Publié le 23 Mai 2013
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Publié le 23 Février 2013
Publié le 13 Février 2013
Publié le 16 Janvier 2013
Publié le 2 Décembre 2012
Je voulais absolument aller voir le dernier James Bond pour :
- échapper à la grisaille de ce triste dimanche après-midi d'hiver
- faire plaisir aux ados
- le bonheur de passer un bon moment avec eux dans une salle obscure
- ne pas rompre la tradition qui fait que je vais toujours voir le dernier James Bond
- comprendre : pourquoi Skyfall ?
- entendre tout simplement Daniel Craig dire avec classe "My name is Bond. James Bond" (pff, on est carrément peu de chose quand même)
- voir le générique psychédélique et les silhouettes colorées danser dans les airs sur une musique archi-connue
- entendre encore la BO du film
- zieuter du beau gosse, du muscle et des pectoraux
- voir des méchants et des gentils, des méchants devenir gentils et des gentils devenir méchants
- découvrir les nouveaux gadgets de Q (prononcer kiou à l'anglaise s'il vous plaît parce que sinon ça peut sacrément prêter à confusion)
- jalouser les dernières James Bond girls (trop belles !)
- admirer de la belle carrosserie (là je ne parle plus des James Bond girls)
- apprécier les effets spéciaux (pas tant que ça)
- voir des cascades, des explosions, des poursuites, des bagarres, des gnons et des bourre-pifs
- retenir mon souffle, sursauter, frémir, peut-être verser une petite larme...
Eh bien c'était cool, et je n'ai pas été déçue du voyage !
Et vous ? L'avez-vous vu ?
Publié le 25 Novembre 2012
Jules a quasi oublié notre séance-ciné mardi dernier...
Si bien qu'il est rentré tard du boulot, si bien que c'est moi qui ai dû aller à l'AMAP pendant que lui se mettait les pieds sous la table et dînait, si bien que quand on est arrivé devant le ciné il n'y avait plus franchement de choix dans les séances, si bien qu'on a été voir un peu contraints et forcés mais a priori pas tant que ça le dernier film programmé de la soirée Le Magasin des suicides.
J'étais en fait plutôt contente de ce hasard car j'avais lu le livre il y a deux ans et j'avais vraiment beaucoup aimé ce bouquin à l'humour caustique, décapant, noir et décalé (oui, oui, tout ça), à prendre au 23ème degré (minimum), bien sûr. J'en avais même fait un article aux tout débuts de ce blog dans lequel je faisais son éloge et où, justement, j'annonçais la sortie prochaine et attendue du film de Patrice Leconte.
Synopsis :
L'intrigue se déroule à l'époque contemporaine, dans une ville où la vie est devenue si déprimante que le taux de suicide y est incroyablement élevé. Dans cet univers macabre et désespéré, une seule famille prospère : les Tuvache, qui tiennent le Magasin des suicides, une boutique où l'on peut trouver tous les accessoires nécessaires pour se tuer de toutes les façons possibles. Tout change à la naissance d'Alan, le fils cadet, dont la joie de vivre dérange fortement les habitudes de la famille.
Pour tout vous dire, j'ai tout de suite pas du tout aimé les graphismes de Patrice Leconte (il dessinait dans Pilote dans les années 60). OK, l'histoire se passe dans une ville glauque et grise où tout le monde est si triste que la plupart des habitants a envie de mettre fin à ses jours et où même les pigeons se laissent tomber dans le vide sans résister c'est dire...
Mais était-ce vraiment bien nécessaire de leur faire des gueules pareilles (ça dure pendant tout le film) et de les faire se suicider en direct sous nos yeux (et ça aussi ça dure, ça dure) ? Des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs qu'y disaient. Effectivement, c'est rien de le dire car au bout de quelques minutes on a déjà assisté à plusieurs morts violentes et saisissantes par pendaison, par arme à feu ou par empoisonnement...
Et ça, même en dessin animé et même pour rire, ça vous plombe une ambiance.
De manière concomitante, on ne peut pas dire que les chansons façon comédie musicale qui émaillent le film m'aient fait retrouver le sourire car je les ai trouvées dans l'ensemble assez niaises et trop présentes... comme si que l'auteur avait besoin de remplir du vide et de faire durer un peu les scènes, vous voyez le genre ? Quelques fois d'ailleurs, j'ai eu le plus grand mal à comprendre les paroles (les rats par exemple, mais que disent donc les rats ?) quand ça ne m'a pas franchement cassé les oreilles.
Une exception quand même, cette chanson-ci, très noire et très joyeuse à la fois qui vaut le coup d'être écoutée. Ça, j'aime !
Par certains côtés, l'histoire est très fidèle au livre. Les membres de la famille Tuvache et leur magasin par exemple sont plus ou moins tels que je les avais imaginés pendant ma lecture et là on voit bien que chez eux ça rigole pas tous les jours.
Par d'autres, le scénario s'éloigne loin, très loin, voire très très loin de la trame du livre. La fin du film d'ailleurs est complètement farfelue, pas crédible, guimauve et cucul, totalement aux antipodes de celle déroutante et inattendue qu'avait imaginée Jean Teulé et qui m'avait laissée perplexe.
Autant vous dire que je n'ai que trop peu retrouvé l'ambiance, le plaisir et l'humour grinçant qui m'ont fait sourire dans la version papier malgré quelques scènes géniales, il faut quand même le dire, qui ont réussi à sauver ma soirée du désastre et de la déprime.
Ce n'est pas la première fois que je suis déçue par la version cinématographique d'un livre que j'ai adoré.
Ce qui m'amène une nouvelle fois à me poser la question suivante :
Ce qui fonctionne en littérature fonctionne-t-il vraiment toujours à l'écran ?
Publié le 26 Octobre 2012
Comme on l'avait décidé, on devait aller au ciné mardi soir mais :
1. Fifille avait exceptionnellement un entraînement de hand et la laisser rentrer toute seule en vélo à 20h30, pas question ! On aurait pu demander à Fiston 3 d'aller la chercher, ce qu'il aurait fait bien volontiers, mais il pleuvait des cordes. Pas glop de les savoir sous la pluie et dans la nuit tous les deux, alors que nous on aurait été tranquillement vautrés installés dans nos fauteuils de ciné à mater les pubs et les bandes-annonces en se goinfrant de M&M's.
2. Le pote garagiste de Jules devait venir nous donner son avis sur une de nos "vieilles" et néanmoins voiture de tous les jours dont le compteur de vitesse reste obstinément bloqué sur 0 quand on roule. Oui parce que quand on ne roule pas, c'est on ne peut plus normal. Ça n'empêche pas de circuler certes, mais le problème, c'est que les radars, eux, ne sont pas bloqués sur 0.
3. Le mardi, c'est aussi le jour de l'AMAP et les horaires des séances de cette semaine ne collaient pas trop avec le récupérage de notre panier et ça aurait été dommage de se priver de tous ces bons brocolis, poireaux, betteraves, chou-rave, hein les enfants !
4. Le programme, c'était soit Vous n'avez encore rien vu avec une kyrielle d'acteurs fantastiques mais la critique disait "drame", soit Quelques heures de printemps, mais la critique disait "drame" aussi. Et nous, on n'avait pas envie de voir de drame cette semaine.
Et surtout, surtout que le lendemain, c'était la sortie nationale de Stars 80 ! Stars 80 quand même !!
Ce film s'inspire de l'histoire vraie de deux producteurs, Hugues Gentelet et Olivier Kaefer, qui ont eu l'idée de créer la RFM Party 80, un spectacle musical qui réunit des chanteurs des années 1980 interprétant leurs tubes.
Vincent (Richard Anconina) et Antoine (Patrick Timsit), deux fans des années 80, dirigent une petite société de spectacle qui fait tourner des sosies dans toute la France. Entre déboires sentimentaux et caprices de leurs pseudo vedettes, l’affaire finit par péricliter. A la veille du dépôt de bilan, ils retrouvent un carton de vieux 45 tours : Jeanne Mas, Jean-Luc Lahaye, Lio, Desireless, Peter & Sloane, François Feldman, Début de soirée, Images, Cookie Dingler, Sabrina, Gilbert Montagné... tous les tubes des années 80 ! Immédiatement, l’étincelle jaillit : pourquoi ne pas faire remonter sur scène les vraies Stars des années 80 ? Les deux producteurs partent alors en quête de ces vedettes oubliées, et montent une tournée de concerts qui débutera dans la galère avant de cartonner en province et triompher… au Stade de France !
Vous voulez savoir ce que j'ai pensé de ce film ? Certes, le scenario est nul inexistant très maigre, et on n'a même pas la surprise de savoir si l'histoire va bien se finir ou non, mais quand même pas au point de penser comme Le Figaro-Cinéma que Stars 80 est le nanar de la semaine. Oh ben non, là c'est vraiment abusé.
Parce que moi, j'ai malgré tout pris beaucoup de plaisir à revoir et à réécouter MES stars des années 80 dont les tubes n'ont finalement pas pris tant de rides que ça. En effet, quelque soit son âge ou sa génération, que celui/celle qui n'a jamais fredonné (même en cachette) :
"Boys, boys, boys"
"Et tu chantes chantes chantes ce refrain qui te plaît
Et tu tapes tapes tapes c'est ta façon d'aimer
Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit
Réveille en toi le tourbillon d'un vent de foliiiiiiiiiiiiiiie"
"Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c'est pas si facile (2 x)"
"People ask me why I never find a place to stop and settle down down down
I never wanted all those things people need to justify teir life life life
Yes we were born born born to be alive, Born to be alive
Yes we were born born born, Born to be alive"
"Elle est venue sans bagage, Quand échouée d'un naufrage,
Dans les cales d'un cargo Elle a quitté son île Pour un monde nouveau Loin des bidonvilles.
Oh Macumba, Macumba, Elle danse tous les soirs
Pour les dockers du port Qui ne pensent qu'à boire,
Oh Macumba, Macumba, Elle danse tous les soirs
Pour des marins largués Qui cherchent la bagarre, Oh Macumba
etc. etc. etc.
parle maintenant ou se taise à tout jamais.
Publié le 10 Octobre 2012
Avec Jules, on voulait depuis longtemps reprendre nos séances de ciné en tête-à-tête.
Le plus difficile a été de se mettre d'accord sur un jour. Le lundi, Monsieur va au vélodrome, le mercredi et le jeudi Madame bosse le lendemain et elle est un peu chiante rigide sur le fait qu'elle ne veut pas se coucher trop tard pour être en forme le lendemain, le vendredi, ben... c'est la fin de la semaine, on retrouve les enfants et c'est déjà le soir de notre petit apéro sur la terrasse, le samedi y'a vraiment trop de monde dans les salles, le dimanche il faut ramener Fiston 2 à l'internat...
Heureusement qu'il y a sept jours dans la semaine et pas seulement six. Du coup, il restait le mardi, Ce qui tombe plutôt bien puisqu'un mercredi sur deux je suis de repos. Mais comment n'y avons-nous pas pensé plus tôt ?
Il y a une salle à dix minutes/un quart d'heure de voiture de chez nous (ah mais ouiii, c'est la campagne et sans voiture on ne se déplace nulle part). J'aime vraiment beaucoup y aller, on se gare juste devant, l'entrée n'est pas chère, encore moins avec un abonnement, c'est un ciné de quartier sans prétention mais qui fait plein d'efforts pour être animé, vivant, agréable et je kiffe l'idée de contribuer à le faire "tourner". En général, entre 19h45 et 20h30, on a le choix entre trois films, mais si on élimine le drame qui va plomber la soirée et le film d'art et d'essai où personne ne comprend rien, il n'y a pas 36 000 alternatives.
Hier soir, nous avons donc vu Du vent dans mes mollets (c'était ça ou Taken 2 mais déjà on n'avait pas vu Taken 1 et même en sautant le repas on aurait forcément raté les pubs, voire le début, et ça c'était carrément impensable).
J'avais eu le tort de regarder la bande-annonce avant (la faute à Jules) et je m'attendais vraiment à un film très cucul. Après, le but n'était pas non plus d'aller voir un chef d'oeuvre mais de se faire plaisir en sortant et de passer un moment ensemble. Et puis c'était ça ou Taken 2 mais déjà on n'avait pas vu Taken 1 et même en sautant le repas... Bref, je ne suis pas loin de dire que j'y suis presque allée à reculons mais finalement...
L'histoire se passe en France au début des années 1980 et retrace une chronique familiale.
D'un côté, il y a Rachel (Juliette Gombert), fille unique de Colette (Agnès Jaoui) et Michel Gladstein (Denis Podalydès), qui à 9 ans trimballe déjà un paquet de "petites angoisses" qu'elle raconte à une psy comme on aimerait tous en avoir une (Isabelle Rossellini). La mère, merveilleusement étouffante, s'empâte et s'empêtre dans une vie où nulle fantaisie n'est permise (même pas le Nutella). Le père, installateur de cuisines Mobalpa, est aussi culpabilisant ("moi, à ton âge...") que transparent ou cynique, c'est selon. J'adore quand les parents parlent anglais et qu'ils ne veulent pas que leur fille les comprenne ; ça donne des trucs vraiment loufoques du style "but you are complètement stupid ou quoi ? I have déjà told you que you must not speak like this devant Rachel").
De l'autre, il y a Valérie (Anna Lemarchand), petite chipie espiègle, délurée et intrépide qui vit avec son frère ado et sa mère divorcée, Catherine (Isabelle Carré).
Les deux familles sont aux antipodes l'une de l'autre et c'est sans doute pourquoi Rachel et Valérie vont, au fil du film, devenir les meilleures amies du monde.
En parcourant des critiques sur le net, j'ai lu que certains spectateurs avaient été choqués par les gros mots et la vulgarité gratuite de certains propos. Assurément, ils ne doivent avoir chez eux ni enfants, ni ados, ni amis d'enfants ou d'ados. Je suis pourtant assez chochotte sur le sujet et, franchement, je ne trouve rien à redire. En effet, en matière de gros mots et de vulgarité, il me semble que, par les temps qui courent, il y a pire.
Certes, ce film n'est pas exempt de défauts mais innocence, fraîcheur, candeur, naïveté, tendresse, humour, franches rigolades sont les mots qui me viennent à l'esprit quand j'y repense.
Et en réfléchissant bien, cette histoire est en définitive beaucoup moins légère qu'il n'y paraît au premier abord...
Une belle production donc (française en plus !) dont il serait dommage de se priver... si vous avez l'occasion... ne serait-ce que pour comprendre, mais seulement tout à la fin, le pourquoi du titre...
Publié le 29 Août 2012
Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour ses ados chéris !
Quand même pas aller au ciné avec eux voir Total Recall alors qu'on est une maman tout ce qu'il y a de plus romantique, qui délègue en général ces sorties à son Jules car elle n'aime pas beaucoup ce genre de film d'action futuriste où les images et les explosions se succèdent à toute vitesse et auquel elle ne comprend d'ailleurs régulièrement pas grand chose ?
C'est incroyable et je n'en reviens pas encore moi-même. C'était samedi soir. Tandis que Jules pédalait comme un bolide sur le circuit des 24 H du Mans, moi et mes trois petits avons pensé qu'une séance/sortie ciné tous les quatre serait une excellente idée. Total Recall les a immédiatement séduits. Moi pas vraiment. Pas grave, leur ai-je dit, j'irai voir autre chose pendant ce temps. Mais ils ont tant et si bien insisté pour que je les accompagne que j'ai fini par craquer, attirée surtout par l'idée de nous savoir tous les quatre bien blottis les uns contre les autres dans la salle obscure mais arguant que de toutes façons je n'allais rien comprendre, que j'allais être un boulet et qu'ils allaient m'entendre pester le reste de la soirée.
Même pas peur, ont-ils rétorqué en choeur. Tkt maman, on t'expliquera tout.
Je dis toujours que c'est merveilleux d'avoir des enfants parce que l'on grandit finalement en même temps qu'eux. Ils bousculent nos idées reçues, nous font mentir quand on avait dit "jamais ça chez moi", nous font réfléchir, revoir notre copie tous les jours et nous permettent de nous remettre en question, d'aller de l'avant et de voir la vie à chaque fois sous un autre/nouveau jour.
La preuve : j'aurais mis ma main à couper que j'allais être déçue par ce film. Je m'entendais déjà penser : je le savais bien, j'aurais mieux fait de ne pas y aller, et patati, et patata.
Eh bien, j'ai été tout à fait surprise. C'est fou le nombre de baies vitrées que les acteurs font voler en éclat, le nombre de plafonds qu'ils traversent les pieds en avant et aussi le nombre de flingues qu'il y a dans ce film. Rares sont les scènes où ça ne pétarade pas dans tous les sens (les héros n'ont même pas le temps de s'embrasser, c'est dire), on en prend vraiment plein les yeux et les oreilles. Et c'est fou aussi comme les méchants tirent mal et comme les gentils sont résistants, parce qu'ils en encaissent pourtant des gnons, des coups de saton et des bourre-pifs ! Mais à part ça c'était plutôt agréable à regarder.
Ce qui m'a plu ? L'histoire plutôt dingue de ce type qui ne sait plus très bien qui il est, de l'enquête qu'il mène pour le savoir, la scène du début où une balle traverse les deux mains enlacées des héros et dont ils garderont la cicatrice à tout jamais (ça, c'est du romantisme !), "la chute", un tunnel à travers la Terre qui permet de relier l'Australie à la Grande-Bretagne en seulement 18 minutes, l'univers futuriste qui n'est pas sans rappeler celui du Cinquième Élément... Et puis Colin Farrell, Kate Beckinsale et Jessica Biel, mais surtout Colin Farrell.
Je suis prête maintenant à voir la version de 1990 avec Arnold Schwartzenegger et Sharon Stone.
On ne devrait absolument jamais dire jamais.
Modeste ouvrier, Douglas Quaid rêve de s’évader de sa vie frustrante. L’implantation de souvenirs que propose la société Rekall lui paraît l’échappatoire idéale. S’offrir des souvenirs d’agent secret serait parfait… Mais lorsque la procédure d’implantation tourne mal, Quaid se retrouve traqué par la police. Il ne peut plus faire confiance à personne, sauf peut-être à une inconnue qui travaille pour une mystérieuse résistance clandestine. Très vite, la frontière entre l’imagination et la réalité se brouille. Qui est réellement Quaid, et quel est son destin ?
Publié le 23 Juin 2012
Il est loin le temps où Mamandados et moi n'étions que toutes les deux.
Car, petit à petit, FILMS EN VRAC a fait son nid...
De deux, nous sommes maintenant cinquante, depuis que le blog Fashionmovies nous a rejoints il y a tout juste quelques jours.
Merci à tous ceux qui font partie de cette communauté de faire vivre cet espace de partage et de donner avec autant d'enthousiasme, de sérieux ou d'humour leurs impressions et leurs sentiments sur les films, les séries, les documentaires, les émissions, etc. qu'ils ont vus au cinéma, à la télévision, en DVD, en streaming,...
Bientôt, j'espère pouvoir être plus assidue à lire vos articles, avoir le temps de me plonger à nouveau dans l'atmosphère des salles obscures et alimenter ma rubrique "films" de façon plus régulière.
Bientôt...
Entre-temps, autres lecteurs cinéphiles ou télévores, pourquoi ne pas venir grossir nos rangs ?