MES KIFS DE L'ANNEE 6/18
Publié le 12 Février 2018
Lundi 5 février
La mammo, c'est une corvée hein, on est toutes d'accord. Une corvée, mais une indispensable corvée. Bon, et maintenant c'est fait et je suis à nouveau tranquille pour 2 ans.
Mardi 6 février
Entre deux brassières, je crochète... J'aime bien quand le fil glisse entre mes doigts, que mon esprit vagabonde et que l'ouvrage avance sans même que je m'en rende compte. Une fois, il faudra que je vous raconte comment, où et avec qui j'ai appris à crocheter...
Mercredi 7 février
Aujourd'hui, comme 2 ou 3 fois par an, je vais à Bordeaux manger avec ma Juju, mon ancienne collègue de quand j'ai commencé à travailler dans la région il y a... 28 ans (ouh, ça fait un peu peur d'écrire ça). A l'époque, j'avais 25 ans et elle à peine moins. On s'est tout de suite bien entendues (surtout pour raconter des bêtises et pouffer mais aussi dans le travail) : coordination et collaboration parfaites, toujours sur la même longueur d'ondes. Et 28 ans plus tard... ben c'est toujours pareil. Un excellent moment entre copines, à refaire dès que possible.
Jeudi 8 février.
Le psychiatre de l'hôpital m'envoie un mail : "Merci de bien vouloir me commander de nouvelles blues, les miennes sont vraiment usées".
Ça ne s'invente pas...
Vendredi 9 février
On fête l'anniversaire de la chérie de Fiston 1 chez sa maman : raclette et belle tablée au programme. Et on prend déjà rendez-vous pour la semaine prochaine pour célébrer le Nouvel An chinois.
Samedi 10 février
Vacances scolaires dans l'académie de Lyon. Fifille is back ! Je vais la récupérer au bus vers 23h00 et... elle est vraiment contente de rentrer se reposer à la maison et réintégrer son cocon douillet. There is nothing like home.
Dimanche 11 février
La digestion engendre une grosse perte d'énergie, c'est bien connu. Pas étonnant donc qu'après le repas de midi, tandis que je fais quelques comptes, je ressente un gros coup de barre. Alors je repousse tous mes papiers sur mon bureau et je mets ma tête dans mes bras croisés. Et tandis que je fais ce geste, je fais un gros bond dans le passé : la maîtresse nous faisait faire ça quand on était à l'école primaire et qu'on était un peu trop énervés, Ça nous calmait direct, et il y en avait toujours un ou deux qui finissaient par s'endormir. Finalement, quand j'y pense, elle avait bien raison la maîtresse.
Et voilà, encore une semaine de passée !