Publié le 9 Janvier 2013
musique
Publié le 23 Décembre 2012
2012 a été, pour la communauté Musique à Coeur Ouvert sous la houlette de Véro, une année bien remplie.
Pour ma part je n'ai pas été très assidue. L'année 2012 a été pour moi riche en changements, en événements et en émotions. Ceci explique sans doute cela. Il ne me reste plus qu'à essayer de faire mieux en 2013, ce qui ne sera pas très difficile.
J'ai toutefois constaté que, de votre côté, vous avez su rester très productifs et sérieux mais pas toujours heureusement ! Les mercredis musicaux se sont succédés les uns après les autres avec des thèmes aussi divers que la chanson du renouveau, le vent, la nuit, la cigarette, l'eau, l'histoire d'un amour ou encore la fin du monde qui finalement n'a pas eu lieu, pour ne citer que ceux-là. D'ailleurs, pour les voir tous, et ceux des années précédentes aussi, vous pouvez toujours consulter sur son blog le tableau que Jacques met fidèlement et consciencieusement à jour.
En conséquence de tout ça, vous avez assurément mérité des vacances et trois grandes semaines de repos. En effet, après en avoir échangé avec Miss Véro, nous avons décrété que le 26 décembre (Saint-Etienne férié pour les Alsaciens et les Mosellans et jour de repos pour beaucoup d'entre nous) et le 2 janvier n'étaient pas forcément des jours très propices à une publication. Bah oui, qui aura envie d'écrire un article en pleine gueule de bois période de récupération ?
Mais après, on repart au boulot dès le 9 janvier 2013 pour la rentrée musicale...
Et pourquoi donc vous parle-je de tout ça ? Parce c'est moi la prochaine présidente pardi ! C'est Gé qui l'a dit.
Alors puisqu'on parle de rentrée, je vous propose de vous plonger dès maintenant dans vos souvenirs et de repenser aux vôtres... de rentrées. Vous vous souvenez sans aucun doute d'une chanson que vous auriez apprise à la maternelle avec votre maîtresse préférée ou pas, à la chorale de l'école primaire, au collège en cours de musique et qui vous aurait plus particulièrement marqués... que vous auriez trouvé carrément naze ou au contraire trop d'la balle, ou encore d'une chanson apprise au lycée sur la guitare d'un copain.
Perso, je me souviens de... Naaan, allez, je ne vais pas tout vous raconter tout de suite quand même.
Alors tous à vos claviers pour partager
UNE CHANSON APPRISE A L'ÉCOLE, AU COLLEGE, AU LYCEE...
le 9 janvier prochain ! Pas besoin forcément besoin de publier une vidéo, car pour certains... dont je suis... l'école... c'est loooiiin...
C'est dur ??? Allez allez !! Pas d'excuses !! Vous avez trois semaines pour cogiter !
En attendant, passez tous de très bonnes fêtes de fin d'année. Je vous préviens tout de suite, il n'y aura pas beaucoup de blablas par ici ces prochains jours.
Ce sera même carrément silence radio.
Publié le 28 Novembre 2012
Pour la communauté Musique à Coeur Ouvert de Véro, présidée cette semaine par Jacques qui a choisi comme thème "l'histoire d'un amour", voilà celle de Toto le Tigre et de Conchita la danseuse.
Cette histoire-là, je vous préviens, finit mal... en tout cas pour Zorro à la langue menteuse mais après tout il l'a pas volé non plus hein alors c'est tant pis pour lui fallait pas chercher Toto et toc !
Toto le tigre aimait Conchita la danseuse. Toto le tigre aimait Conchita malheureuse. Toto le tigre aimait Conchita amoureuse, Du beau dompteur Zorro à la langue menteuse.
Refrain : Olé Conchita, vas-y n'aies pas peur : Mets-y un tigre dans ton moteur
Le beau Zorro disait : "Conchita, que t'es bête". Le beau Zorro disait : "L'amour n'est qu'une fête, Ne dure qu'une nuit qu'à l'aurore on arrête". Le beau Zorro disait : "Vraiment, tu perds la tête".
Refrain
Le tigre entendait tout et songeait in petto : "Attends, chacun son tour, attends mon beau Zorro, Attends attends attends le dernier numéro, Quand tu mettras la tête dans la gueule à Toto."
Refrain
Sur la piste Zorro, le coeur toujours en quête, Pendant qu'il travaillait, d'une nouvelle conquête, Se pencha jusqu'au cou dans la gueule de la bête Qui d'un grand coup de crocs lui fit perdre la tête.
Refrain
Toto le tigre adore Conchita la danseuse, Qui n'aime plus Zorro à la langue menteuse.Toto le tigre attend qu'elle soit amoureuse, D'un autre beau dompteur à tête savoureuse.
Refrain. Refrain. Olé !
Publié le 14 Novembre 2012
Pas souvent ces derniers temps que je participe à la communauté Musique à Coeur Ouvert de Véro qui cette semaine s'est tout bonnement autoproclamée présidente. Je suis moi-même assez adepte du "on n'est jamais mieux servi que par soi-même" alors, après tout, pourquoi pas ?
Pas vraiment très surprenant qu'elle ait choisi ce mercredi comme thème
LA CIGARETTE
car depuis qu'elle a arrêté de fumer, elle n'en a jamais autant parlé ! Elle est fière d'elle, et c'est bien normal ! Bravo Véro, congratulations !
Pas vraiment envie de m'étendre sur ce terrain car, fumeuse pendant 20 ans, ex-fumeuse depuis 10 ans, je travaille depuis peu avec une tabacologue et je sens que je pourrais vite devenir chiante intarissable sur le sujet. Je vais donc m'abstenir. Fumeurs, ne me remerciez pas.
Pas non plus envie de faire l'apologie de cette merde ce fléau mais quand j'entends "cigarette" je pense avec une nostalgie non feinte à BBH 75 de Jacques Higelin et, pouf ! me voilà redevenue une ado de 15 ans : clope au bec, pull tricoté main tricoté coeur sur le dos, foulard indien autour du cou, musette sur l'épaule et Kickers aux pieds, j'attendais avec impatience les samedi soir pour sortir en mobylette dans les boums mais je vous ai déjà raconté tout ça il y a quelques temps là. Le paquet de Peter Stuyvesant rouge coûtait en ce temps-là 5,50 F, plus d'une semaine d'argent de poche.
BBH 75 était un de mes albums préférés et si je ne l'ai pas écouté trois cent milliards de fois je ne m'appelle plus Vivi, foi de Vivi avec comme chanson préférée sur cet album préféré, je vous le donne en mille, celle que je vous présente aujourd'hui, en tête juste devant Mona Lisa Klaxon, ma deuxième chanson préférée d'entre les préférées...
Et tout d'un coup, je doute du postulat qui dit que la mémoire se perd avec l'âge car, cette chanson-là, même sans répétition préméditée, je la connais encore par coeur.
Vous voulez que je vous fasse voir ?
Hé hé, ho ho
Je suis amoureux d'une cigarette Toute la sainte journée elle me colle au bec
Hey Lucie, si t'reste un peu de ferraille Ravitaille moi d'un paquet d'gris
Que je m'en grille une aussitôt A la place de ce satané vieux mégot, ho ho
Je suis amoureux d'une cigarette Sans elle j'ai l'air d'un poussin Cherchant son omelette
Hey Suzon, si te reste un peu de pognon Ramène-moi donc un paquet d'blond
Que je m'en roule une aussi sec A la place de ce satané vieux mégot, ho ho.
Je l'aime bien épaisse Roulée comme une papesse Dans son fourreau Zigzag a bord gommé
Quand du bout de la langue Je la lèche, elle tangue Fumante elle frémit sous la morsure De mon dentier Hé hé.
Je suis amoureux d'une cigarette Elle a la rondeur d'un sein Qu'on mord ou qu'on tête
Hey Jenny, y'aura une taffe pour toi Si tu penses a mon paquet d'gris
Magne-toi car j'ai bientôt fini De tirer sur ce satané vieux mégot.
Je suis amoureux d'une cigarette Suzy, hey, hey Je suis amoureux d'une cigarette...
Je suis amoureux d'une cigarette...Moureux d'une cigarette...
Kof kof... Kof kof kof.
Je le fais bien non ? Surtout le kof kof à la fin, je trouve...
Publié le 21 Octobre 2012
Publié le 13 Juin 2012
photo trouvée ici sur le net
Sophinette est cette semaine celle qui a été élue présidente de la communauté Musique à Coeur Ouvert de Véro.
Quand j'ai lu chez elle le thème du jour,
L'EAU EN CHANSONS
je n'ai pas pu m'empêcher de penser avec émotion à "L'eau Vive", cette chanson de Guy Béart que ma maman me chantait souvent quand j'étais une petite fille et que je fredonne maintenant parfois à la mienne.
Beaucoup d'entre vous la connaissent sans doute...
Alors, même si je n'ai pas beaucoup de temps pour rédiger des articles en ce moment, je me suis dit : "Pourquoi ne pas la partager" ?
Hein ? Pourquoi ?
Ma petite est comme l'eau, elle est comme l'eau vive
Elle court comme un ruisseau, que les enfants poursuivent
Courez, courez, vite si vous le pouvez
Jamais, jamais, vous ne la rattraperez
Lorsque chantent les pipeaux, lorsque danse l'eau vive
Elle mène mes troupeaux, au pays des olives
Venez, venez, mes chevreaux, mes agnelets
Dans le laurier, le thym et le serpolet
Un jour que sous les roseaux, sommeillait mon eau vive
Vinrent les gars du hameau pour l'amener captive
Fermez, fermez, votre cage à double cle
Entre vos doigts, l'eau vive s'envolera
Comme les petits bateaux, emportés par l'eau vive
Dans ses yeux les jouvenceaux voguent à la dérive
Voguez, voguez, demain vous accosterez
L'eau vive n'est pas encore à marier
Pourtant un matin nouveau à l'aube, mon eau vive
Viendra battre son trousseau, aux cailloux de la rive
Pleurez, pleurez, si je demeure esseulé
Le ruisselet, au large, s'en est allé.
Publié le 30 Mai 2012
Parce que je suivais les pérégrinations de ses membres chaque mercredi chez Danielle en Alsace, Zaza, Maryvonne et Valérie depuis longtemps, la communauté Musique à Coeur Ouvert de Véro & Co est la première à laquelle je me sois inscrite lorsque j'ai ouvert ce blog.
Et pourtant, je la délaisse carrément ces dernières semaines. Car, croyez-moi ou pas, ma dernière participation remonte au 7 mars...
En effet, on dirait pas comme ça mais... ça prend un temps fou de se creuser le neurone musical pour trouver une chanson en adéquation avec le thème, écrire un article sympa et original, aller voir les petites merveilles que les autres membres de la communauté ont dégottées, répondre aux commentaires... etc. etc. etc. Et pour le temps... justement... y'a comme un blème en ce moment...
Mais cette semaine, trop fastoche. Gé, la présidente, nous propose le thème de
LA NUIT
Alors après la face B présentée là, il ne me restait plus, logiquement, qu'à vous faire écouter la face A.
Cette chanson fera-t-elle l'unanimité ? Je ne sais pas, mais j'en connais déjà au moins deux à qui je suis sûre de faire plaisir (trois avec moi !) : ce sont José et Cockpit !
Et à part nous, d'autres fans ?
Publié le 22 Mars 2012
La première fois. Des fois juste en claquant des doigts.
La première fois. Qui se déclenche malgré soi.
La première fois. Toujours en évitant la file.
La première fois. Qu'on voit ce que c'est qu'une fille.
La première fois. En escarpin ou en guenilles.
La première fois. Celle qui apaise et qui vrille.
La première fois. Ça laisse un goût indélébile.
Une première fois. Un peu comme sur le toit du monde.
Et malgré soi. S'attacher à quelques secondes.
La première fois. Et pourquoi pas une deuxième.
La première fois. Que l'arbre découvre la sève.
Et ça se voit. L'enfant a découvert la fève.
C'est moi le roi. Livré aux caprices des reines.
La première fois. Qu'elle fut courte qu'elle fut brève.
La première fois. Blottis de silence ... un cri.
La première fois. Et puis bien d'autres se sont suivies...
La première fois. Gouttes de sueur sur ton nez
La première fois. Une déception particulière.
La première fois. Que l'on veut découvrir l'envers.
D'une première fois. Qu'on fait en regardant le ciel.
La première fois. Le corps tout recouvert de miel.
Est-ce que ça va ? Acceptera-t elle la traîne ?
La première fois. Que l'on peut sentir ce qu'on sème
La première fois. Un vrai cauchemar m'en parle pas d'cette première fois.
La première fois. Quand ça arrive un peu trop tôt et malgré soi.
Je ne m'en suis jamais souvenu d'cette première fois.
Chez ses parents, dans la rue.
La première fois. Un coup d'éclat et de panique.
La première fois. Je me souviens de la musique.
Et de sa voix. Le temps passe, on est nostalgique.
La première fois. C'était tout à fait par hasard.
La première fois. Tu sais que tu t'attends au pire.
Et puis ça va. Ça fait tout chose, ça tire.
La première fois. Comme un trésor, un leurre.
La première fois. Pourquoi tu pleures ?
La première fois. Il paraît qu'elle vaut de l'or.
Cette fille-là ? Elle arrive elle ne prévient pas.
La première fois. Laisse des années derrière soi.
La première fois. Moi j'attends toujours qu'elle arrive.
La première fois. Oulala ça c'est vraiment terrible
La première fois. C'est bon vas-y stresse pas.
La première fois. Ben moi c'était avec une blonde.
La première fois. Ah oué t'as étonné tout le monde.
La première fois. A ça au moins elle était cash.
La première fois. J'ai pas compris pourquoi la tache.
Une première fois. Lit de pétales et sous les doigts.
Rien que pour toi. Comme une étendue sous nos pas.
La première fois. Et puis quand on se l'imagine.
Ça nous déçoit. Et puis on se revoit gamine.
La première fois. J'avais 5 ans. Non, j' te crois pas.
La première fois. allez savoir j'ai oublié
La première fois c'est là que tout à coup,
C'est là que tout à coup
C'est là que tout a commencé
Publié le 17 Mars 2012
Spéciale dédicace à un jeune couple d'amoureux qui fête aujourd'hui ses "UN AN".
Du coup, spéciale dédicace à tous les amoureux. Aux futurs amoureux aussi. Et aux vieux couples. Donc à Jules (rhoo ben oui, après vingt ans de mariage, on est un vieux couple, non ? Pour moi c'est pas péjoratif de dire ça, juste une réalité bien réelle)....
Oui oui, je sais, j'ai un wagon de retard, la Saint-Valentin c'était il y a un mois mais osef, y manquerait plus qu'il y ait un jour pour déclarer sa flamme.
Et écouter Thomas Dutronc.
Il n'y a pas de jour non plus pour profiter de son talent et de son humour. En fait, vous pouvez écouter aussi même si vous n'êtes pas amoureux.
Just enjoy ! Les paroles sont fantastibuliques et je ne parle même pas du clip que se serait carrément criminel de quitter ce blog sans le regarder.
Comme un rasta sans pétard Comme un Corse sans pétard Une Normande, sans armoire
Comme t'es pas là Je suis sur les .com Meetic pornographique Et je suis comme un con
Je suis aphone J'ai plus d'neurones J'tombe de mon trône Quand t'es pas là, j'n'existe pas
Comme Sherlock sans sa loupe Comme Tintin sans sa houppe Comme un mondain sans sa coupe
Comme un arbre sans racine Comme le théâtre sans Racine Sur cette plage sans Aline
Comme t'es pas là Je suis sur les .com Rolex Viagra tout ca Et je suis comme un con
J'ai 18 montres J'me rends plus compte La bêbète qui monte Quand t'es pas là J'n'existe pas
Comme un martien sans soucoupe Comme un coiffeur sans un scoop Comme un pâté sans sa croûte
Je suis aphone J'ai plus d'neurones J'tombe de mon trône Quand t'es pas là J'n'existe pas
Comme un manouche sans guitare Comme un château sans la Loire Une Normande, sans armoire...
Publié le 7 Mars 2012
Oh ben ce n'est que la troisième fois que je participe aux mercredis de la communauté Musique à Coeur Ouvert de Véro cette année. Là, c'était bientôt la fin avec Carole, et ici c'était une chanson associée à un grand changement dans notre vie que nous avait commandé Minouche.
Peux pas être partout en ce moment ! C'est bien dommage mais c'est comme ça et pis c'est tout.
Cette semaine, c'est Agnès qui préside et, depuis Saint-Pierre-et-Miquelon, elle a choisi pas par hasard comme thème :
LE VENT
C'est l'occasion pour moi de ressortir une vieille chanson déjà publiée sur ce blog, mais dont je ne me lasse certainement pas, et donc d'un vieil article qui disait en substance :
Mettons de côté un instant la polémique et le scandale qui ont entouré le groupe bordelais Noir Désir, et surtout son chanteur Bertrand Cantat, après la mort de Marie Trintignant au cours de l'été 2003 et le suicide de sa femme Krisztina Rády en janvier 2010....
Et souvenons-nous d'heures moins sombres....
"Le vent nous portera" est une magnifique chanson sortie en single le 28 août 2001, avec la collaboration de Manu Chao et Akosh S., et publiée sur l'album "Des visages des figures" (le 6ème du groupe) le 11 septembre 2001. Ce titre est le plus vendu de l'histoire de Noir Désir avec plus de 900.000 exemplaires.
La chanson évoque l'histoire de deux personnages inséparables, dont les souvenirs s'envoleront à jamais. Les paroles sont illustrées par un clip où l'on voit une femme emportée par le vent, sous les yeux impuissants de son fils qui gardera cependant pour toujours le souvenir de sa mère. Il est à noter que la fin du clip a été modifiée et se trouve être bien moins sombre dans la seconde version (dans cette dernière la mère rejoint son fils).
Pour mémoire, rappelons que les membres de Noirdez (Noir Désir) se sont rencontrés sur les bancs du lycée Saint-Genès de Bordeaux, dans les années 80, et que le groupe a été dissout officiellement le 29 novembre 2010.