Publié le 29 Janvier 2011

Amie blogueuse, un conseil : si tu veux une famille nombreuse, ou tout simplement un ou deux bambins, ou juste faire plaisir à ton chéri, ou nourrir une tablée de morfaloux, ou épater belle-maman, il faut que tu saches faire les crêpes.

C'est pourquoi, n'écoutant que mon bon coeur, je te livre ci-dessous une recette ancestrale testée par des nuées de marmots, ados, grands, jeunes et moins jeunes, et approuvée lors de maints lotos, goûters, kermesses, repas de famille, pique-niques, week-ends et j'en passe.

Crêpes légères..... dit le livre de cuisine....

Je ne sais pas si elles sont plus légères que les autres car depuis ma plus tendre enfance je ne connais que cette façon de procéder, mais il faut faire confiance au grimoire d'où la recette est extraite.

Pour environ 25 crêpes :

6 oeufs

250 gr de farine

1 pincée de sel

1 sachet de sucre vanillé

70 cl de lait

50 gr de beurre fondu

éventuellement une petite rasade de rhum (j'ai dit petite hein !)

Mélanger le tout dans l'ordre. Laisser reposer environ une heure, ou moins si tu es très pressée, voire pas du tout si tu es très très pressée. A peine beurrer ou huiler la poêle pour la toute première crêpe. Mettre très peu de pâte, juste de quoi recouvrir le fond. Cuire à feu vif mais, s'il te plaît, pas carbonisant. Retourner délicatement à l'aide d'une spatule.

Garnir avec ce que tu veux, mais moi ce que je préfère c'est un peu de sucre et quelques gouttes de citron.

Tu auras ainsi les crêpes les plus fines, les plus savoureuses, les plus exquises, les plus croustillantes, les plus moelleuses et les plus appétissantes (oui, oui, tout ça) de la blogosphère.

Non, non, ne me remercie pas, c'est bien normal de partager ses petits secrets entre blogopotes !

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Rédigé par vivi

Publié dans #nourriture

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Publié le 28 Janvier 2011

Rédigé par vivi

Publié dans #bons mots

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Publié le 27 Janvier 2011

C'était un jeudi aussi, mais le temps était beaucoup plus clément que cette année. Je me souviens que je portais un t.shirt, alors que les mimosas achevaient juste leur floraison.

Je vous avais déjà raconté mon départ en trombe à la maternité.

Et puis, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, mon deuxième fils était dans mes bras. Pas une petite crevette mais un beau poupon de 3,990 kg, né pourtant avec 15 jours d'avance sur le planning.

Il faisait un peu froid dans la chambre de la maternité, j'ai eu le droit de le garder tout près de moi dans mon lit une bonne partie de la soirée.... et ce petit corps tout chaud et tout neuf contre moi m'a toujours laissé un souvenir tendre et plein d'émotion. Son grand frère, tout juste âgé de 16 mois, l'a regardé avec tendresse, un petit sourire au coin des lèvres : il savait déjà qu'ils seraient frères et amis pour la vie.

A la clinique, sans doute en pleine période creuse, il a été le seul bébé de la semaine..... Inutile de préciser combien il a été chouchouté, et moi aussi par la même occasion.

Ensuite, les années ont passé.

Petit, il était un enfant modèle, toujours d'accord et complaisant. Il a su lire très tôt et a aussitôt développé une imagination débordante et un amour considérable pour les livres. Il en oubliait tout : de s'habiller (ou alors à toute vitesse et tout à l'envers), de prendre son cartable, d'aller à l'école, de dormir aussi, développant les stratégies les plus invraisemblables et les plus folles pour continuer son roman.... dans les toilettes, sous la couette, dans le noir, à la lumière du radio-réveil (plus tard du téléphone portable) ou d'une lampe de poche, au clair de lune, etc.... ce qui l'a amené à faire un baccalauréat L en 2010 et maintenant des études littéraires.

Il a toujours été très sensible et "tactile" : besoin de bisous, besoin de câlins, besoin de caresses, besoin de papouilles, besoin de "bras", besoin d'amour tout simplement. Pour lui, j'ai toujours été la plus belle, la plus "moelleuse", la plus douce, la plus charmante, la meilleure maman du monde.

Cela s'est un peu compliqué à l'entrée au lycée ; en effet, il avait tant d'expériences nouvelles à tenter, des tas de choses à se prouver à lui-même et à sa nouvelle bande de copains. Son caractère de rebelle a fait le reste.... Nos relations ont été tendues pendant quelques temps. Je dirais qu'il faut quelquefois en passer par là.

Tout doucement maintenant, il trouve sa voie et nous l'aidons à rester sur le bon chemin, à suivre la ligne droite et à éviter les embardées, même si l'échappée belle est parfois bien séduisante. On ne reste jamais fâché très longtemps, il arrive toujours à dédramatiser les situations embarassantes par une pirouette, un trait d'humour, une boutade, des regrets ou une demande de pardon qui est rarement irrecevable.

C'est un rêveur, un sentimental, un grand sensible. Une espèce d'extra-terrestre aussi qui a parfois du mal avec les contingences matérielles et les règles de bonne conduite imposées par la société. Il s'inquiète pour nous, pour ses frères et soeur, il est très attentif et "sent" instinctivement les choses. Il est généreux et aime les autres, communiquer, partager, donner, découvrir.

Il grandit. 17 ans, c'est encore un adolescent dans toute sa splendeur. il lui reste beaucoup à apprendre et je ne sais pas où ses pas vont le mener mais j'ai confiance et je suis très fière de lui, de ce qu'il devient, de ses idées et des valeurs qu'il porte.

Que dire d'autre aujourd'hui sinon BON ANNIVERSAIRE fils !

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Rédigé par vivi

Publié dans #enfants

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Publié le 26 Janvier 2011

 

L'article que Mélissa a écrit aujourd'hui, et que vous pouvez lire , m'a beaucoup "parlé". Elle se pose des questions sur la conduite à tenir vis-à-vis de sa fille ado et des fléaux qui tentent nos jeunes, notamment la cigarette et l'alcool, et ce dès la fin des années collège.

 

Ayant trois garçons entre 18 et 15 ans, je me sens particulièrement concernée par le sujet et je pensais beaucoup à tout ça en préparant le repas du soir.

 

C'est à ce moment-là que Fiston Number 1 est rentré de chez un copain, sentant à plein nez la fumée. Il ne fume pas mais certains de ses copains oui.

 

L'occasion était trop belle de remettre pour la nième fois sur le tapis, au moment du repas, la question de la cigarette et des dangers liés au tabac.

 

Cette fois-ci, je les alertais sur les problèmes du tabagisme passif. Les cigarettes sont en effet interdites dans tous les lieux publics mais qu'en est-il de leurs poumons quand ils passent la soirée enfermés dans un studio de 20m2 où deux ou trois copains fument leur paquet de clopes dans la soirée ?

 

Fifille, 11 ans 1/2, ne perdait pas une miette de cette conversation :

 

- Mais c'est quoi le tabagisme passif ?

 

Je le lui explique :

 

- Ah ! mais c'est trop cool alors ! Tu peux fumer tant que tu veux et t'as même pas besoin de dépenser d'argent pour t'acheter des cigarettes....

 

Je me demande si j'ai été suffisamment claire dans mes explications.... Mais en définitive je crois qu'oui, vu le petit sourire ironique qu'elle arborait....

 

interro

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Rédigé par vivi

Publié dans #bons mots

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Publié le 26 Janvier 2011

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Soirée DVD à six à la maison.

Encore un film de plus de 50 ans.....

Jaquette trompeuse car le film est.....en noir et blanc. Eh oui ! Une fois de plus, on n'a pas fait dans la nouveauté cinématographique. On va vraiment finir par passer pour des vieux schnocks. Et pourtant, on va aussi voir des trucs plus récents... Si, si allez donc voir , , , et .

Mais bon, dimanche dernier, c'était notre séquence nostalgie, enfin OK.... une de plus.

Ça commence à Chicago à la fin des années 20, au moment de la prohibition. Deux musiciens de jazz au chômage (Tony Curtis -alias Joe- le saxophoniste et Jack Lemmon -alias Jerry- le bassiste) sont involontairement témoins d'un règlement de compte entre gangsters le soir de la Saint-Valentin. Pour échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre, uniquement composé de femmes, qui se rend en Floride pour se produire dans un hôtel de luxe ; en conséquence, ils sont obligés de se travestir pour passer inaperçus. Joe devient Josephine et Jerry se transforme en Daphne. Ils rencontrent à cette occasion une ravissante créature, Sugar Kane (Marilyn Monroe), dont le seul but est de ne plus succomber aux charmes des saxophonistes et d'épouser un milliardaire.

Mes sentiments avant-film :

J'étais contente de retrouver mon chouchou, Tony Curtis (voir ici).

J'avais tellement entendu parler de ce grand classique hollywoodien que j'étais persuadée de le connaître : eh bien non, je ne l'avais en fait jamais vu. J'avais même tout faux quant à la période à laquelle il se passe et à l'histoire elle-même.

Je pensais m'ennuyer pendant deux heures (pas question de se débiner pour aller crocheter ou bloguer, il fallait bien montrer l'exemple aux gosses) : je suis allée de (bonne) surprise en (bonne) surprise et j'ai franchement passé un excellent moment.

Je croyais trouver cette comédie un peu ringarde, comme tous ces vieux films qui font un peu dépassés, démodés ou antiques à côté de toutes les superproductions actuelles, bourrées de trucages, de technologie et d'effets spéciaux. Eh bien, pas du tout.

Ce film est drôle, les acteurs sont excellents, les dialogues sont cocasses et certaines scènes loufoques, voire même désopilantes à l'image de la scène finale.

Léger bémol : Marilyn a vraiment un rôle de "blonde" avec un petit pois dans la tête. J'aurais aimé la voir un peu plus spirituelle. Par contre, elle a des robes sublimes (des fois on se demande même si elle a une robe tellement elle est moulante), elle est craquante quand elle chante en s'accompagnant de son petit ukulélé, elle a corps de rêve, bref elle est divine. 

Allez, puisque vous avez eu la patience de lire une fois de plus mon blabla sur un film antédiluvien, je vais vous expliquer le pourquoi du titre : Certains l'aiment chaud (Some like it hot). Au cours d'une scène entre Sugar Kane et Junior (le milliardaire dont elle est tombée amoureuse et qui n'est autre que Joe/Josephine mais dans sa version masculine), elle lui explique qu'elle joue dans un orchestre.

Junior demande à Sugar: "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "

Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "

Junior : "I guess some like it hot..."

(Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...).

Incontestablement, ce film a traversé 50 ans sans prendre une ride. Même les ados sont prêts à dire que c'est un film culte.

Paah-deeedle-eedeedle-eedeedle-eedum poo poooo beee dooh.

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Rédigé par vivi

Publié dans #films-TV-acteurs

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Publié le 26 Janvier 2011

 

LIttorine est notre Présidente de la semaine dans la Communauté Musique à Coeur Ouvert et aujourd'hui, en Bretonne superpatriote et fière de l'être, elle nous a commandé

 

La Bretagne et les Bretons en musique et chansons

 

Je n'ai jamais mis les pieds en Bretagne de ma vie, à part quand j'avais neuf ans et que je suis partie en colonie de vacances à Kergaher, dans le Morbihan. Imaginez ce départ pour 4 semaines et le voyage Strasbourg-Lorient via Paris en bus, pour moi qui n'avais jamais été plus loin sans papa et maman que le département des Vosges. J'avoue honnêtement que je ne me rappelle plus de grand chose, à part les chansons habituelles de colo chantées en coeur, les veillées feu de camp et un petit amoureux blond qui habitait à St-Dié, dont je ne me rappelle même plus le prénom.

 

Autant dire que de la Bretagne, je ne connais RIEN DE RIEN. Et de la Bretagne en musique ou en chansons encore moins. A part peut-être "Ils ont des chapeaux ronds, vive la Bretagne, ils sont des chapeaux ronds....." mais je vous épargnerai cela aujourd'hui.

 

Je ne me suis pas laissée abattre pour autant et j'ai trouvé quelques chansons dont le fil conducteur est la ville de Saint-Malo. Rassurez-moi, c'est bien en Bretagne Saint-Malo ?

 

Tout d'abord, les Gabiers d'Artimon chantent le Corsaire de Saint-Malo, fameuse chanson de marins dont une des principales fonctions était de rythmer le travail d'équipe et de synchroniser les efforts de chacun.

  


Une petite visite de la ville en images s'impose ensuite avec le groupe Strollad, qui n'est pas breton mais vendéen (attention, ne surtout pas confondre....), et leur chanson St-Malo.

 

 

Et puis, connaissez-vous Suzy Solidor, chanteuse française, actrice et romancière née en 1900 à Saint-Malo et descendante du corsaire Surcouf ? Elle eut une vie assez sulfureuse en ne se privant pas, entre autres, de célébrer dans ses chansons l'amour lesbien. Mais Les Filles de Saint-Malo est une chanson beaucoup plus sage....

 

 

Et pour finir, une chanson du petit Hugues Aufray. Je dis "petit" parce que, sur cette vidéo, il a dix-huit ou vingt ans à tout casser (bon.... peut-être un peu plus...). Il chante Je reviens/Les portes de Saint-Malo. Malheureusement la vidéo est incomplète, mais elle vaut le détour. Reconnaîtrez-vous le chanteur de 80 ans que l'on a vu récemment dans les médias présenter son dernier album hommage à Bob Dylan ?

 

 

Voilà ! C'est fini pour cette semaine. Je file sur vos blogs faire plein de découvertes bretonnantes.

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #musique

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Publié le 24 Janvier 2011

 

C'est lundi !!

 

Et voilà ma modeste contribution à la carte de France météo d'Alba pour la communauté Petit coin de ciel. Si vous voulez voir à quoi ressemble cette carte, une fois toutes les photos des blogueurs mises en commun, cliquez ici et vous verrez la synthèse de la semaine dernière.

 

J'avais pris la première photo ce matin, bien décidée à faire mon article en suivant. Et puis je me suis laissée distraire, et voilà ! Entre-temps les nuages sont apparus et ma photo de ce matin ne reflète ab-so-lu-ment pas la réalité actuelle. Je suis bien consciente de ne pas faciliter la tâche d'Alba mais d'un autre côté je n'y suis pour rien moi si les nuages ont décidé de faire leur apparition alors qu'on n'avait rien demandé !

 

Allez, je file sur vos blogs voir le temps qu'il fait chez vous avant de me préparer à nourrir mes monstres enfants.

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Rédigé par vivi

Publié dans #météo-humeur

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Publié le 24 Janvier 2011

 

Je vous avais parlé d'une poule que l'on m'avait offerte à Noël mais qui était arrivée via La Poste avec deux pattes cassées. Elle n'avait pourtant pas l'air fragile, bien dodue, rondelette et charnue à souhait !

 

Oui mais voilà ! Fractures il y avait bel et bien.

 

Quelques semaines plus tard, grâce à l'intervention de ma chère voisine qui a appliqué avec soin et délicatesse une (ou plutôt deux) bandes plâtrées et quelques couches de peinture dorée aux pilons de la cocotte, la revoilou en pleine forme et prête à rejoindre ses soeurs.

 

Ça va caqueter sévère sur les étagères car elle doit en avoir des choses à raconter.....

 

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Rédigé par vivi

Publié dans #poules

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Publié le 23 Janvier 2011

 

boby_lapointe.jpgVoilà un article pour la communauté de Claire et Pascal, Vive la Chanson Française.

 

Dans un autre style que celui d'Yves Duteil, dont je partageais les jeux de mots et le titre La Maman d'Amandine avec vous ici, voilà celui de Boby Lapointe.

 

Né en 1922 à Pézenas, et mort dans cette même ville à l'âge de 50 ans, il est surtout connu pour ses textes parsemés de calembours, de contrepèteries et d'à-peu-près.

 

« Élevé par mes parents. Études au collège. Fort en maths. », comme il le raconte lui-même dans ses mémoires, son côté fantasque et farceur se révèle très tôt. Dès son adolescence, avec quelques camarades de jeu, il prend plaisir à narguer le bourgeois et à ridiculiser la société bien-pensante et le clergé.

 

Il doit abandonner ses études en 1943 à l'âge de 20 ans pour partir au titre du STO (Service du Travail Obligatoire) en  Autriche. Éternel insoumis, il s'évade et rejoint sa région natale au bout de 7 mois d'errance sous différents noms d'emprunt, notamment celui de Robert Foulcan

 

Son amour des mots et son envie d'écrire le poussent, à partir de ce moment, à composer des chansons dont le style est très marginal, tout en calembours, jeux de mots et contrepèteries : un style trop intellectuel pour qu'on lui donne facilement sa chance ! Même les Frères Jacques déclinent ses propositions, tant ses textes sont complexes.

 

Il change plusieurs fois de métier : scaphandrier, installateur d'antennes de télé, commerçant.... avant d'être introduit dans le milieu parisien vers 1956 grâce à Bourvil puis de rencontrer, Devos, Anne Sylvestre, Brassens, Perret, etc. Il tourne dans plusieurs films notamment avec Truffaut, Sautet et Carné.

 

Il n'enregistrera qu'une cinquantaine de titres mais lesquels !! En voilà un qui fait partie de mes préférés. Voir ci-dessous les paroles pour n'en pas rater une miette !  

 

 

Ce soir au bar de la gare, Igor hagard est noir, Il n'arrête guère de boire
Car sa Katia, sa jolie Katia, Vient de le quitter; Sa Katie l'a quitté
Il a fait chou-blanc, Ce grand-duc avec ses trucs, Ses astuces, ses ruses de Russe blanc,
Ma tactique était toc, Dit Igor qui s'endort, Ivre mort au comptoir du bar

Un Russe blanc qui est noir, Quel bizarre hasard ! se marrent, Les fêtards paillards du bar
Car encore Igor y dort, Mais près d' son oreille, Merveille ! un réveil vermeil
Lui prodigue des conseils, Pendant son sommeil

Tic-tac tic-tac, Ta Katie t'a quitté
Tic-tac tic-tac, Ta Katie t'a quitté
Tic-tac tic-tac, T'es cocu, qu'attends-tu ?
Cuite-toi, t'es cocu, T'as qu'à, t'as qu'à t' cuiter,
Et quitter ton quartier, Ta Katie t'a quitté,
Ta tactique était toc {x2}
Ta Katie t'a quitté,
Ôte ta toque et troque, Ton tricot tout crotté,
Et ta croûte au couteau, Qu'on t'a tant attaqué
Contre un tacot coté, Quatre écus tout comptés, Et quitte ton quartier
Ta Katie t'a quitté {x4}

Tout à côté, Des catins décaties, Taquinaient un cocker coquin,
Et d'étiques coquettes, Tout en tricotant, Caquetaient et discutaient et critiquaient
Un comte toqué, Qui comptait en tiquant, Tout un tas de tickets de quai
Quand tout à coup, Tic-tac-tic driing !

Au matin quel réveil, Mâtin quel réveille-matin, S'écrie le Russe, blanc de peur
Pour une sonnerie, C'est une belle sonnerie !

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Rédigé par vivi

Publié dans #musique

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Publié le 23 Janvier 2011

 

Le 4000ème commentaire chez Valérie, c'était moi !!!

 

Et voilà ce que j'ai trouvé dans ma boîte aux lettres pour me récompenser de ma fidélité.....

 

Vivement le prochain café entre copines....

 

Pictures25

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Rédigé par vivi

Publié dans #divers

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