Publié le 30 Septembre 2013

cuvée 2013

 photos prises par Mélissa

J'avais déjà commencé à l'évoquer , la journée du 28 septembre promettait d'être tout à fait exceptionnelle.

Et elle le fut ! Tout autant qu'elle fut folle, pleine d'émotion, surprenante et à présent riche en souvenirs.

En effet, les rencontres bloguesques se suivent et... se ressemblent, tout du moins sur le plan des sentiments, des échanges, du plaisir, de la satisfaction et du bien-être proche de la béatitude que l'on peut ressentir à la fin de la journée.

Non, je ne mâche pas mes mots mais je le dis au contraire haut et fort, d'autant que j'étais plutôt sceptique au départ sur la sincérité et la solidité que pouvaient avoir des relations bloguesques que j'imaginais il y a quelques temps maintenant révolus exclusivement virtuels. Je me suis vraiment gourée et pas qu'un peu sur toute la ligne.

, il y avait eu une rencontre avec Valérie il y a presque 3 ans, un petit café avec Alba avant son départ au Maroc et  un merveilleux week-end inoubliable avec Carole, Cécé, Mélissa et Sam dans le Nord.

Cette fois, c'est à Paris que j'ai fait la connaissance de 4 nouvelles blogueuses (Arlette et ses deux Nathalie, Coco/blog privé, Fred et Val1603) et que j'ai revu avec le plus grand des plaisirs 5 blogueuses déjà vues par le passé (Carole, Cécé, Mélissa, Sam et Valérie).

cuvée 2013 3

photos prises par Mélissa et Carole

Au programme des retrouvailles à la gare Montparnasse, puis devant l'Hôtel de Ville, un repas orchestré par Mélissa et Val1603, un passage obligé par la Tour Eiffel, une pause dans l'herbe du Champ de Mars et... bien sûr... on est à Paris ou on ne l'est pas... un peu de métro !

Au final, une journée complètement folle avec un réveil à 4h45 et un retour à la maison vers 23h30 sous les orages et la pluie, beaucoup de blablas, des échanges de cadeaux (et je dois dire que sur ce coup-là j'ai été si gâtée que je me demande encore si j'ai vraiment mérité tout ça).

cuvée 2013 1cuvée 2013 2 

Merci de tout cœur Mélissa pour l'organisation de cette belle journée et pour avoir permis que nous nous retrouvions toutes.

Mais à quand la prochaine rencontre ? Ça y est, j'ai récupéré, je suis re-partante !

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 29 Septembre 2013

Rédigé par vivi

Publié dans #divers

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Publié le 28 Septembre 2013

je vais mieux

Autant le dire tout de suite : j'ai adoré découvrir ce livre.

C'est l'histoire d'un homme, la quarantaine, qui a tout pour être heureux : une femme qu'il aime et qui l'aime, un boulot d'architecte dans un cabinet renommé, de grands enfants qui volent maintenant de leurs propres ailes, des amis prévenants...

Il se réveille néanmoins un jour avec une inexplicable douleur dans le dos. Il pense que cela va passer, mais non. Persuadé d'avoir quelque chose de grave, il consulte et fait toute une batterie d'examens qui s'avèrent tous négatifs. Il va voir un ostéopathe qui ne le soulage pas, puis une magnétiseuse qui lui dit que son problème ne relève pas de la médecine.

Il y a des problèmes dans votre vie. Des choses à régler. Allez plutôt voir un psy.

Soudain, sa vie commence à partir ans tous les sens. Il a des ennuis au travail, dans son couple, avec ses parents, avec ses enfants. Il ne sait plus quoi faire pour aller mieux.

Alors, il s'interroge...

Si la cause de la douleur n'est pas médicale, d'où vient-elle ? Et si ce mal de dos était un signal d'alarme, un message du corps à l'esprit ? Si ces "nœuds" étaient justement le siège de toutes les contrariétés, critiques, tensions, déceptions, blessures accumulées tout au long d'une vie finalement subie plutôt que choisie ? 

S'il veut guérir, il doit agir, enquêter dans son passé, faire le ménage dans sa vie, mettre au clair ses relations et défaire, un à un, tous ces nœuds.

Clin d'œil littéraire, il en vient à dresser La liste de tous les conflits intérieurs qu'il a vécus, à commencer par cette non-invitation à l'anniversaire de Sophie Castelot, élève de CE2, dont il était amoureux à l'âge de 8 ans.

Pour connaître la suite et le dénouement (au sens propre comme au sens figuré) de l'histoire, il faudra vous procurer le livre.

Comme je le disais en préambule, j'ai beaucoup aimé le cheminement et les réflexions de cet homme qui corroborent ce que je crois de plus en plus : le corps en vient souvent à exprimer ce que l'esprit réprime... A méditer !

Par certains côtés, j'ai trouvé que ce héros ordinaire me ressemblait étrangement...

A moins que ce ne soit le contraire...

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Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

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Publié le 25 Septembre 2013

lunettes

A l'aube de mon t-huitième anniversaire (comme dirait pudiquement belle-maman), et après une bonne trentaine d'années de port de lunettes, voilà t'y pas que je viens de gagner comme qui dirait pour pas un rond ma première paire de verres progressifs.

Elle est belle, n'est-ce pas ? Et rouge en plus, même si ça ne se voit pas franchement mais dès demain j'arrête de sourire, ça fait vraiment trop de rides autour des yeux.

En effet, en plus d'être myope comme une taupe et follement astigmate, je me suis rendue compte depuis quelques mois que j'avais un besoin irrépressible d'éloigner mon livre de moi pour pouvoir le lire sans difficulté et on ne rit pas svp car ça risque bien de vous arriver aussi un de ces quatre.

La madame (du cabinet d'ophtalmo) et le monsieur (du magasin d'optique) m'ont dit que ça allait être for-mi-da-ble, que mon confort en serait nettement amélioré et que j'allais très vite adorer une fois que mon cerveau se serait habitué à la petite gymnastique oculaire indispensable à une bonne vision de près comme de loin.

But (car il y a un but), c'est juste affreux ce qui m'arrive (en plus j'avais rien demandé moi).

Car s'ils ont bien dit que j'allais finir par m'habituer, ils n'ont pas dit dans combien de temps.

Et donc, je n'arrête pas de lever et baisser la tête à l'image du petit chien qui, dans les années 70, trônait fièrement sur la plage arrière de la R12 du voisin (il paraît même que ça se vend à nouveau). A la fin de la journée, l'intensité de mon mal de crâne est à peu de chose près proportionnelle au nombre de fois où j'ai levé et baissé la tête (c'est dire) et, si ça continue, mes cervicales ne vont pas me dire merci non plus.

Tout ça pour voir flou la moitié du temps parce que je ne regarde pas au bon endroit, penser à maintes reprises dans la journée que j'ai la sensation d'en être déjà à mon troisième verre de rosé alors que je suis rigoureusement à jeun (siii, c'est vrai) ou alors tanguer au point que ça me rappelle cet endroit idyllique où nous étions allés avec Jules, cette mer bleu turquoise de rêve et ce bateau à fond de verre qui devait nous permettre de voir les raies et les barracudas que, les yeux fermés couchée sur la banquette, je n'ai jamais vus trop occupée à prier tous les Saints de la Bible (enfin ceux que je connais) que la balade se termine bientôt et qu'on me ramène au plus vite sur la terre ferme.

Alors chers/chères lecteurs/trices nombreux/ses qui, passés la quarantaine, avez comme moi j'en suis sûre un jour ou l'autre vécu cette fabuleuse et prodigieuse aventure optique, qu'en pensez-vous ? Qu'en dites-vous avec le recul ? Que me conseillez-vous à part jeter mes merveilleuses nouvelles lunettes à la poubelle et remettre les vieilles ?

Votre avis m'intéresse !

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Rédigé par vivi

Publié dans #santé

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Publié le 23 Septembre 2013

 

Mais pourquoi donc ?

 

billet 2 

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Rédigé par vivi

Publié dans #vacances-week-ends

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Publié le 21 Septembre 2013

après l'enfance

 

L'hiver est propice à la lecture, bien au chaud sous la couette ou devant la cheminée.

 

Mais l'été l'est tout autant, sur une chaise longue, à l'ombre des arbres, ou le soir, quand la maison a retrouvé son calme. Surtout pas sur la plage toutefois, j'aurais horreur de retrouver des grains de sable entre les pages de mon polar préféré (et j'en connais d'autres).

 

Tout ça pour dire qu'en ce moment je lis plus vite que mon ombre et que j'ai du mal à suivre le rythme des articles.

 

Après l'enfance de Julie Douard est encore un roman que l'on m'a prêté.

 

Je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit mais il existe chez moi, grâce à un solide réseau de fidèles lecteurs/trices, un véritable trafic de bouquins remplis de noms au crayon de papier et de signes cabalistiques pour savoir à qui est le livre, qui l'a lu, qui ne l'a pas encore lu, chez qui il doit aller ensuite, etc. ce qui fait qu'au final j'en achète bien peu mais que j'en vois passer beaucoup.

 

Je vous préviens, l'histoire de ce roman est assez difficile à résumer, mais j'essaye.

 

C'est celle d'une famille, de son entourage et de leurs tribulations à tous. Autant vous le dire tout de suite, dans ce bouquin personne n'est normal sauf peut-être le narrateur (et encore) car il a bien du mal à s'épanouir dans ce monde perturbé.

 

Né d'une conception adultérine dont longtemps il ne saura rien, il commence par échapper de justesse au trop plein d'amour de sa nounou puis au sadisme et à la tyrannie de ses aînés.

 

Mais ce salut n'est que temporaire puisqu'il atterrit bientôt en pension où s'ouvrent à lui tous les tourments de l'adolescence. Là, il va vivre un éveil des sens très agité, découvrir sous son vrai jour l'univers des adultes, ses misères, ses turpitudes, son ridicule et faire l'expérience douloureuse des intermittences du cœur.

 

Ce livre aurait pu être tragique ou dramatique mais, loin de tout cela, il est plein d'autodérision et d'humour (souvent grinçant). La plume est subtile, caustique et absolument drôle.

 

Allez, je vous laisse avec la 4ème de couv'.

 

Ambiance.

 

Si c'est au patron de ma mère que je dois la vie, c'est à son mari que je dois de ne pas avoir perdu celle-ci. Sans ce bouclier qui la protégeait de la honte, ma mère, qui aimait que les choses soient nettes, aurait probablement choisi de ne pas se laisser envahir. Mais le mariage et deux grands enfants nés avant moi la convainquirent qu'il ne s'agissait que d'agrandir la famille. Officiellement, je naquis en avance d'un petit mois sur le calendrier des prévisions gynécologiques. Par chance, j'héritai des yeux de ma mère et ne souffris aucune critique. J'étais le plus beau des trois d'après la nourrice qu'on m'infligea et qui, la pauvre, ne devait jamais se remettre de m'avoir trop caressé.

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

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Publié le 16 Septembre 2013

ciel-16-septembre.jpg

(publié le mardi 17 septembre, la faute à Internet qu'a des ratés)

 

La journée avait pourtant bien mal commencé.

 

Grisaille, crachin, froid, j'ai même fini par mettre des chaussettes et ça, il faut bien l'avouer, ça a été un coup dur porté à mon moral.

 

Et puis, il avait ce rendez-vous chez le stomatologue qui me turlipinait depuis un petit moment déjà et dont je n'ai pas arrêté de rêver toute la nuit, signe que mon subconscient n'était pas tout à fait tranquille. C'est peu dire que d'avouer que je n'avais vraiment pas envie d'y aller. D'ailleurs, telle l'autruche qui ne veut rien voir rien entendre, j'avais traînassé des lustres avant de prendre rendez-vous, lequel rendez-vous a ensuite été reporté deux fois (acte manqué ?), et je m'attendais tout à fait à m'entendre dire des tas de choses que je n'avais absolument pas envie d'entendre.

 

Et puis, le soleil a fini par percer les nuages grâce au vent qui s'est levé. Mon rendez-vous s'est finalement bien passé et je suis rentrée à la maison plus tôt que prévu.

 

Du coup, j'ai préparé un bon petit repas et, après, avec Jules, Fiston 3 et Fifille nous sommes sortis au ciné voir Jobs. Quoi ? Un jour de semaine ??? Un vrai coup de folie pour qui sait que je suis toujours au taquet quand on travaille le lendemain et que les enfants ont école.

 

Envolées mes inquiétues, somme toute bien banales !! D'ailleurs, plus j'y pense et plus je me demande s'il y a UNE SEULE personne au monde qui ne soit pas un jour ou l'autre préoccupée par ses dents.

 

Hein ?

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

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Publié le 16 Septembre 2013

gâteau roulé 

J'ai un paquet de gâteaux à mon actif : des gros, des carrés, des ronds, des rectangulaires, des en forme de cœur, des en forme de fleur, des ratés, des gonflés, des mous, des bourratifs, des jolis, des appétissants, des trop sucrés, des parfaits, des pour quand on a les yeux plus gros que le ventre, des pratiques, des vite-faits, des élaborés, des au chocolat, des aux pommes, des aux noix, des à rien, des légers, des qu'il vaut mieux oublier, des à refaire, mais je n'avais jamais fait un seul gâteau roulé.

Pourquoi ? A vrai dire, je ne sais pas, mais il a suffit que je tombe sur une recette qui m'a semblée simplissime pour que je me dise ça ma fille, même toi tu vas y arriver et que je me mette à mes fourneaux.

4 œufs, 125 g de sucre, 125 g de farine. C'est tout ? Ben oui, c'est tout.

1. Préchauffez le four (180°). Mélangez le sucre et les œufs entiers à l'aide d'un batteur électrique ou robot jusqu'à obtenir un mélange mousseux. La préparation doit doubler de volume.

2. Incorporez la farine. Recouvrez une grande plaque à pâtisserie rectangulaire de papier cuisson beurré (ou utilisez un moule en silicone type Flexipan), versez la pâte dessus et étalez-la uniformément à l'aide d'une spatule plate. Enfournez et faites cuire 10 mn jusqu'à obtenir une légère coloration.

3. Sortez le biscuit du four et retournez-le sur un linge humide. Décollez le papier cuisson puis roulez le biscuit dans le linge sans trop serrer. Laissez refroidir complètement.

4. Déroulez le biscuit et étalez le Nutella (ou la confiture) sur toute sa surface. Roulez-le à nouveau et posez-le dans un plat. Saupoudrez de sucre glace et décorez à votre convenance. Servez !

Au moment de démouler la pâte, j'ai bien crû que tout allait foirer rater car j'ai eu du mal à la décoller du moule en silicone. Peut-être un peu trop cuite ? Ou alors pas assez.

Autre pétoche au moment de la redérouler. Il semblerait qu'elle ait été un poil trop serrée car au moment fatidique j'ai bien crû qu'elle allait se casser en deux. Mais finalement, elle a tenu bon.

On dirait pas, hein, mais c'est parfois un de ces stress de faire la cuisine !

Malgré tout ça, il faut dire qu'il avait plutôt bonne mine ce gâteau et il a fallu que je me batte férocement pour qu'ados et mari ne se jettent pas dessus avant le repas.

Par contre, après, j'ai rien pu faire et ils ont tout dévoré comme des sauvages.

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Rédigé par vivi

Publié dans #nourriture

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Publié le 15 Septembre 2013

Voilà quelques mois que je ne vous ai rien narré sur ma collec de cocottes qui pourtant continue à s'agrandir de façon très originale (attendez de voir la prochaine), à tel point que j'ai parfois l'impression que ma maison se laisse tout doucement envahir par les poules... toutes sortes de poules sous toutes sortes de formes.

Il commence à y en avoir partout et il n'y a guère que les vraies qui sont toujours confinées dehors sans avoir le droit d'y rentrer manquerait plus que ça d'ailleurs.

Il y a quelques jours donc, c'était l'anniversaire de Jules et c'est pourtant moi, contre toute attente, qui ai reçu un paquet-cadeau... à l'intérieur duquel j'ai trouvé cette jolie poulette-doudou dodue entièrement cousue main.

J'ai bien sûr été tout particulièrement touchée par cette surprise parce que, moi-même adepte des petits cadeaux faits maison, je me rends bien compte de toutes les heures de travail qui ont été nécessaires à cette réalisation et de toutes les pensées que renferme chaque petit point, chaque aiguillée, chaque coup de ciseau.

En plus du geste, j'ai apprécié tous les détails des points fantaisie, l'harmonie des tissus et surtout l'œil coquin et la "bonne bouille" de cette nouvelle venue. 

Un grand merci à la G.O. (Gentille Ouvrière).

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Rédigé par vivi

Publié dans #poules

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Publié le 12 Septembre 2013

La dernière fois que j'avais décidé de sortir de ma campagne faire du culturel et d'aller voir La Sylphide, j'avais été un peu déçue. Mais je terminais mon article sur une note positive et pleine d'espoir en disant : peut-être un opéra la prochaine fois ?

Je ne croyais pas si bien dire puisque, pendant nos vacances en Provence, nous avons pu in extremis acheter des places pour accompagner les cousins de Jules bien plus habitués à l'Art Lyrique avec un grand A et un grand L que nous autres pauvzignorants à Gigondas, charmant petit village du Vaucluse, bien connu pour son vin mais pas que.

En effet, ce jour-là, les Soirées Lyriques donnaient Cosi fan tutte de Mozart en plein air dans un cadre d'exception, le Théâtre de Verdure, haute terrasse nichée au cœur des murs de ce haut village moyenâgeux.

cosi fan tutte 

Trois premières pour moi : c'était la première fois que je venais à Gigondas, c'était la première fois que j'assistais à un opéra, c'était la première fois que j'assistais à un opéra en plein air et dire qu'il a fallu que j'attende d'avoir 47 ans presque 48 pour ça.

Ovviamente, l'opéra était en italien, dont je ne parle malheureusement pas un traître mot. Mais heureusement, j'avais révisé avant de faire le déplacement.

Voilà l'histoire : l'action se déroule à Naples, vers la fin du XVIIIème siècle. Deux jeunes officiers, Ferrando et Guglielmo, sont mis au défi par le cynique Don Alfonso, célibataire d'âge mûr, de conserver pendant leur absence l'amour de leurs fiancées respectives, les deux soeurs Dorabella et Fiordiligi. Ils feignent de partir à la guerre et reviennent déguisés en Albanais courtiser chacun la fiancée de l'autre. Après avoir hésité, Dorabella puis Fiordiligi cèdent à l'empressement des deux étrangers qui leur ont promis le mariage. C'est alors que, à la grande confusion des deux sœurs, les jeunes hommes dévoilent leur véritable identité...

"Ainsi font-elles toutes" (Cosi fan tutte), ricane Don Alfonso avant d'unir les jeunes amants. Et tous de conclure : "Heureux l'homme qui prend toute chose du bon côté et, à travers toutes les vicissitudes, se laisse guider par la raison".

Au total, une merveilleuse soirée dans un décor, une fois la nuit tombée (mais pas la fraîcheur), presque aussi somptueux qu'en plein jour.

J'ai particulièrement aimé le talent des jeunes artistes et la mise en scène à la fois originale et très drôle, sans oublier l'entracte pendant lequel nous avons pu déguster, avec modération bien sûr, des vins et des spécialités du terroir.

À refaire !

gigondas.jpg

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Rédigé par vivi

Publié dans #spectacles

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