Publié le 10 Novembre 2010

 

J'ai vraiment apprécié ma première semaine dans la communauté Musique à Coeur Ouvert !!!

 
MERCI A TOUS !!
 
J'ai adoré me balader de blog en blog pour voir les différentes sélections individuelles, même si le temps m'a manqué pour vraiment m'attarder davantage. Les choix étaient aussi variés et divers que les personnalités de chacun, et c'est bien sûr ce qui fait la richesse et l'originalité de cette communauté.
 
Bref, nouveau mercredi, nouveau thème choisi cette fois par Bénissa. Notre Présidente nous a fait plancher sur le thème suivant :  Du Classique en Variétés. Elle nous dit :
 
Vous prenez d'illustres morceaux de musique classique, et vous en faites des chansons de variétés, enfin pas vous !... d'autres l'ont fait, il vous suffit de les trouver.
Vous aimez la musique classique, c'est super ! vous n'appréciez que la variété, eh bien c'est fait pour vous aussi.
C'est cool, finalement, non ?...

 

Et voilà ! Je n'ai pas mis longtemps à trouver une chanson car il y en  a une qui me tient particulièrement à coeur. Il s'agit de Sur un Prélude de Bach de Maurane. Attendez, il faut que je vous raconte : l'histoire se passe il y a presque 17 ans quand j'étais enceinte de 8 mois 1/2.... L'heure de me rendre à la maternité avait sonné en plein milieu de l'émission des Grosses Têtes que j'étais en train d'écouter et du plat de crêpes que je venais de faire, mais impossible de joindre mon mari qui était au boulot (eh oui ! c'était une époque sans portable !!). Il a donc fallu que je me rende à l'évidence : pas le temps d'attendre davantage, au risque d'accoucher dans ma cuisine ; je devais partir toute seule. La maternité était à 30 km et, dans la voiture, une authentique Samba Sympa qui à l'époque était encore jeune, la radio jouait cette chanson :

 

 

Mon choix s'est donc facilement imposé...... Ah, et puis il y a aussi La petite Fugue de Maxime Le Forestier parce que j'aimais beaucoup ce chanteur quand j'étais ado.... (j'aime toujours d'ailleurs), en plus de Tony Curtis et de John Wayne, bien sûr...

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #musique

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Publié le 9 Novembre 2010

 

 

Je sais pas chez vous, mais dans le 33 c'est le déluge.....

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

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Publié le 8 Novembre 2010

2c2df56ce1L'Histoire (avec un grand H) et les événements qui l'ont façonnée ont donné naissance à des absurdités géographiques.

 

L'île aux Faisans, ou île de la Conférence, en est une.

 

Plutôt qu'une île, c'est en fait un petit îlot formé d'alluvions au mileu de la rivière Bidassoa, entre la France et l'Espagne, que le fleuve aurait fait disparaître depuis longtemps si on ne l'avait entourée de palissades et d'empierrements,

 

Elle a la particularité d'avoir le statut de "condominium", c'est-à-dire qu'elle appartient conjointement à la France et à l'Espagne qui en partagent la souveraineté à mi-temps. En effet, tous les six mois, elle change d'administrateur, ou plutôt de vice-roi ; tous deux sont officiers de marine : l'un commande la base navale de l'Adour (pour la France), l'autre la station navale de Fontarrabie et de San Sebastian (pour l'Espagne). Il s'agit du seul exemple actuel de souveraineté alternée sur un territoire. Par ailleurs, la frontière conventionnelle entre la France et l'Espagne passe au milieu de l'île.

 

Cette particularité est due à l'Histoire. A plusieurs reprises, elle fut le théâtre d'échanges, de négociations, de conférences ou de rencontres célèbres.

   

La signature, en 1659, du traité de paix des Pyrénées entre la France et l'Espagne, qui met fin à une guerre de 30 ans, est l'un des événements les plus connus qui s'y soit déroulé. Ce traité a été négocié dans une conférence de trois mois entre le cardinal Mazarin et Don Luis de Haro. Il est garanti par le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse d'Autriche (qui n'était pas comme son nom l'indique autrichienne, mais la fille du roi d'Espagne Philippe IV). Les 5 et 6 juin 1660, Louis XIV et Philippe IV s'y rencontrèrent en personne pour la confirmation du traité et la célébration du mariage.

 

Autre rencontre célèbre à cet endroit, et plus récente : celle d'Hitler et de Franco en 1940.

 

L'île ne se visite pas mais on peut facilement l'apercevoir des deux rives.

 

paixpyrene-46160.jpgL’Entrevue entre Philippe IV et  Louis XIV dans l’île des Faisans (juin 1660)

 

Voilà ! C'était pour la petite minute culturelle du jour ! 

 

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #le saviez-vous

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Publié le 7 Novembre 2010

- Je trouve que le chat a grossi. Vous ne trouvez pas qu'il est gros en ce moment ?

 

- Mais nooooon maman ! Le chat n'est pas gros. Gros c'est quand il nettoie par terre avec son ventre quand il court !

 

Vu sous cet angle.... effectivement.... le nôtre a encore de la marge....

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #bons mots

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Publié le 6 Novembre 2010

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Je viens de terminer ce roman.

 

Avec un peu de mal, je l'avoue, mais.... je crois que tout est de ma faute. En effet, je ne m'assois jamais avec un livre en journée mais je lis toujours le soir, avant de m'endormir.

 

Or, ce bouquin est particulièrement compliqué.

 

D'une part, l'histoire -qui n'a rien à envier à un bon polar américain- est complexe et pleine de rebondissements. D'autre part, les personnages sont nombreux. Enfin, il y a pas mal de flash-backs : les scènes du passé et du présent sont souvent liées, ce qui rend la compréhension encore plus ardue. Par ailleurs, difficile de mémoriser des noms de lieux ou de personnages quand ils sont aussi compliqués que : Kalvebod Brygge, Tørk Hviid, Ulloriannguaq Christiansen, Vestre Kirkegård ou Kalkbrænderivej. Les références à la langue inuit sont également nombreuses et il n'est pas rare de croiser des mots tels que : Qaanaaq, quvittoq, napariaq ou naammassereerpooq.

 

Bref, il faut rester concentré.

 

Mais à partir de 23 heures, c'est difficile. Pour moi en tout cas....

 

L'histoire se passe en partie au Danemark et en partie sur un navire dans l'Arctique, en route vers le Groenland. Elle commence avec la mort d'un petit garçon de 6 ans qui glisse du haut du toit d'un immeuble. La police conclut à un accident. Mais Smilla Jaspersen, qui connaît bien l'enfant, n'est pas de cet avis. Elle a observé les traces laissées sur le toit avant la chute ; elle sait qu'Ejasas souffre terriblement du vertige et qu'il ne serait jamais monté là-haut de son plein gré. De son enfance groenlandaise, elle a aussi gardé le don de "lire" la neige. Pour tous ces motifs, elle décide de mener sa propre enquête, seule, et de ne pas lâcher l'affaire, malgré les intimidations et les menaces. Elle ira jusqu'au bout, jusqu'au bout d'elle même aussi, quitte à y laisser sa vie.

 

De Moritz, son père danois, elle reçoit beaucoup d'argent, ce qui lui permet d'assouvir sa coquetterie et l'achat de vêtements de marque. Mais de sa mère inuit, elle a hérité le courage, la ténacité, l'intuition et la persévérance. Au Groenland, elle a appris à vivre dans des conditions extrêmes. Elle sait se battre et faire mal. Elle sait aussi encaisser les coups et dominer toute douleur physique ou morale.

 

Tous les personnages sont énigmatiques. A commencer par l'héroïne, mais aussi, son père, éminent médecin, avec lequel elle entretient des relations difficiles, sa mère, très belle groenlandaise tuée lors d'une chasse, son frère, disparu dans des conditions dramatiques, la mère d'Esajas, alcoolique, et bien sûr le mécanicien, personnage aux desseins troubles dont Smilla va, contre toute attente, tomber amoureuse. 

 

L'auteur, Petet Høeg, qui fut marin, danseur et acteur avant de se consacrer à l'écriture, nous fait découvrir :

• le Danemark, et plus particulièrement Copenhague, engloutie sous le froid, la glace et le gel (l'histoire se passe au moment de Noël),

• le Groënland lorsque Smilla se rappelle son enfance, et ce que sont devenus ses habitants aujourd'hui,

• et l'Arctique, immense océan gelé peuplé d'icebergs, forteresse d'eau et de glace, de pièges et de blancheur. Il nous "apprend" aussi la neige pour laquelle les Groenlandais ont inventé plus de 30 mots....

Il nous parle également, en marge de l'histoire principale, de la façon dont les Danois ont géré le problème de leurs "immigrés" groenlandais.

 

Livre à lire, même si le début paraît compliqué. Car une fois pris dans le récit, on a du mal à le lâcher.

 

De ce roman, qui a été publié en 1992, fut tiré un film réalisé par le danois Bille August, Smilla, en 1997.

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #livres-auteurs

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Publié le 5 Novembre 2010

Mes semaines sont bien remplies.

Entre les enfants, les copines, les repas, la gym, les poules, le jardin et la maison, je n'ai pas le temps de m'ennuyer. Pourtant, je trouve qu'il y a beaucoup de petits temps morts dans une journée, quelques minutes avant que les enfants ne rentrent de l'école, ou avant le repas, ou avant de partir à un rendez-vous, ou en attendant que la machine à laver ne se termine, ou avant d'aller chercher les garçons au bus, ou au lycée, des moments où ce n'est pas la peine de commencer quoique ce soit et qui seront perdus si l'on n'y prend garde.....

Au lieu de m'affaler sur le canapé comme une crêpe (hein ? quoi ?.... oui ! bon ! d'accord ! des fois ça arrive....), je saute sur l'ouvrage qui traîne toujours sur le coin de la table du salon et vite vite je fais quelques petits points de croix, une activité qui me passionne depuis longtemps et qui a fait de moi une crucifiliste acharnée....

Voilà une explication qui n'engage que moi : je suis nulle en dessin, à mon grand regret, une de mes immenses frustrations. Snif. J'ai laissé une génération d'enfants perplexes, peut-être même traumatisés, devant mes croquis de chat, de cheval ou de lapin :

- Maman, tu me dessines un chat ?

- Hum hum hum, pas de problème, hop hop hop. Voilà !! C'est fini !!

- ......... (blanc) Hé ! maman, mais c'est pas un chat ça.

- Ah bon ! Ben si ! J'ai dessiné un chat !

- Non, c'est pas un chat, ça s'peut pas.

- Ben, c'est quoi alors ?

- ??????

Mais avec le point de croix, tout est différent. Je crée, les formes et les motifs naissent sous mes doigts, je remplis l'espace, mon imagination vagabonde..... Et pourtant, ce ne sont que quelques croix...... mises bout à bout. C'est simple comme bonjour. On pique, on ressort, on pique, on ressort, tout le monde sait faire ça.

Bon, des fois, c'est un peu plus compliqué : on se trompe, les fils s'emmêlent ou s'effilochent, le résultat est bof, la toile est trop molle ou n'a pas la bonne dimension, c'est trop petit, trop serré, pas centré..... Et puis, longtemps j'ai pensé que ça faisait un peu mémère de faire du point de croix, surtout quand le chat vient se mettre sur mes genoux......

Mais quand je brode, c'est trop bien !! Mon esprit s'évade. Au bout d'un moment, plus besoin de se concentrer sur le travail et tandis que les points se font machinalement  je réfléchis, je me projette, je fais des plans sur la comète ou je ne pense à rien, ou j'écoute la radio, ou je fais réciter les leçons....

Dans toute la broderie, ce sont les abécédaires que je préfère, monochromes si possible.....

La plupart du temps, je suis des modèles faits par des créatrices et, depuis longtemps, j'avais envie de faire un ouvrage en rapport avec la Gironde, ce beau département qui m'a adoptée il y a vingt ans  environ, d'abord pour les vacances, puis pour la vraie vie. J'ai cherché des modèles, il en existe quelques-uns mais aucun pour lequel j'aie vraiment craqué.

Et puis, pas à pas, une idée a germé. Et si j'inventais une broderie, ou un abécédaire, qui parlerait des lieux que j'aime, des souvenirs de vacances, des endroits qui me tiennent à coeur, de ceux où nous passons de si bons moments ?.....

Et finalement, ça donne ça :

broderie du bassin.1825

Ceux qui connaissent la région reconnaîtront les hauts-lieux touristiques du coin. Et ceux qui sont observateurs remarqueront que la broderie n'est pas finie..... En effet, je me suis attaquée à la frise, en forme de vagues, bien sûr.... et il me reste quelques petits "vides" à combler. Petit à petit, ça avance...

Il faut rendre à César ce qui est à César ! Voilà les ouvrages dont je me suis inspirée pour l'abécédaire proprement dit : "la Bible" et le "Répertoire des alphabets" de Valérie Lejeune, et le numéro 68 du Magazine "De Fil en Aiguille" dans lequel figurait un joli abécédaire pour chambre de bébé. Et pour la frise sur laquelle je m'acharne en ce moment, j'ai trouvé un modèle dans le "Répertoire des frises", toujours de Valérie Lejeune.

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En-cours à suivre donc.......

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Rédigé par vivi

Publié dans #travaux d'aiguilles et bricoles

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Publié le 4 Novembre 2010

 

Il y a des choses dont on ne peut pas se passer dans la vie !

 

Notamment certaines marques de produits alimentaires qui sont vraiment vraiment vraiment irremplaçables :

 

. elles nous rappellent trop notre enfance,

. n'importe quel ersatz paraît insipide à côté de "l'original",

. leur goût est inimitable,

. on ne sait pas faire "sans",

. elles sont "authentiques",

. on les consomme par habitude et on ne veut/peut pas en changer,

. en période de crise financière, on préfère carrément s'en passer plutôt que d'acheter autre chose,

 

ou tout ça à la fois.

 

Ce genre d'articles là.....

 

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Vous voyez forcément ce que je veux dire....

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #nourriture

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Publié le 3 Novembre 2010

C'est ma première venue dans la communauté Musique à Coeur Ouvert, que j'ai découverte tout d'abord grâce à Maryvonne, puis Valérie, puis Danielle et enfin tout récemment Zaza et Carole....
 
Je trouvais que vous aviez l'air de bien vous amuser, tou(te)s, chaque mercredi, à plancher sur des thèmes définis et des chansons à découvrir ou redécouvrir, et tout ça grâce à Véro.
 
Et c'est pourquoi je me suis décidée à m'inscrire....
 
Pour cette première, j'ai un peu le trac (naannnn, j'rigole, mais quand même.....) ! D'ailleurs s'il y a des choses que je n'ai pas faites dans les règles de l'art, n'hésitez pas à me le dire ! J'accepte toutes les critiques (mais pas trop quand même, hein !!!).
 
Nouvelle semaine, nouveau thème et l'Elue, notre cheffe de communauté, Sekhmet, nous propose de publier une ou plusieurs chansons sur le thème Anges et Démons en ajoutant ceci à notre intention :
 
J’ai toujours adoré la dualité entre le bien et le mal, entre l’enfer et le paradis et elle m’a toujours fortement inspirée !! Alors lâchez vous, soyez méchants ou gentils, angéliques ou démoniaques….

Et laissez libre cours à votre imagination !!!  

Amusez vous !! Mais pas trop … attention le Diable vous surveille 

 

Anges et Démons..... Deux chansons me sont immédiatement venues à l'esprit.

 

La première c'est la Salsa du Démon par Le Grand Orchestre du Splendide. J'aurais voulu être un peu plus originale, pour une première ! mais j'ai toujours adoré cette chanson. Elle me rappelle mes années "ado" mais aussi les grands trajets que l'on fait en voiture parce que, pendant la route, on écoute plein de CD et notamment celui qui contient cette chanson. Les enfants la connaissent par coeur depuis longtemps, comme quoi ! elle est vraiment indémodable et traverse les années comme qui rigole.

   

 
Ça, c'était pour le côté démoniaque..... Et pour le côté "ange" eh bien, ce sera Eurythmics, There must be an Angel. Oui, ça aussi c'était il y a longtemps....
 
J'ai plutôt été gentille et angélique sur ce coup-là, non ?

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Rédigé par vivi

Publié dans #musique

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Publié le 1 Novembre 2010

Connaissez-vous les dingbats, ces rébus graphiques que l'on voit parfois circuler sur Internet ?

 

A l'aide d'une image, vous devez retrouver une expression connue, une réflexion ou un "bon mot".  Pour cela, vous devez utiliser les mots eux-mêmes, mais aussi leur phonétique, leur position, leur graphisme, leur placement ou d'autres symboles conventionnels éventuellement contenus sur l'image.

 

Par exemple, dans ce cas, il faut retrouver l'expression : "avoir l'âme en peine".

ame peine    ame peine soluce 

  Ici, "crème renversée" :  

dingbat

ou là :

 dingbat4 

"avoir une une idée derrière la tête".

 

Il existe sur le même principe, un excellent jeu de société édité chez Ravensburger : un plateau, des pions, un dé, un sablier et deux distributeurs de cartes "Dingbats" et "Dingbats diaboliques".

 

On peut jouer individuellement mais, en équipe, c'est nettement plus marrant. Pour avancer, il faut résoudre des énigmes "simples" ou "diaboliques", mais aussi avoir de la chance car certaines cases du plateau permettent d'avancer plus vite vers "l'arrivée" ou au contraire de redégringoler vite fait bien fait pas loin de la case départ....

 

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Au début, on est un peu perturbé pour répondre, mais une fois qu'on a compris la logique, on en redemande.

 

Plus on joue, plus on trouve, plus on s'amuse. Certaines énigmes sont "évidentes", d'autres sont plus subtiles, et quelquefois elles sont vraiment tirées par les cheveux.... car, même avec la soluce, on a du mal à voir le rapport....

 

Sinon, ce n'est absolument pas un jeu pour les tout-petits, plutôt à faire avec les ados, à partir de 12 ans et jusqu'à.......pffff, au moins 77 ans.

 

Fous rires assurés..... et peut-être une idée de cadeau de Noël ?

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Rédigé par vivi

Publié dans #divers

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Publié le 31 Octobre 2010

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Tout a commencé quand ce joli chou rouge bien pommé, bien brillant et bien ferme m'a fait de l'oeil l'autre jour sur les étalages de mon supermarché préféré.

Ce n'est pas trop le genre de truc que j'ai l'habitude d'acheter mais j'ai pensé dans un moment d'égarement que c'était un beau légume de saison et qu'il fallait bien varier un peu les plaisirs de temps en temps. Son coût modique (1€30) a fini de faire pencher la balance et, une seconde après, il avait rejoint les autres courses dans mon chariot.

Les choses se sont compliquées une fois rentrée à la maison quand diverses questions m'ont assaillie :

Bon, ça se prépare comment déjà ce machin ? Mais comment  je vais faire avaler ça aux gosses ? Au fait, c'est pas le truc super dur à digérer le chou ? Et qui empeste toute la maison quand ça cuit ?

Bon, pas de panique ma petite Vivi, me suis-je obligée à penser. Va vite consulter ton fidèle livre pour cuisinières nulles qui te sert sans faillir depuis de nombreuses années déjà et, tu verras, tout va très bien se passer.

D'abord, préparer le chou : enlever les feuilles extérieures qui pourraient être abîmées, les grosses côtes, le laver et le couper en fines lamelles. Pour faciliter la digestion, le faire ensuite blanchir pendant 5 minutes dans de l'eau bouillante salée. Pour l'odeur, mettre dans l'eau un vieux croûton de pain dur (j'y croyais pas mais si ! si ! ça marche). Puis égoutter (donner le vieux pain aux poules en même temps que les feuilles et les côtes non utilisées).

Ensuite, consulter mon site favori de recettes, Marmiton.org, et trouver une recette de chou braisé "à la flamande" qui a l'air absolument fameuse. Dommage que l'auteur n'ait pas cité son nom !

Voilà les principes de préparation : faire revenir des oignons hachés menus dans le fond d'une cocotte, ajouter le chou rouge bien égoutté et laisser fondre quelques minutes. Mouillez avec 1/2 l environ de bouillon-cube. Ajouter du thym, du laurier, du sel et du poivre, un filet de vinaigre et un peu de sucre. Rajoutez aussi des dés de pomme (fruit) et pour ma part, j'ai mis en plus une petite boîte de marrons. Terminer en liant avec un peu de fécule de pomme de terre délayée dans de l'eau.

J'ai laissé cuire ensuite pendant une petite heure à feu tout doux tout doux pour que tout ça mijote bien tranquillement à couvert. A la fin, il a juste suffi de rectifier l'assaisonnement.

Le plus facile était fait. Restait à affronter les critiques acerbes des enfants. Après une période de flottement (bizarre ce truc ? ça a une drôle de couleur ? et les morceaux là, c'est quoi ?), ils ont déclaré que "c'était pas si mauvais" ce qui, en langage djeuns, est un sacré compliment.

Avec des petites paupiettes de veau, franchement, c'était royal !

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Rédigé par vivi

Publié dans #nourriture

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