 14 Juin 2014

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L'avant-dernière sortie ciné à deux avec Jules, juste avant The Homesman, c'était pour voir Grace de Monaco.  

Les critiques sur ce film n'étaient pas très bonnes, pour ne pas dire très mauvaises. Il a commencé à déchaîner les passions avant même d'être projeté puis présenté lors de l'ouverture du dernier Festival de Cannes, il a été sifflé par le public et vivement critiqué par les journalistes (et par la famille Grimaldi) : terne, rigide, invraisemblable, fantasque, affligeant, ennuyeux, raté sont autant de qualificatifs qui lui ont été attribués. Le Daily Telegraph le désigne comme "un mélodrame fantastiquement idiot", le journal The Guardian parle d'une "catastrophe époustouflante", Le Monde titre ironiquement "Grace de Monaco : fenêtre sur four", and so on.  

Synopsis : Lorsqu'elle épouse le Prince Rainier en 1956, Grace Kelly est alors une immense star de cinéma, promise à une carrière extraordinaire. Six ans plus tard, alors que son couple rencontre de sérieuses difficultés, Alfred Hitchcock lui propose de revenir à Hollywood pour incarner Marnie dans son prochain film. Mais c'est aussi le moment où la France menace d'annexer Monaco, ce petit pays dont elle est maintenant la Princesse. Grace est déchirée. Il lui faudra choisir entre la flamme artistique qui la consomme encore ou devenir définitivement Son Altesse Sérénissime, la princesse Grace de Monaco.

A notre habitude, nous sommes allés voir ce film un peu "au pif", parce que l'heure et le jour de la séance nous arrangeaient. Je pensais plutôt voir le biopic de Gracie au complet avec une récap' de sa jeunesse, son heure de gloire, sa rencontre avec Rainier, son mariage de contes de fées, ses désillusions, son renoncement à sa carrière d'actrice...

En fait, le film se concentre sur l'année 1962 et plus précisément sur 6 mois de la vie monégasque durant lesquels la princesse Grace Kelly a joué un rôle particulier dans le conflit fiscal qui opposa Monaco à la France du général de Gaulle. C'est au moment également où son couple bat de l'aile et que Hitchcok lui propose un nouveau rôle dans son prochain film.

Il comprend de nombreuses erreurs historiques paraît-il ? Ça se peut bien évidemment, mais je ne peux pas juger de cela. A vrai dire, je ne savais même pas que le Rocher avait été l'objet d'une menace majeure de De Gaulle au début des années 60. Et puis de toutes façons, l'avertissement en début de film était sans équivoque : "ceci est une fiction inspirée de faits réels" alors pourquoi s'offusquer de ce que la réalité a été distordue ?

En plus, c'est vraiment pas mon genre de chercher le vrai du faux, ou le possible de l'impossible dans un film. J'aime plutôt me laisser porter... Ici, j'ai donc admiré Grace, cette femme d'exception que joue une Nicole Kidman au somment de l'élégance, assisté à son combat intérieur, à ses dilemmes et à son renoncement à sa carrière artistique pour embrasser son destin et servir son Prince.

Alors bien sûr, s'il faut critiquer... quelques maladresses sont difficiles à pardonner : des dialogues un peu bancals, un discours final à la limite du too much (j'ose espérer que le destin de Monaco ne s'est pas VRAIMENT joué à un Bal de la Croix-Rouge), un Rainer anxieux, peu sûr de lui, parfois brutal dans ses paroles et dans ses actes et puis, franchement, en 1962, Grace avait à peine 30 ans alors que Nicole Kidman en a 46 (et ça, ça se voit).  

Pour résumer, cette histoire montre la métamorphose d'une actrice en princesse sur fond de tensions politiques. Ce n'est pas le film du siècle mais on a passé un bon moment quand même.


 

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Rédigé par vivi

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Publié le 8 Juin 2014

 

bullesimage du net

 

Lundi 2 juin

 

Je vais chez le dentiste. Ça, ce n'est pas kiffant du tout. Mais je peux en sortir en disant fièrement comme dans la pub : Maman ! Je n'ai rien aux dents ! Ouf ! Voilà une bonne chose de faite !

 

Mardi 3 juin

 

Des années que je n'avais pas mangé de nounours en guimauve enrobé de chocolat. Il a suffi qu'un gentil médecin partage son paquet avec nous pour que je replonge direct en enfance. 

 

Mercredi 4 juin

 

J'ai aimé aller boire un café avec une copine et me retrouver en tête-à-tête avec elle pour se raconter des trucs de filles et de mamans... C'est fou ce que j'aime aller boire un café avec mes copines en ce moment. Et étrange comme j'aime de plus en plus le café d'ailleurs, moi qui n'en ai pas bu une goutte pendant plus de 40 ans.

 

Jeudi 5 juin

 

Sans hésiter, le SMS de Fiston 2 qui m'annonçait "admissiiiiiiiible" aux oraux du concours qu'il a passé au mois d'avril.

 

Vendredi 6 juin

 

Retrouver le héros du jour (ou plutôt d'hier), Fiston 3, Fifille, belle-maman et Jules et se poser un peu autour d'un apéro et d'un repas bien mérités. Fiston 2 nous annonce qu'il est aussi admissible aux oraux d'une autre école pour laquelle il avait fait des écrits il y a 3 semaines environ. La fin de l'année scolaire s'annonce riche en émotions...

 

Samedi 7 juin

 

Toute la famille est éparpillée.

 

Fiston 3 est monté à la capitale pour profiter du cadeau d'anniversaire de ses 18 ans (une place pour la finale de Roland Garros). En prime, il est chaperonné par belle-maman, grande fan de tennis devant l'éternel, qui rêvait d'aller un jour voir un match dans le saint des saints. Comme quoi, il n'est jamais trop tard : elle a fêté le mois dernier ses 2 sets gagnants (77 ans) !

 

Fiston 1 squatte la maison avec sa chérie : ils ont invité des copains pour un barbecue... le soleil s'est fait désirer mais il est finalement de la partie.

 

Fiston 2 en a profité pour faire la grasse mat et reprendre des forces, puis se joindre à la bande de Fiston 1.

 

Fifille et Jules ont participé toute la journée à une course d'orientation ludique dans notre commune avec des défis sportifs et intellectuels organisés par les associations locales sur le thème de "L'histoire de France", Fifille en tant que participante, Jules en tant qu'organisateur. Il tenait le stand de notre AMAP. J'aurais aimé que vous le voyiez avec sa chemise à carreaux, ses sabots et son chapeau de paille. Pour faire plus authentique, il avait même emmené avec lui une de nos poules... qui a passé toute la journée un fil à  la patte...

 

Moi, j'en ai profité pour me balader et aller au ciné voir "Sous les jupes des filles".

 

Dimanche 8 juin 

 

J'avais organisé un repas avec trois copines de formation et leurs maris. Déjà presque 2 ans que nous avons décroché notre diplôme. On a passé une super soirée, pleine de bonne humeur, d'amitié, de rires et de simplicité.

 

Vivement qu'on remette ça !

 

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Rédigé par vivi

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Publié le 4 Juin 2014

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Notre sortie ciné avec Jules, censée être bimensuelle, nous a amenés cette fois à aller voir un western. C'était la seule séance qui nous arrangeait, les autres c'était X-men (bof) et Deux jours, une nuit (bof bof).

Et puis moi, j'adore les westerns. Il faut dire que je suis tombée dedans quand j'étais petite : à 10 ans j'étais amoureuse de John Wayne dans Rio Bravo, la musique des "Il était une fois" s'échappait à toute heure du jour et de la nuit de la chambre de mon grand frère et, quand on était sage, on avait droit à un album de Lucky Luke (dont j'avais d'ailleurs une panoplie, si, si).

De plus, le dernier western que j'avais vu remontait à plusieurs années (c'était là) et la critique de The Homesman disait que c'était un western féministe. J'ai naïvement pensé aller voir une espèce de remake des Pétroleuses et je me suis dit : allons-y, pourquoi pas ?

Oui... Mais non (c'est ça d'aller voir des films sans se renseigner avant) !

Je vous résume l'histoire : ça passe en 1854, Mary Bee Cuddy est une femme forte, sauvage, puritaine et indépendante, en manque d'amour certain, qui tient une ferme quelque part dans les territoires de l'Ouest des Etats-Unis. Elle se voit confier trois femmes complètement démentes pour les mener vers l'Iowa, où elles pourront trouver refuge. En chemin, elle croise George Briggs, un rustre vagabond que Mary Bee sauve d'une mort aussi imminente que certaine. Ils décident de s'associer afin de faire face, ensemble, à la rudesse et au danger qui sévissent dans les vastes étendues qu'ils vont devoir traverser.  

Ce que j'ai aimé :

Les deux acteurs principaux, Tommy Lee Jones (Men In Black, Le Fugitif, JFK, Trois enterrements) et Hilary Swank (Million Dollar Baby, Boys don't cry) et puis aussi Meryl Streep qui tient un petit rôle à la fin du film.

Les vastes ciels et les paysages grandioses, même si c'est surtout de la plaine, de la plaine et encore de la plaine, aride, sèche, désertique et hostile qui plus est.

Et puis le récit qui chemine façon road-movie et la lenteur du film qui peut nous laisser à penser que nous aussi nous faisons partie du convoi.

Mary Bee Cuddy que j'ai admirée pour son cran, son courage, sa foi inébranlable et sa détermination. 

Et la vérité sur la condition d'une femme seule à cette époque et dans ce milieu-là (encore plus difficile à assumer pour une femme cultivée qui chante, "joue" du piano et utilise des mots tels que "post-prandial").

Et le reste :

La dureté de la vie des femmes dans ce film : elles suivent leurs maris (Mary Bee n'en a pas mais c'est une exception), sont confrontées à des êtres frustres incapables d'exprimer leurs sentiments, font face à la maladie, doivent concevoir, faire, élever les enfants, s'occuper de la maison, de l'exploitation, le tout dans des conditions climatiques très hostiles.

La folie des trois femmes faisant partie du convoi à la tête duquel se trouve Mary Bee : l'une d'elle, âgée de seulement 19 ans, a perdu ses 3 enfants malades en 3 jours, la deuxième se plante des aiguilles à coudre dans le buste, les bras et subit des violences sexuelles, la troisième jette son bébé dans les latrines... Il y a des scènes très très cruelles à tel point que je me suis caché les yeux pour ne pas les voir tout en demandant à Jules "ça y est, c'est fini ?". Ambiance... 

Intéressante (même si terrible), l'histoire opère un virage à 180° au 2/3 du film et ça... ça m'a laissée sur le derrière, pour ne pas dire autre chose. Ensuite, plus rien ne se passe comme il faudrait (genre ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants) et on se demande où le cinéaste a voulu en venir. Parmi les scènes suivantes, il y en a que je n'ai pas bien saisies, d'autres qui ne servent franchement à rien, d'autres encore qui sont complètement surréalistes, et la fin... ben... en fait il n'y a pas de fin. Ou alors j'ai raté un truc. Mais j'crois pas...

Bref, film très très spécial, amer à souhait, qui m'a laissée bien perplexe. Âmes sensibles s'abstenir.

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Rédigé par vivi

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Publié le 2 Juin 2014

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Amis petitcoindecielophiles, bonjour, ou plutôt bonsoir.

 

Je n'en reviens pas. 23h20. La journée est déjà sur le point de s'achever. Pas de temps à perdre donc, il faut entrer illico presto dans le vif du sujet qui nous intéresse asteure : mais comment étaient les ciels de France, de Navarre et d'ailleurs aujourd'hui ? Chez Carole en Nord-Picardie, chez Val1603 en région parisienne, chez Marylou en Alsace, chez Minouche en Poitou-Charentes, chez MéméYoyo et Mamylou dans les Pays-de-la-Loire, chez Marianne en PACA, chez Cigalette et Arlette en Belgique et chez Françoise Andersen au Danemark ? 

 

Et chez moi ? Voyez comme il est chouette mon Petit coin de ciel de ce lundi : du bleu, du chaud, du beau !

 

Un vrai ciel de mois de juin !

 

Quoi ? De juin ? Déjà ? Une nouvelle fois, je n'ai vraiment rien compris. Plus ça va et plus je m'emmêle dans les dates et moins je sais où j'en suis. Plus ça va et plus je me demande quel jour on est, où est passé le temps, à quoi j'ai occupé mes dernières semaines et comment il se fait que presque la moitié de l'année se soit déjà envolée...

 

Et surtout, pourquoi ? Est-ce le lot de tout le monde ? Est-ce vraiment une fatalité ? En sera-t-il toujours ainsi jusqu'au dernier jour de la fin de ma vie ? Ne peut-on rien tenter pour inverser la tendance ? Ralentir la course de temps, démultiplier les heures, ou alors rallonger les jours, ou les nuits ? Ne plus dormir, ou alors juste un tout petit peu. Pour pouvoir tout faire. Ce qu'il y a à faire, mais aussi le reste : lire, rêver, s'arrêter, admirer, savourer, traîner, marcher... euh... blablater un peu aussi.

 

Et voilà. Je suis de nouveau en plein dans ma crise existentielle, à peu près comme une fois tous les 15 jours. D'ailleurs, il est fort probable que vous ayez l'impression d'avoir déjà lu ici ce genre d'article. Si, si, au moins dix fois.

 

Est-ce que cela veut dire que je radote ? Ou alors que je n'ai rien d'autre à dire ? Ou que je n'ai pas encore réglé mon problème de temps qui passe trop vite ? Ou que je ferais mieux d'accepter les choses telles qu'elles sont en faisant preuve pour une fois de maturité ? De philosophie. Ou de sagesse.

 

Bon, si vous voulez, on peut peut-être arrêter de parler de ça et passer à un autre sujet de conversation passionnant.

 

Hé ! Vous savez quoi ? Le septième de notre vie, c'est des lundis...

 

Etonnifiant, non ?

 

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Rédigé par vivi

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Publié le 1 Juin 2014

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Lundi 26 mai

 

Un vrai plaisir : aller au resto chinois et inviter mon ancienne collègue (private message inside : voilà Juju, alors on dirait que c'est un peu notre mémoire ici, comme ça la prochaine fois on saura quand et où on a mangé et qui a payé !). Attention siouplé, ancienne ne veut pas dire vieille (car elle a deux ans de moins que moi)...

 

Mardi 27 mai

 

Fiston 3 m'a tellement fait rire au moment du repas que j'ai failli cracher ce que j'avais dans la bouche dans mon assiette et que j'ai avalé de travers en déglutissant comme j'ai pu tout en restant classe et digne. Et ça, c'est pas donné à tout le monde ! Le pire, c'est que je ne sais même plus ce qui m'a autant fait rire.

 

Mercredi 28 mai

 

Les courses au drive, c'est biiieeenn. Surtout quand c'est Jules qui s'y colle pour aller récupérer le matos.

 

Jeudi 29 mai

 

Aller à la communion de la fille du cousin de Jules et revoir les cousines, les cousins, les anciens, les ados, les plus jeunes mais surtout les cousines... 10 jours que l'on ne s'était pas vues mais à nouveau (ou encore) plein de blablas à se raconter.

 

Vendredi 30 mai

 

La semaine de boulot s'achève et c'est tant mieux. Je suis contente de rentrer dans mon chez-moi, retrouver ma famille et oublier les contrariétés auxquelles j'ai dû faire face aujourd'hui.    

 

Samedi 31 mai

 

Le stress de l'attente des résultats du concours est à son comble. Fiston 2 fait donc une fête à la maison avec ses amis, histoire de se détendre et de décompresser... Et nous, on est gentiment priés d'aller voir ailleurs. C'est l'occasion de faire quelque chose de spécial : Jules et moi on part donc pour une grande balade sur les quais de Bordeaux avant de venir récupérer Fiston 3 et Fifille, et filer à la maison de belle-maman sur le Bassin d'Arcachon. Ensuite, c'est pizza dans la rue piétonne et glace sur la jetée avec le coucher du soleil en prime.

 

Dimanche 1er juin

 

Comme on a ordre de ne pas rentrer à la maison trop tôt (oui, oui, on est des parents vraiment cool), on profite du beau temps pour faire le tour du Domaine de Certes, entre terre et mer. Et quand on revient dans notre chez-nous, tout est rangé, propre et en ordre ! Elle est pas belle la vie ?

 

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Rédigé par vivi

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Publié le 28 Mai 2014

seuls au monde

Ça, c'est un livre que Fifille a dévoré et qu'elle a proposé de me prêter... Peut-être pour que je succombe à l'histoire et que je lui achète le deuxième tome (la fin est juste grrrr) ? 

En tout cas, j'ai dit oui tout de suite et la lecture de ce roman-catastrophe pour ado le soir au fond de mon lit a été plutôt agréable : il y a de l'aventure, du suspense, des drames, de l'amitié, beaucoup d'imagination, aussi un peu d'amoouuur bien sûr.

Et évidemment j'ai acheté le deuxième tome...

Cela dit, je n'irais pas jusqu'à vous conseiller cette lecture car ce bouquin est vraiment destiné à un public jeune (mais pas trop quand même, disons à partir de 12 ans). Par contre, si vous avez un cadeau à faire à une(e) ado, un(e) neveu(nièce) ou un(e) filleul (e) vous pouvez le lui acheter les yeux fermés.

"Ta mère te crie que tu vas louper ton bus. Tu ne prends ni le temps de la serrer dans tes bras ni de lui dire que tu l'aimes. Forcément... Tu dévales juste l'escaler et tu sprintes jusqu'à l'arrêt de bus. Sauf que, si c'est la toute drnière fois que tu dois voir ta mère, tu te mets à regretter de ne pas avoir pris le temps. Y compris de ne pas avoir raté le bus. Là, le mien arrivait, alors j'ai sprinté."

Dean aurait vraiment dû dire au revoir à sa mère. Lui, son petit frère, ainsi que tous les autres passagers des bus qui devaient les conduire, comme tous les jours, à l'école. Mais comment auraient-ils pu deviner ce jour-là qu'une catastrophe écologique les pousserait à se réfugier dans un supermarché ? Au-dehors, le monde est en proie à des tempêtes qui ravagent leur petite ville, des fuites de produits chimiques rendent les gens violents ou paranoïaques... ou les tuent, tout simplement. Ils sont quatorze, ils ont entre cinq et dix-sept ans, et ils doivent survivre et garder espoir.

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Rédigé par vivi

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Publié le 26 Mai 2014

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Amis petitcoindecielophiles, bonjour. Ou plutôt bonsoir.

 

La dernière fois (qui remonte à plus d'un an), prétextant la photo de mon ciel du lundi, je vous avais fait un cours sur le plus vieux pont de Bordeaux (qui en compte 5).

 

Et voilà qu'aujourd'hui, au détour d'une petite virée en ville, se présente l'occasion de vous montrer le petit dernier : le pont Jacques Chaban-Delmas ou pont Bacalan-Bastide (du nom des 2 quartiers qu'il relie) ou encore pont Ba-Ba (ça, c'est pour les intimes), inauguré le 16 mars 2013 par François himself (et Alain bien sûr) et mis en service 2 jours plus tard pour le plus grand bonheur des Bordelais fatigués et harassés de se payer tous les jours des heures et des heures de bouchons pour traverser La Garonne à l'heure de l'embauche et idem le soir pour rentrer dans leur chez-eux.

 

Cet ouvrage est le plus haut pont-levant d'Europe. En effet, pour permettre la navigation fluviale, et notamment la venue jusqu'au centre de Bordeaux des plus gros paquebots de croisière, la travée centrale (celle que l'on voit sur la photo entre les 2 pylônes qui en fait sont au nombre de 4) se lève comme un gigantesque ascenseur grâce à un système de colossales poulies.

 

Je vous simplifie le truc hein, et plutôt qu'un long discours (que je serais bien incapable de vous tenir), je vous invite à regarder ici une vidéo très explicite qui ne prendra que 53 secondes de votre précieux temps pour comprendre exactement le pourquoi du comment de la chose. Sérieux, ce petit film vaut le coup d'œil et vous vous coucherez encore plus intelligents ce soir, si si.

 

Et sinon, pour changer de sujet de conversation et en revenir à celui qui nous intéresse le lundi, vous avez vu ce ciel pourri, chargé de pluie, chaotique et... gris ? Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais il me semble que vous serez assez d'accord pour que j'affirme ici haut et fort que ce ciel est tout sauf digne d'un 26 mai.

 

C'est vrai quoi ? Ce ciel est tout sauf digne d'un 26 mai...

 

Et chez Carole en Nord-Picardie, Mary et Canelle/Claudine en Bretagne, Cigalette et Arlette en Belgique, Marylou en Alsace, Mamylou et Mémé-Yoyo dans les Pays-de-la-Loire, Andrée/Erato en Rhône-Alpes, Val1603 en région parisienne, Sylvie en PACA, c'était comment ?

 

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Rédigé par vivi

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Publié le 24 Mai 2014

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image du net 

Lundi 19 mai

 

Le temps magnifique que l'on a eu toute la journée... enfin jusqu'à ce que ça se gâte... J'ai déjà raconté le reste ici.

 

 

Mardi 20 mai

 

 

Une sortie ciné avec Jules... ça faisait longtemps. On est allé voir Grace de Monaco. Article à suivre (si j'ai le temps).

 

 

Mercredi 21 mai

 

Parler un grand moment au téléphone avec Fiston 1. Il ne m'a jamais raconté autant de trucs que depuis qu'il est parti de la maison.

 

 

Jeudi 22 mai

 

Ouf ! Fifille a enfin fini de préparer ses 5 sujets pour l'épreuve d'Histoire des Arts du Brevet des Collèges. D'un autre côté, il était temps... Elle passe son oral demain.

 

Vendredi 23 mai

 

La fête des voisins, organisée par la voisine. Petite déconvenue : seuls 4 riverains de notre chemin sur 17 ont répondu "présent" à l'appel. On va dire que le temps en a peut-être rebuté plus d'un... ce qui ne leur donnait pas le droit pour autant de passer juste devant nous en voiture sans tourner la tête pour dire bonjour... Cela dit, nous avons passé une excellente soirée à 8, très conviviale. Fiston 3 et Fifille sont même venus se joindre un moment à nous... malgré la pluie, malgré le vent, malgré le froid...

 

Samedi 24 mai

 

Une bonne soirée comme je les aime passée avec trois couples d'amis : pas de chichis, pas de tralalas, un bon repas, quelques bonnes bouteilles, des essais culinaires réussis, une franche bonne humeur et euh... un bon feu de cheminée aussi...

 

Dimanche 25 mai

 

La fête des mères pardi ! J'ai été chouchoutée, choyée, gâtée ! D'abord par la présence de mes 4 enfants, ensuite par leurs gentilles attentions : un polar, un bouquet, un vase, une nouvelle poule dans ma collec, des produits qui sentent bon pour la douche et le bain... Y'a pas à tortiller, ils me connaissent et savent bien quelles sont les choses qui me font craquer.

 

Et vous, les autres mamans ? Gâtées ?

 

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Rédigé par vivi

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Publié le 21 Mai 2014

A quelques jours de la fête des mères, je retrouve en faisant du rangement un poème très animalier que Fifille m'avait écrit quand elle avait une dizaine d'années.

Pour moi, un cadeau plus précieux que tous les cadeaux les plus précieux.

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Rédigé par vivi

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